Valérie Ménard, Kim Huynh, Caroline McClish, Rachel Pilon

HIVER2024 - Frank réside chez sa mère, qui dirige un bordel, où il passe son temps à avoir des relations intimes avec les prostituées ou à les observer, ainsi que les clients, à travers la petite fenêtre de la cuisine. La neige était sale est adaptée d'un des "romans durs" de Georges Simenon, avec, ici, une touche d'existentialisme. 

BONNES FEUILLES - Il fut admiré, fustigé, moqué parfois. Alexander Trocchi (1925-1984) a connu son heure de gloire puis a disparu des mémoires à jamais.

AVANT-PARUTION – Après le beau volume 1974/1976 des Œuvres complètes d’Yves Navarre, sorti ce 13 novembre, les éditions H&O proposeront prochainement un tout autre ouvrage. Mais encore centré sur l’écrivain français. Yves Navarre rencontre Alekos Fassianos raconte cette rencontre avec un peintre grec contemporain.

BONNES FEUILLES - Le destin tragique des cinq « presque reines ». Ecartées de l'histoire, échappées à la narration nationale, les dauphines de France sont les grandes oubliées des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Le temps des Bourbons n'a guère retenu les noms de celles qui, par leur naissance et leur mariage, étaient destinées à devenir reines de France, mais ne le sont jamais devenues.

BONNES FEUILLES - Qu’est-ce qu’une spline ? C’est une fonction mathématique qui permet d’approcher des distances, elle est aussi utilisée en statistique en tant qu’outil de prospective, qui procède par interpolation. Variations littéraires époustouflantes autour de lieux hors normes, désossant l’humain, luvan décarcasse les notions de groupe, d’autorité et de liberté.

RentreeLitteraire23 - Un portrait de femme moderne, active, rebelle, qui fait bouger les lignes, voilà ce que cherchent tous les éditeurs pour la prochaine rentrée littéraire. 

BONNES FEUILLES - « L’hostilité de Mme Grimm se marque de façon plaisante. Elle m’a demandé, l’autre jour, à propos du portrait de Goethe :– La France a-t-elle aussi de grands écrivains ? – Pas un seul, ai-je répondu tranquillement. 

HIVER2024 - En cette année 1994, nombreux sont les étudiants à gravir les marches de l’école des Beaux-Arts pour venir écouter, dans son atelier niché sous les combles, le séminaire de Christian Boltanski. François Jonas, le narrateur, boit ses paroles.