Le nom a été des mieux choisi, finalement : il s'agit bien d'une exploitation, de l'homme, homo scribendus, par l'homme, homo éditorius, que va mettre en place la législation permettant la numérisation des oeuvres indisponibles du XXe siècle. Publiée au Journal officiel voilà peu, cette loi intègre également le devenir des oeuvres orphelines...