Recherche

Philippe Jaenada

Extraits

ActuaLitté

Criminalité

Sans preuve & sans aveu

L'incompréhension et l'indignation. Philippe Jaenada a été saisi de ces sentiments au spectacle de l'injustice flagrante qui, en juin 2021, a condamné à quinze ans de prison un homme de soixante-six ans sans aucune justification avérée. Il a tenu à écrire dans le détail le cheminement de cette instruction longue et litigieuse qui a conduit à une décision inacceptable.

10/2022

ActuaLitté

Criminalité

Sans preuve & sans aveu

"Pendant que je fais des phrases, un homme fermente dans une cellule". Philippe Jaenada Alain Laprie a été condamné à 15 ans de prison pour le meurtre de sa tante. La justice pénale a tranché. Sur la base d'un dossier vide, ne contenant aucune preuve tangible, elle a privé l'homme de sa liberté et l'a séparé des siens. A travers cet exemple, dont il décortique avec la minutie qu'on lui connaît chacun des éléments, Philippe Jaenada dresse un vibrant réquisitoire contre les dysfonctionnements inacceptables d'un système policier et judiciaire qui, par manque de moyens et de détermination, se délite sous nos yeux dans l'indifférence générale. Né en 1964, Philippe Jaenada est un écrivain majeur de la littérature contemporaine. Son humour irrésistible et son inimitable autodérision s'entremêlent avec grâce à la puissance de ses livres. La Serpe a reçu le prix Femina 2017. Ses romans sont disponibles chez Points. Postface inédite de l'auteur.

10/2023

ActuaLitté

Non classé

Au printemps des monstres

Luc Taron, onze ans, est enlevé à Paris un soir du printemps 1964. Son corps est retrouvé le lendemain dans une forêt de banlieue. Pendant plus d'un mois, un enragé inonde les médias et la police de lettres de revendication signées "L'Etrangleur". Un jeune infirmier avoue finalement le meurtre et est incarcéré. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Dans cette société naissante qui deviendra la nôtre, tout est trouble, tout est factice. Tout le monde truque, ment, triche. Et ce qu'on savait se confirme : les pervers, les fous, les monstres ne sont pas souvent ceux qu'on désigne.

08/2022

ActuaLitté

Non classé

La serpe

Un matin de 1941, au château d'Escoire, Henri Girard appelle à l'aide : son père, sa tante et la bonne ont été massacrés à la serpe. Unique survivant et unique héritier, il est le suspect numéro un. Au terme d'un procès retentissant il sera pourtant acquitté. Il deviendra un écrivain célèbre et mènera une vie d'aventurier. L'énigme restera irrésolue. Jusqu'à ce que Jaenada se penche sur la question...

08/2022

ActuaLitté

Littérature française

Au printemps des monstres

Ce n'est pas de la tarte à résumer, cette histoire. Il faut procéder calmement. C'est une histoire vraie, comme on dit. Un garçon de onze ans est enlevé à Paris un soir du printemps 1964. Luc Taron. (Si vous préférez la découvrir dans le livre, l'histoire, ne lisez pas la suite : stop ! ) On retrouve son corps le lendemain dans une forêt de banlieue. Il a été assassiné sans raison apparente. Pendant plus d'un mois, un enragé inonde les médias et la police de lettres de revendication démentes, signées " L'Etrangleur " ; il adresse même aux parents de l'enfant, horrifiés, des mots ignobles, diaboliques, cruels. Il est enfin arrêté. C'est un jeune homme banal, un infirmier. Il avoue le meurtre, il est incarcéré et mis à l'écart de la société pour le reste de sa vie. Fin de l'histoire. Mais bien sûr, si c'était aussi simple, je n'aurais pas passé quatre ans à écrire ce gros machin (je ne suis pas fou). Dans cette société naissante qui deviendra la nôtre, tout est trouble, tout est factice. Tout le monde truque, ment, triche. Sauf une femme, un point de lumière. Et ce qu'on savait se confirme : les pervers, les fous, les odieux, les monstres ne sont pas souvent ceux qu'on désigne.

08/2021

ActuaLitté

Non classé

La serpe

Un matin d'octobre 1941, dans un château sinistre au fin fond du Périgord, Henri Girard appelle au secours : dans la nuit, son père, sa tante et la bonne ont été massacrés à coups de serpe. Il est le seul survivant. Toutes les portes étaient fermées, aucune effraction n'est constatée. Dépensier, arrogant, violent, le jeune homme est l'unique héritier des victimes. Deux jours plus tôt, il a emprunté l'arme du crime aux voisins. Pourtant, au terme d'un procès retentissant (et trouble par certains aspects), il est acquitté et l'enquête abandonnée. Alors que l'opinion publique reste convaincue de sa culpabilité, Henri s'exile au Venezuela. Il rentre en France en 1950 avec le manuscrit du Salaire de la peur, écrit sous le pseudonyme de Georges Arnaud. Jamais le mystère du triple assassinat du château d'Escoire ne sera élucidé, laissant planer autour d'Henri Girard, jusqu'à la fin de sa vie (qui fut complexe, bouillonnante, exemplaire à bien des égards), un halo noir et sulfureux. Jamais, jusqu'à ce qu'un écrivain têtu et minutieux s'en mêle... Un fait divers aussi diabolique, un personnage aussi ambigu qu'Henri Girard ne pouvaient laisser Philippe Jaenada indifférent. Enfilant le costume de l'inspecteur amateur (complètement loufoque, mais plus sagace qu'il n'y paraît), il s'est plongé dans les archives, a reconstitué l'enquête et déniché les indices les plus ténus pour nous livrer ce récit haletant dont l'issue pourrait bien résoudre une énigme vieille de soixante-quinze ans.

08/2017

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté