G. Legay

Rentreelitteraire2024 — Emma Becker, célèbre pour sa prose introspective, explore dans son dernier roman les dualités complexes de l'amour et du désir à travers la vie d'une femme tiraillée entre une passion amoureuse ardente et un amour profond pour ses enfants.

BONNES FEUILLES - Après La Putain du Diable, qui a connu un succès critique inattendu, et Les Chutes, un recueil oscillant entre désespoir moqueur et exigence impérieuse d’exister, Melchior explore dans sa poésie les désillusions amoureuses avec une touche à la fois personnelle et universelle.

Rentreelitteraire2024 — « Bad-jens : mot à mot, mauvais genre. En persan de tous les jours: espiègle ou effrontée. » 

Rentreelitteraire2024 — « Je dis, en divisant chaque syllabe, en les plantant pour faire germer un nouveau monde, je dis aimez Gil. Aimez Gil. Une prière dans la voix la plus basse, la voix la plus insignifiante qui puisse être. Aimez Gil. »

Rentreelitteraire2024 — La route qui mène vers Thoreau Heights est somptueuse, magnifiée par les rayons dorés du soleil couchant, qui n’en finit plus de jouer avec les monts alentour... Cinq sœurs vivent pourtant un moment douloureux. La plus jeune, Rose, est atteinte d’un cancer agressif de stade avancé. Face à un destin inévitable, les amies se réunissent pour vivre ensemble des derniers moments aussi beaux que déchirants.

Rentreelitteraire2024 — En avril 2022, la mère de Julia Deck subit un accident cérébral et les médecins estiment ses chances de survie extrêmement faibles. Pourtant, elle déjoue les pronostics. Commence alors un long parcours de rétablissement à travers divers établissements de soins.

Rentreelitteraire2024 — « Ma première fois serait une telle ivresse qu’en vérité je crois que je ne la supporterais pas. Toucher un garçon tient du merveilleux et de l’extraordinaire. Je gâche délibérément, et avec obstination, les plus belles années de mon existence. Celles-ci sont d’ailleurs déjà nimbées d’une mélancolie insupportable. Mais c’est plus fort que moi, je ne peux rien faire contre ma lâcheté. Ni contre cet amour bizarre. »

Rentreelitteraire2024 — « Wesh, Madame, faut nous parler français des fois ! » Cette pépite, parmi tant d'autres, est issue du journal de Myriam Meyer, professeure de français, latin et grec dans un collège en Réseau d'Éducation Prioritaire.

Après De notre monde emporté, Christian Astolfi propose un nouveau roman social. Ce récit met en lumière les parcours de Rose, une Corse qui s'installe à Toulon dans les années 50, et de Farida, une Algérienne résidant dans un bidonville. À travers leurs histoires, l'auteur illustre une amitié née dans le contexte des répercussions de la Seconde Guerre mondiale et des débuts des tensions en Algérie.

« Après le récif des illusions, réapprendre à vivre, voici ce à quoi aspirent les habitants de La maison Dieu ; loin de la lumière zénithale qui prétendait tout dévoiler. »

Rentreelitteraire2024 — « Les phrases sont-elles vivantes, oui ou non ? En fin de journée, j’ai tellement travaillé que les lettres me collent aux doigts. Qu’elle regarde la lumière qui vient vers elle et rend son corps de plus en plus léger et bientôt transparent comme s’il était en verre. La femme que j’aime habite à l’intérieur de mon corps, de sorte que nous sommes dorénavant deux occupants dans cette maison.

Rentreelitteraire2024 — Le récit commence par une déclaration sombre et irréversible : une petite fille est décédée. Estela, la domestique ayant servi la famille de la défunte pendant sept ans, entame son récit en partageant cette tragique nouvelle. Avec lucidité et une brutalité sans fard, elle dépeint la descente aux enfers de ce qui semblait être une existence ordonnée.

Rentreelitteraire2024 — Dans ce récit, deux hommes se retrouvent dans une gare, attendant un train. Ce roman, initialement prévu pour partir à l'heure, subit des retards, s’arrête sans raison apparente et conclut de manière inopinée.