Même si le départ houleux de son secrétaire général a un peu remué l'autorité indépendante récemment, la vie de la Hadopi est beaucoup plus calme que lors de ses premières années. Les accusations d'outil répressif se sont calmées, et Mireille Imbert-Quaretta, présidente de la Commission de protection des droits, parle même d'un « objectif de dépénalisation » pour les comportements assimilés à de la contrefaçon sur Internet.