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Robert Hébras, André Desourteaux

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Andrée Chedid

Née le 20 mars 1920 au Caire, en Égypte, sous le nom Andrée Saab, Andrée Chedid y mène ses études, apprenant le français et l'anglais, et utilisant de manière ponctuelle l'arabe. Avec son mari Louis Selim Chedid, qu'elle épouse en 1942, elle part au Liban l'année suivante, où elle publie son premier recueil poétique, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres d'Andrea Camilleri

Andrea Camilleri était un écrivain italien renommé, célèbre pour sa série de romans policiers mettant en scène le commissaire Montalbano. Il est né le 6 septembre 1925 à Porto Empedocle, en Sicile, et a grandi dans la ville voisine de Agrigente.

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Roman, nouveautés : les livres d'Andrea Camilleri

Andrea Camilleri était un écrivain italien, né le 6 septembre 1925 à Porto Empedocle (Sicile) et décédé le 17 juillet 2019. Il a grandi dans un environnement marqué par les traditions et les coutumes de la Sicile. Après avoir terminé ses études secondaires, il a déménagé à Rome pour poursuivre des études à l'université La Sapienza, où il a obtenu un diplôme en littérature.

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Andreï Kourkov, symbole de la résistance ukrainienne par les Lettres

En l'espace de quelques heures, toute l'Europe a pris peur : la Russie décidait d'envahir l'Ukraine, contre toute attente – ou plutôt, confirmant les craintes d'un grand nombre d'observateurs. Et depuis le 24 février, l'écrivain d'origine ukrainienne, Andreï Kourkov prend la parole dans les médias. Loin d'un couple “Je vous l'avais bien dit”, l'auteur apporte explications et commentaires, comme il l'a fait à travers ses livres.

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Dossier

Alfonic : une méthode pour apprendre à lire et écrire aux plus jeunes

Originellement pensée comme une méthode simplifiant la découverte de la langue, par le linguiste André Martinet, Alfonic était appelée « graphie phonologique Martinet ». Devenu la contraction de « alphabet phonétique », ce système d’apprentissage concerne les jeunes enfants. 

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Dossier

Thorgal : Voyage à travers mythes, étoiles et vikings

La bande dessinée belge Thorgal fusionne habilement l'heroic fantasy et la science-fiction, le tout ancré dans la riche mythologie scandinave. 

Extraits

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Ouvrages généraux

Oradour/Glane, notre village assassiné

Pour les milliers de visiteurs qui découvrent ses ruines, Oradour-sur-Glane restera l'image figée de la mort, de l'horreur absolue des guerres, quand l'homme s'abandonne sans remords à la sauvagerie de sa haine. Pour Robert Hébras et André Desourteaux, qui ont perdu dans ce drame quasiment tous les leurs, Oradour-sur-Glane veut malgré tout rester le village vivant de leur enfance et de leur adolescence. Dans ces pages, Robert Hébras, rescapé du massacre, retrouve-les visages familiers, les souvenirs les plus intimes, les soucis de chaque jour et les fêtes d'un temps perdu à jamais, et retrace, heure par heure, minute par minute, cette journée du 10 juin 1944 qui a fait basculer dans l'éternité tragique ce paisible village limousin. Tous deux essaient de comprendre, enfin, ce qui s'est passé, et le pourquoi de ces 644 victimes dont les bourreaux ne furent jamais punis.

03/2001

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Autres éditeurs (U à Z)

André André André

C'est l'histoire de trois frères. Le premier s'appelle André. Le deuxième s'appelle André. Et le troisième s'appelle André. Quel cafouillage quand ils viennent tous les trois dès qu'on en appelle un ! Ou qu'ils répondent au téléphone alors que ce n'est pas pour eux ! Franchement, impossible de savoir qui est qui... Il va falloir prendre les choses en main. Cet album parle avec justesse et humour du fait de trouver sa place dans une fratrie.

11/2021

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occupation

Le dernier témoin d'Oradour sur Glane

Le témoignage de Robert Hébras, dernier témoin de la tragédie d'Oradour Le 10 juin 1944, lorsqu'une unité de la Waffen SS investit Oradour-sur-Glane, Robert Hébras a l'insouciance d'un jeune homme loin de la guerre, tout à son match de foot du lendemain. L'histoire en décidera autrement. En ce sombre samedi, dans le paisible village de Haute-Vienne, les soldats allemands vont commettre le plus grand massacre de civils de la Seconde Guerre mondiale : 643 morts dont plus de 450 femmes et enfants enfermés dans l'église en flammes. Seule une poignée de personnes réchapperont de cet enfer, dont Robert Hébras. Près de quatre-vingts ans après les faits, le drame résonne toujours en lui. Dans les ruines du village, il emmène Agathe, sa petite-fille, dès son plus jeune âge, et lui raconte Oradour. Sa jeunesse, sa mère et ses soeurs perdues dans l'église, et cette journée tragique dans chaque détail mais dont le récit est nécessaire à la sauvegarde de la mémoire. Robert Hébras est un témoin essentiel, marqué à jamais par la folie de la guerre, mais aussi porté par le besoin de transmettre, inlassablement, son histoire aux générations futures. Pour ne jamais oublier. Biographie Après des études de littérature et de journalisme à Paris, Mélissa Boufigi a été journaliste au Parisien près d'une dizaine d'années avant de rejoindre la rédaction d'Ouest-France il y a deux ans. C'est lors d'un reportage à Oradour-sur-Glane, en 2020, qu'elle fait la rencontre de Robert Hébras et de sa petite-fille, Agathe.

06/2022

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Ouvrages généraux

Avant que ma voix ne s'éteigne

La vie était paisible en 1944, à Oradour. Ce petit village limousin semblait vivre la guerre de loin jusqu'à ce samedi 10 juin 1944 où 642 femmes, enfants et hommes vont être massacrés par la 2e SS Panzer Divison, surnommée Das Reich. Robert Hébras, survivant du massacre d'Oradour-sur-Glane, livre ses dernières paroles à son ami Laurent Borderie, journaliste au Populaire. Confidences d'un homme unique qui se veulent être un témoignage universel pour les générations futures.

04/2014

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Ouvrages généraux

Oradour-sur-Glane. Le drame heure par heure

Robert Hébras avait 19 ans lorsque, le 10 juin 1944, sa vie a basculé dans l'horreur. Quelques heures ont suffi pour qu'il perde tout : sa famille, ses biens et les empreintes de son passé. Les S.S. ont appliqué un plan diabolique fort bien préparé : rayer de la carte un bourg et supprimer tous les témoins possibles de leur sauvagerie sanguinaire. Très peu ont pu échapper à ce massacre qui a fait 642 victimes. Une femme et cinq hommes ont pu fuir l'enfer de la tuerie. Robert Hébras était l'un d'eux. D'autres ont pu déjouer la vigilance des tortionnaires en se cachant dans des abris de fortune. Après de longues années de silence, Robert Hébras parle enfin du drame qu'il a vécu, de la stratégie et de la détermination des S.S., des tortionnaires qui furent seulement quelques-uns à être jugés pour répondre de leur crime devant la justice et du défi que les survivants ont dû relever. Et puis, de tous ces êtres qui, ce jour-là, étaient à Oradour. Toutes ces femmes, ces enfants, ces hommes qui se réjouissaient du débarquement des Alliés qui avait eu lieu quatre jours auparavant. Sans doute ont-ils tous cru à la fin de cette guerre qui n'en finissait plus. Mais voilà, des hommes en ont décidé autrement en réalisant un génocide inqualifiable. Ils ne connaîtront jamais les joies de la Libération, car une folie meurtrière s'est abattue sur eux. Ils sont tous morts sans avoir jamais compris pourquoi. Ce récit vous permettra non seulement de comprendre le déroulement des événements d'heure en heure, mais également de mesurer la détresse des victimes face à leurs bourreaux. Si le temps des antagonismes est révolu un demi-siècle après, il ne faut pas pourtant oublier les conséquences qu'engendre le fanatisme. Puisse-t-il vous permettre de vous en souvenir et de ne pas oublier.

10/2003

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Photographie

Robert

J'ai toujours eu un faible pour Robert Doisneau et ses photographies qui dégrisent la réalité, comme un lendemain de fête. J'y ai croisé des gens plus ou moins abordables, fréquemment aimables, tantôt embarrassés par leur corps, les soucis, les parapluies, tantôt en harmonie avec cette société d'après-guerre où l'espoir renaissait. En photographiant ces gens ordinaires dans leur décor, souvent en bas de chez eux, Doisneau les a rendus hors du commun. Ce qui n'en fait pas un saint, heureusement, il rie se prenait pas la tête, ce qui l'a sauvé du pire, probablement. Reste le meilleur.

03/2011

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