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Zeniko Sumiya

Extraits

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Yaoi/homosexualité masculine

Tu me coupes le souffle Tome 1

Au sein de la fanfare municipale, le saxophoniste Jun Shizuki, un épicurien doublé d'un coureur de jupons, a clairement du mal avec le joueur de flûte Yukiji Yano, un garçon populaire aux allures de prince. Mais si rien ne semble les rapprocher durant les répétitions, tous les deux ont un intérêt commun secret...

01/2024

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Shojo/fille

5 Seconds Before the Witch Falls in Love

Meg, la Grande Sorcière Solitaire, et Lilith, la chasseuse de sorcières, sont des ennemies jurées, toujours en train de se chamailler ! Mais malgré les provocations et les espiègleries, elles s'apprécient. Leur adorable maladresse fait sourire ceux qui les observent... Mais voilà qu'un incident pousse l'une d'elles à révéler ses sentiments ! Dos au mur, laisseront-elles enfin parler leur coeur ? Ils servent à quoi mes pouvoirs si je peux pas changer mes sentiments ? !

12/2021

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Poches Littérature internation

La Sumida

Dans la forte et subtile éludé dont il fait suivre son excellente traduction du roman de Nagaï Kafû, Pierre Faure définit ainsi le sens de La Sumida : déploration d'un Meiji qui n'a pas tenu les promesses de ses débuts et qui, en voulant greffer un corps étranger sur un tronc qu'il a déraciné, a engendré une crise profonde qui est le drame du Japon moderne ; c'est ce déchirement de l'être japonais moderne que l'on peut deviner ainsi entre les lignes de La Sumida et qui confère à ses accents une résonance si désolée. D'où l'organisation de cette histoire délicate, ténue, mais très savamment bâtie, à la japonaise. Afin d'exprimer formellement son refus d'un Meiji pour qui le bouc de Napoléon III et la discipline prussienne représentaient la civilisation, Nagâi Kafü construit son livre sur le retour cyclique des saisons (ce que reprendra plus tard Kawabata dans son Kyôto), un peu comme le poème des saisons : le haïku ou haïkai : En outre, dans ses descriptions des paysages de Tôkyô, il évoque les estampes japonaises, celles de Hiroshige et de Kunisada, notamment, dont il était alors un des rares là-bas à priser la valeur. C'est aussi le roman de l'adolescence, de l'éveil, dans une société en crise grave, dévorée déjà par la technique, le rendement, et qui relègue au second plan la poésie, la galanterie, le théâtre de kabuki, où le héros verrait les seuls recours contre ce monde âpre et hideux. Nous lisons ici la complainte romanesque d'une civilisation moribonde, celle d'Edo que Tôkyô va supplanter sur place. Sachons incidemment admirer en Nagaï Kafû un homme qui, ayant appris en France à goûter aux libertés, refusera toujours d'entrer dans l'association des écrivains japonais, d'orientation fasciste, et souhaitera être enterré au cimetière des prostituées (satisfaction que lui refusera une famille contre laquelle il s'était d'emblée révolté). Bien que La Sumida remonte à 1909, Nagaï Kafü a donc beaucoup à nous dire aujourd'hui.

04/1988

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Littérature française

Question de famille

A l'occasion de son séjour en mission à Paris, un Japonais est informé du décès de la dame française qui tenait un petit restaurant dans le 7E arrondissement et avec qui il avait noué une relation presque familiale depuis dix-sept ans. C'est le propriétaire d'une brasserie du quartier qu'il fréquentait avec elle lorsqu'il était étudiant à la Sorbonne qui lui apprend la nouvelle, et l'informe qu'elle repose quelque part à Caen. Il va se mettre à la recherche du cimetière où elle est enterrée. Un an après, il profite d'un voyage professionnel en France pour aller visiter la tombe de la dame. L'histoire est constituée par la rétrospection qu'il mène devant la tombe de cette femme. L'homme va lui raconter - outre les événements dont il lui avait déjà fait part lors de ses multiples visites à son restaurant, comme son mariage et la naissance de ses deux filles - ce qui s'est produit dans sa vie depuis leur dernière rencontre, des évènements plus sombres qui lui feront s'interroger, devant la tombe de sa "mère française" , sur ce que c'est une famille. Fumiya ISHIKAWA est professeur de didactologie des langues et des cultures à l'Université Rikkyo (Japon) et membre de l'équipe IDAP-DILTEC de l'Université Paris III-Sorbonne nouvelle. Ses tra¬vaux portent principalement sur les processus de transmission des savoirs, la catégorisation des éléments constitutifs de l'interaction verbale, la formation des enseignants de français ainsi que le FLE dans un système éducatif confronté aux réformes néolibérales. Il est également écrivain et aviculteur d'espèces en voie de disparition dans le but de leur conservation.

07/2023

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Didactique

Le FLE ou français langue extraordinaire ! Un peu de linguistique pour en connaître davantage

A ceux qui apprennent le français comme langue étrangère (FLE), les faits suivants paraissent souvent "étranges" . La première lettre du mot "héros" , bien que dénuée de tout bruit de sou e ou l'aspiration, s'appelle un "h aspiré" . Si, en linguistique, le terme "extraordinaire" a pour antonyme "ordinaire" et que l'on sait que le "croissant ordinaire" désigne une certaine viennoiserie, ni le croissant (au) beurre, ni le croissant aux amandes n'est pourtant surnommé "croissant extraordinaire" . De même, par rapport à l' "ENS" (Ecole normale supérieure) : personne ne peut entrer dans un établissement d'enseignement qui porterait les adjectifs antonymiques, une "EAI" ou "Ecole anormale inférieure" . Il est peu probable que, en demandant à quelqu'un "Vous avez l'heure ? " , la réponse "Oui, j'ai l'heure" soit celle que l'on attend... Susceptibles de stupéfier les apprenants de FLE, de telles caractéristiques linguistiques du français ont, en réalité, la volonté de se transformer en autant d'invitations pour eux et de les conduire à constater que cette langue étrangère n'est en rien "étrange" , mais au contraire "extraordinaire" !

10/2021

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Seinen/Homme

La règle de trois Tome 1

"Nous trois, ça aurait dû durer pour toujours". Kôtarô et Tôru, voisins et amis d'enfance, sont autrefois tombés amoureux de la même jeune femme : Tôko. Tous trois ont formé un étrange triangle doux-amer, jusqu'à la disparition soudaine de Tôru. Aujourd'hui, malgré toutes les années, malgré son mariage en apparence paisible avec Tôko, Kôtarô reste hanté par les regrets et rongé par la culpabilité. Une rencontre comme un coup de tonnerre va brutalement ramener le couple dans le passé, à l'époque lumineuse où la vie s'écrivait à trois. Une nouvelle signature pour ce diptyque lumineux et doux-amer dont les deux volets paraissent simultanément.

03/2024

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