Moustapha Camara

BONNES FEUILLES - En vingt-quatre chapitres, raconter une vie. Vingt-quatre chapitres comme les vingt-quatre images qui font chaque seconde d’un film. Vingt-quatre chapitres pour tenter de saisir la vérité : que reste-t-il de ce qui n’est plus là ? Que connaît-on de ce qu’on a vu sans le vivre ? Que faire, aujourd’hui, de tant d’images ? 24 fois la vérité, de Raphaël Meltz, raconte avec sensibilité et une intelligence remarquable la vie de deux hommes, traversés par le XXème siècle et ses questionnements.

AVANT-PARUTION – Pas de titre, une date de sortie, quelques discrètes informations… le prochain roman de Frédéric Beigbeder approche, cet hiver, comme pour achever le cycle entamé par les deux précédents ouvrages. Ils mettaient en scène Octave Parango, concepteur-rédacteur d’une agence de publicité, que nous avions laissé quelque part en Russie…

HIVER2024 — Ce roman, inspiré par le photographe syrien César dont les clichés ont révélé les cruautés du régime de Bachar al-Assad, raconte l'histoire poignante d'un homme qui se lève contre l'inhumanité.

BONNES FEUILLES – C’est la ballade de Jo Haquim que nous chante Julien Gangnet avec Mon business model, premier attentat à la bienséance littéraire. Venez découvrir les mots d’un nouvel auteur dont on reparlera, dans un roman noir sombre et saisissant…

BONNES FEUILLES - Un pur plaisir de lecture devant l’imagination et l’inventivité de Patrice Pluyette, un roman où l’on redécouvre le roman de chevalerie d’un œil totalement neuf et nouveau, à travers le prisme du cinéma. 

BONNES FEUILLES - Découverte après avoir été oubliée pendant six décennies dans les archives familiales de Marcel Pagnol, la comédie satirique inédite Gaby refait surface grâce aux efforts de Nicolas Pagnol, qui préparait les archives pour un futur musée. 

RentréeLittéraire23 - « Voilà derrière qui je cours : un homme né sage qui s’est un jour mis en tête de découvrir l’Amérique. Celle des invisibles, voix et visages effacés par les logiques institutionnelles. L’Amérique des marges mais aussi de ceux qu’on ne voit plus à force de les croiser tous les jours.

BONNES FEUILLES - Avec Les étoiles les plus filantes (Liana Levi), Estelle-Sarah Bulle signe en cette rentrée littéraire une fiction audacieuse, comblant l’absence d’archives, un grand roman qui raconte une parenthèse enchantée, à la confluence de la Nouvelle Vague et de la bossa nova, et la cruauté quand elle se referme :  l’histoire imaginaire d’un film culte, Orfeu Negro de Marcel Camus, de son tournage en 1958 à sa consécration avec la Palme d'or en 1959 . 

#RentreeLitteraire23 - « Allez, dis-le : je pars ! Il faut que tu te le dises en face, là, droit dans les yeux : je me casse, je mets les voiles, je me tire, je fous le camp, je m’échappe, m’éclipse, m’éloigne, m’évapore, bouge, décampe, décanille, décarre, dégage, déguerpis, je me débine, déménage, déserte, détale, disparais, je m’embarque, je m’enfuis, je file, plie bagage, je prends congé, me retire et tire ma révérence... Après cela, tu devrais te sentir mieux ! » 

HIVER2024 - Publié aux éditions Marabulles en 2018, Dargaud a décidé de rééditer Le Chantier co-écrit par Fabrice Grolleau et Clément Fabre, avec dix planches et une couverture nouvelles. 

HIVER2024 - Frank réside chez sa mère, qui dirige un bordel, où il passe son temps à avoir des relations intimes avec les prostituées ou à les observer, ainsi que les clients, à travers la petite fenêtre de la cuisine. La neige était sale est adaptée d'un des "romans durs" de Georges Simenon, avec, ici, une touche d'existentialisme.