Après le soulèvement des éditeurs de BD contre l’organisation du Festival d’Angoulême, la menace de boycotter la prochaine édition plane. « Conséquence de l’absence à la fois d’une vision partagée et d’une gouvernance efficace, la dernière édition du Festival a cumulé les errements », écrivaient-ils. Il reste tout une année pour trouver des solutions. Et le ministère semble décidé à prendre au moins le temps d'écouter les parties en présence.