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Tahmima Anam

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Littérature étrangère

Les vaisseaux frères

Le point de vue des éditeurs ! Son diplôme de paléontologie en poche, Zubaïda se prépare à quitter Harvard pour participer à une mission scientifique chargée de mettre au jour le squelette de la "baleine qui marchait", un fossile vieux de cinquante millions d'années susceptible de combler un chaînon manquant de l'évolution. Mais elle est tiraillée entre deux pays, deux cultures et surtout deux hommes : Rachid, son amour de jeunesse, et Elijah, un Bostonien dont elle tombe amoureuse. Il est le fils d'une famille américaine typique, elle, la fille d'une riche famille bangladaise. Lorsqu'un coup du destin l'oblige à rentrer à Dhaka, elle accepte de devenir l'épouse de Rachid. Le mariage est arrangé de longue date et, malgré son amour pour Elijah, Zubaïda ne veut pas trahir l'engagement d'une famille qui l'a adoptée bébé et à laquelle elle doit tout. Bientôt, pourtant, elle parvient à échapper aux contraintes familiales et aux attente de Rachid. Elle part pour Chittagong, sur la côte. Dans l'immense ville portuaire, elle va aider une organisation humanitaire à enquêter sur les conditions d'existence des pauvres diables qui désossent à mains nues, pour une misère et bien souvent au risque de leur vie, les gigantesques épaves des porte-conteneurs et des navires de croisière échoués sur la grève. Elle y retrouve Elijah, qui la complète parfaitement, mais elle-même se sent vide, taraudée qu'elle est par le mystère de ses origines. Jusqu'au jour où un inconnu l'interpelle, en la prenant manifestement pour une autre...

10/2017

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Littérature étrangère

Une vie de choix

Ce matin de mars 1971. Rehana est heureuse: elle -fêtera le soir même. comme chaque année, le retour de ses deux enfants - presque adultes maintenant - Sohail et Mava. Les roses de son jardin sont en fleurs. Mais après les dernières élections, un vent de changement souffle sur le Pakistan oriental. La région est à l'aube de sa révolution: chacun va devoir choisir. Rehana, qui lutte seule pour protéger ses enfants, se trouve confrontée à cette vague de violence. Face au dilemme " Quand on vous demandera ce que vous pensez de la guerre, si vous croyez au Bangladesh ou au Pakistan. que répondrez-vous ? " Rehana répondra: "C e qu'il faudra."

02/2009

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Littérature étrangère

Un bon musulman

Le point de vue des éditeurs : Décembre 1971, la guerre de libération du Bangladesh vient de pendre fin. A présent que le pays est indépendant, mille défis restent à relever, que Sohail Haque et sa soeur Maya vont aborder de maniées diamétralement opposées. Médecin engagé. Maya aide résolument les femmes à conquérir leur liberté. Quant à Sohail, extrêmement affecté par les traumatismes de la guerre, il s'enferme peu à peu dans la religion, un islam intolérant et sectaire qui l'éloigne de ses anciens amis d'université, de sa soeur et même de son propre fils. Très perturbée par la métamorphose de son frère, auquel elle est profondément attachée, Maya quitte la maison de son enfance. A son retour, dix ans plus tard, le fossé s'est encore creusé. Lorsque Sohail décide d'envoyer son fils dans une madrasa, Maya se sent contrainte d'agir, quitte à provoquer le déclenchement, longtemps retardé, d'une inéluctable tragédie. Histoire d'une famille et d'un pays guetté par le fondamentalisme à l'ombre persistante d'une guerre dont les blessures peinent à se refermer, Un bon musulman est une plongée aussi inédite que bouleversante au cour même de l'intégrisme tel qu'il se vit, s'exprime ou se combat au quotidien, chez des hommes et des femmes de chair et de sang dont il confisque douloureusement le destin.

01/2012

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Lecture 6-9 ans

Thamima. La capricieuse / The capricious

Thamima est une princesse très jolie et admirée de tous les villageois. Cependant, son caractère exécrable assombrit le personnage. Au cours d'une cérémonie traditionnelle, la princesse est invitée à choisir parmi les nombreux prétendants, lequel serait son époux. Thamima se montre méprisante et n'en choisit aucun car selon elle, ils sont tous insignifiants. A la fin de la journée, elle décide d'aller faire un tour au marigot. Là, elle rencontre un bel inconnu et tombe immédiatement sous son charme. Elle le ramène au village et le présente à son père comme celui qu'elle a choisi comme fiancé. Très vite le mariage est célébré. Malheureusement, Thamima apprendra à ses dépens que son mari n'est autre qu'un homme-serpent. Elle vit une vie de souillon pendant de longues années ; un matin, la chance lui sourit. Un oiseau vient l'aider à se sauver de la captivité de son mari. De retour dans son village, Thamima fait son mea culpa et demande à son père de l'aider à trouver un mari...

