Terminus radieux

BONNES FEUILLES - « Nous échangeons peu de mots, nous ne sommes pas bavards toi et moi ; mais quand tu apparais au coin d’une rue, je te rejoins pour te serrer dans mes bras. Des adieux rêvés pour remplacer nos adieux volés. » 

BONNES FEUILLES - « Ce roman en trois mouvements fait suite aux Amours Diplomatiques, qu’il complète et termine. Les deux livres et les six récits qui les composent n’en constituent, idéalement, qu’un seul. 

BONNES FEUILLES – 1965, Londres. Élevée dans une famille bourgeoise, Veronica est une jeune femme brillante, à l’avenir radieux et tout tracé. Aussi son suicide surprend-il son entourage. À commencer par sa jeune sœur, pour qui l’incompréhension est totale. 

RentréeLittéraire23 - « Il y a les adieux, et puis on repêche les corps – entre les deux, tout est spéculation. » Sur le sable d’une plage hongkongaise, une main soulève des draps.

BONNES FEUILLES - José Vieira explore les souvenirs de son enfance pour narrer l'histoire de sa propre famille, depuis l'exil jusqu'aux réflexions contemporaines, à travers les changements radicaux de la révolution d'avril et vers un avenir plein d'espoir. 

HIVER2024 - L’heure du Borgne est venue mais personne n'est encore au courant. Lyon, au sortir du confinement, le Borgne construit patiemment sa vengeance. Maltraité par son père enfant, la haine le ronge, patiemment.

BONNES FEUILLES - « La mer enlève et rend la mémoire, l’amour De ses yeux jamais las fixe et contemple,
Mais les poëtes seuls Donnent à ce qui dure une assise éternelle. »

BONNES FEUILLES - À Londres, ce soir, Clarissa Dalloway offre une fête ! La haute société anglaise a intérêt à s’amuser. Or, de vieilles connaissances ressurgissent des limbes et exhument des souvenirs comme on ouvre une boîte de Pandore.

HIVER2024 - « Je m'appelle Dominique Biron et j'ai décidé́ de mourir dans trois jours. C'est le temps qu'il a fallu au Christ pour revenir d'entre les morts, ça me suffira bien pour faire mon petit ménage. » 

BONNES FEUILLES -Dans cette série émouvante de poèmes en prose, Semezdin Mehmedinović partage son vécu durant le siège de Sarajevo, offrant aux lecteurs une perspective personnelle et touchante sur la guerre.

Pour la rentrée littéraire, les éditions Sabine Wespieser Editeur publient le deuxième roman de Jan Carsosn : Les lanceurs de feu, traduit de l’anglais par Dominique Goy-Blanquet. Cet ouvrage, imprégné de la brutalité des Troubles d’Irlande, englue ses personnages dans un contexte similaire, qui fait écho à la propre violence de leur histoire personnelle.