Après le communiqué publié le 23 février provenant des éditeurs de bande dessinée au sujet de l’avenir du Festival International de la Bande Dessinée et la menace d’un boycott censé se traduire dans les faits pour la prochaine édition, un médiateur, Jacques Renard, avait été nommé par le ministère de la Culture. Mercredi 11 mai, une nouvelle étape a été franchie : le président du Département, le président du GrandAngoulême et le maire d’Angoulême se sont rencontrés, apparemment décidés à sauver pour de bon le festival.