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White coffee

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Policiers

White coffee

Sur la Route 66, Lola Lombard a risqué sa vie et celle de ses enfants pour retrouver Pierre, son mari disparu. Sa confrontation avec David Owens, un tueur en série ayant fait de la route mythique une immense scène de crime, l'a fragilisée. Elle rentre en France, sans Pierre, ignorant s'il fait partie des victimes du serial killer. Mais Gaston, leur fils, est persuadé que son père est vivant. Son retour pourrait bien remettre en cause la relation nouée entre Lola et le criminologue Desmond G. Blur, dont elle a bouleversé le destin en levant le mystère sur un drame familial passé. Chacun se languit désormais d'un côté de l'Atlantique, elle à Nancy, lui à Chautauqua Institution où manifestations étranges, disparitions d'objets et morts suspectes se multiplient. Au fil des jours, l'été bascule vers l'automne, confirmant les menaces qui pèsent sur la population d'une ville coquette, mais aussi sur Lola et son fils. Car les restes d'un corps sont bientôt retrouvés dans le désert de Mojave. Quelqu'un, habité d'un appétit de revanche, est décidé à reprendre possession de ce qui lui appartient. Le plus dangereux prédateur n'est pas forcément celui qu'on croit. t Dans la lignée de Black Coffee, brûlant de l'aura de lieux imprégnés par l'intimité fragile des êtres, White Coffee promet quelques nuits blanches.

10/2016

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Policiers

Black Coffee

Lors d'une belle matinée, Hercule Poirot, retiré des affaires, savoure son petit déjeuner dans son appartement de Mayfair. Rien ne pourrait perturber cette tranquillité retrouvée... Mais lorsque sir Claude Amory, célèbre savant atomiste, sollicite l'aide du détective, il n'en faut pas plus à ce dernier pour abandonner sa tasse de chocolat et se lancer dans une nouvelle enquête. Première pièce de théâtre d'Agatha Christie, Black Coffee fut élégamment transposée de la scène au roman par Charles Osborne, fin connaisseur de la reine du crime. Situé au fin fond de la campagne anglaise, ce huis clos contient déjà tous les ingrédients incontournables de ses oeuvres : suspects, alibis douteux, et un humour très british !

06/2017

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Science-fiction

Coffee city

Où mène donc le "Tube" ? Et où vont ces "trombes" qui circulent à l'intérieur de celui-ci à vitesse supersonique ? La réponse se trouve peut-être à Coffee City... Dans un monde pluvieux, privé de toute forme de communication, peuplé de clans étranges et d'épaves humaines, et surtout traversé par un inquiétant tube transparent, se nourrir, se soigner et se protéger devient chaque jour plus difficile. Un couple et sa petite fille décident de remonter le cours du Tube dans l'espoir de rejoindre une terre meilleure où s'établir. Un voyage long et risqué qui les conduira tout droit dans les mailles de la terrible Coffee City, cité caféicole dont les habitants, quasiment réduits à l'esclavage, sont contraints de cultiver les caféiers pour satisfaire aux mystérieuses exigences des trombes. Les plus productifs d'entre eux gagneront peut-être leur billet pour embarquer dans l'une d'elles, et trouver enfin... la liberté ? La mort ? Quelque chose d'autre ? Nul ne le sait, et les rumeurs courent. En attendant, défense formelle de torréfier les grains et de consommer le breuvage tabou. Mais dans cette société soumise et apeurée, qu'est-ce qui pourrait délier les langues et rétablir la chaleur humaine, mieux que la transgression de cet interdit ?Dans un registre sensible, plein de verve et d'humour, Thierry Vimal s'attache à transposer dans un futur proche et apocalyptique l'infernal quotidien des planteurs de café de l'époque coloniale. Une nouvelle d'anticipation servie par une langue moderne et qui conte aussi l'histoire intime d'une famille.

11/2013

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Policiers

Black coffee

Narcissa, Oklahoma, juillet 1966. Un jour de grand beau temps, un homme fut pris d'un coup de folie. Il égorgea une femme dans une maison et poignarda une petite fille dans le jardin. Il laissa pour morte une mère de famille et son fils, puis repartit à bord d'une Ford Mustang, couvert de sang. Eté 2011. Une Française, Lola Lombard, part à la recherche du père de ses deux enfants, volatilisé sur la route 66. Sa seule piste : un cahier que son mari lui aurait envoyé et qui pourrait bien être la preuve de l'existence d'un des plus ahurissants criminels que les Etats-Unis aient connu... et dont le chemin traversait déjà la petite ville de Narcissa à l'été 1966. " Dans ce dédale de sensations à fleur de coeur et de peau, Sophie Loubière déroule sa pelote via la peinture d'une Amérique plus désabusée qu'à son tour. " Rolling Stone " Une authentique réussite, qui donne envie de prendre à son tour la route 66. " L'Humanité Bonus : la nouvelle Dirty George Clooney.

10/2016

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Littérature française (poches)

White

Une base scientifique européenne posée quelque part dans l'immensité blanche en Antarctique, le " Projet White ". Des chercheurs, des glaciologues, mais aussi un cuisinier, un intendant, un chauffagiste, Peter Tomson, et une standardiste, Edmée Blanco, la seule femme, s'y côtoient., enfermés pour six mois, le temps d'une mission. Tout ce petit monde transporte ses propres fantômes et croise ceux qui rôdent, nombreux, au pôle Sud. De l'aventure ! Du chaud! Du froid ! Des bons et des méchants ! De l'amour ! Jusqu'à quel point faut-il se débarrasser des fantômes pour faire l'amour ?

03/2005

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Littérature anglo-saxonne

White

Que raconte White, première expérience de " non-fiction " pour Bret Easton Ellis ? Tout et rien. " Tout dire sur rien et ne rien dire surtout " pourrait être la formule impossible, à la Warhol, susceptible de condenser ce livre, d'en exprimer les contradictions, d'en camoufler les intentions. White est aussi ironique que Moins que zéro, aussi glaçant qu'American Psycho, aussi menaçant que Glamorama, aussi labyrinthique que Lunar Park, aussi implacable que Suite(s) impériale(s). Loin des clichés toujours mieux partagés, plus masqué que jamais, Bret Easton Ellis poursuit son analyse décapante des Etats-Unis d'Amérique, d'une façon, comme il le dit lui-même, " ludique et provocatrice, réelle et fausse, facile à lire et difficile à déchiffrer, et, chose tout à fait importante, à ne pas prendre trop au sérieux ". Que raconte White en ayant l'air à la fois de toucher à tout et de ne rien dire ? Peut-être que le fil à suivre est celui du curieux destin d'American Psycho, roman d'horreur en 1991 métamorphosé en comédie musicale à Broadway vingt-cinq ans plus tard. Ellis a dit autrefois : " Patrick Bateman, c'est moi ". Il ne le dit plus. Et si Patrick Bateman était devenu président ?

05/2019

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