Écrivain et militant de la modernité dans le Japon du XXe siècle, Seiichi Funabashi avait pour modèle André Malraux et André Gide : parallèlement à ses écrits dramatiques, il crée une revue littéraire, Kōdō, pour donner une vitrine à la littérature contemporaine. En 1948, il signe Portrait de madame Yuki, adapté en 1950 par Kenji Mizoguchi.