C’est à la fin du XIXe siècle, et plus exactement en 1896, que le savant Suédois Svante August Arrhenius – futur Prix Nobel de chimie –, évoqua pour la première fois la théorie de la serre chaude. Selon lui l’accroissement de la quantité de C02 dans l’atmosphère sous l’effet de l’utilisation des énergies fossiles réchauffe la Terre. Mais il estimait que cette hausse des températures ne présageait pas forcément un désastre écologique.