Le dernier livre de Chantal Chawaf, et l’un de ses plus remarquables, comprend trois récits précédés d’un préambule. Les premiers mots, intitulés « Préambule à la séduction », et écrits à la première personne, affrontent la question épineuse, mais essentielle des relations entre la violence et le langage. Écrire la violence exorcise-t-il ou aiguise-t-il la souffrance ?