AVANT-CRITIQUE – Qui n’a jamais eu ce sentiment désagréable et culpabilisant à la vue d’un ours polaire essayant de survivre sur une banquise réduite à la taille d’un glaçon ? Qui ne s’est jamais senti impuissant devant les images cataclysmiques des grands incendies amazoniens ou australiens, réduisant à néant faune et flore dans le silence absolu des Nations ?