11/2019

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Romans historiques

La dernière impératrice d'Annam. Nam Phuong la sacrifiée

Née dans une des familles les plus riches de l'Annam (Vietnam) à l'époque coloniale, Nguyên Huu Thi Lan a fait ses études en France à l'âge de douze ans. Après avoir obtenu son baccalauréat, elle retourne au Vietnam et devient Impératrice, épouse de Bao Daï, le dernier roi de la monarchie vietnamienne. Elle porte le nom de règne Nam Phuong, c'est-à-dire "Parfum du Sud". Durant le règne de Bao Daï, Nam Phuong est aimée et respectée non seulement par les Vietnamiens mais aussi par les gouverneurs généraux et leurs épouses. Le gouverneur général indochinois Decoux dit que (impératrice Nam Phuong est une femme très bien élevée, disciplinée, une somme des deux cultures, des deux civilisations orientale et occidentale. Sa vie, de son mariage avec Bao Daï jusqu'à sa mort, est traversée des moments les plus tragiques de l'histoire du Vietnam. Splendide, pleine de talents, vertueuse, cette dernière impératrice du Vietnam a connu elle-même un destin tragique. Ayant trop tôt fait confiance à un empereur infidèle, elle se sent toujours seule. Seule catholique à la Cour des Nguyen qui était bouddhiste dans sa majorité. Seule à Huê au moment où Bao Dai est conseiller suprême du gouvernement de la R.D.V. à Nanti(pour élever ses enfants, s'occuper de sa belle-mère. Seule pendant les mois et les années de guerre après le départ de Bao Daï en Chine. Seule avec ses enfants en France après le retour de son époux au Vietnam pour reprendre le pouvoir. Ainsi, la solitude la poursuit jusqu'au dernier moment de sa vie. Cette année marque le 100e anniversaire de sa naissance (1914-2014), ce roman est publié en hommage à cette impératrice qui, durant plus de onze ans (de mars 1934 à septembre 1945), a beaucoup apporté à la dynastie des Nguyên et à la société de l'époque. Durant toute sa vie, elle n'a jamais émis aucune réprobation, aucune plainte.

09/2014

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Littérature française

Manam

Rima Elkouri emprunte les chemins de la littérature afin de démêler les noeuds d'une mémoire familiale blessée. . A la manière de la défunte Téta, qui avait toujours une fable dans sa manche, elle raconte, avec générosité et pudeur, la tragédie arménienne. Au passage, sans emphase, elle nous donne accès à une certaine idée du Québec et de ses immigrants. Léa est institutrice. Tous les mois de septembre, elle accueille la vingtaine d'enfants qu'elle accompagnera pour la prochaine année. Chaque fois, elle brandit le dictionnaire devant eux, leur expliquant que c'est comme un coffre au trésor de vingt-six lettres. Elle leur dit qu'ils ont là tout ce qu'il faut pour raconter le monde. Même ce qui ne se raconte pas. Même les secrets qu'ils n'osent dire à personne. Même le silence. Le secret, le silence, n'est-ce pas justement une grande part de l'héritage que Léa a reçu de sa Téta, sa grand-mère tant aimée, qui vient de mourir à cent sept ans ? Dans la maison de Téta, aux allures de quai de gare, le repas commençait mais ne finissait jamais, la cousine débarquée d'Alep y croisait le neveu de New York ou l'amie de Marseille, tout ce beau monde s'alignait sur le mobilier kitsch, fumait le narguilé, riait aux éclats, mangeait beaucoup trop, prenait des nouvelles des " enfants ", ainsi nommés même à quarante ans. Mais il était un sujet dont Téta refusait de parler. Au début du siècle dernier, presque toute la population de Manam, où vivait sa famille, a trouvé la mort, soit sous les coups de l'armée turque, soit sur la route de l'exil vers la Syrie. Comment sa grand-mère et les siens avaient-ils survécu au massacre ? Dès que Léa lui posait la question, sa Téta, d'ordinaire si volubile, changeait de sujet : " Le Canadien sera éliminé en cinq ou en six, à ton avis ? " Rima Elkouri emprunte les chemins de la littérature afin de démêler les noeuds d'une mémoire familiale blessée. " Nos silences sont des tiroirs à double-fond ", écrit-elle. A la manière de la défunte Téta, qui avait toujours une fable dans sa manche, elle raconte, avec générosité et pudeur, la tragédie arménienne. Au passage, sans emphase, elle nous donne accès à une certaine idée du Québec et de ses immigrants. Elle le fait avec finesse et humilité, à hauteur de femme, d'homme et d'enfant, mettant à profit son habile talent de portraitiste pour nous faire découvrir des êtres courageux qui ont résolument choisi le côté de la vie.

12/2022

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