Ce 1er juillet, le pays se réveille après une nuit de violences « de moindre intensité », selon le ministère de l’Intérieur — et cependant 471 interpellations dans tout le pays. La mort du jeune Nahel, tué ce 27 juin à Nanterre, alimente la colère et sert de prétexte aux destructions. Le bilan s’alourdit côté infrastructures et commerces quand le gouvernement annonce une sécurité renforcée ce week-end.