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Orange sanguine

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Poésie

Orange sanguine

Dans son recueil, Orange sanguine, Laure Morali nous entraîne dans ses pas aux horizons multiples - Haïti, Québec, grand Nord canadien et, même, Vénissieux, France, où elle résida de janvier à avril 2014. Elle nous invite à découvrir les mondes, ses mondes, du dedans et du dehors, qu'elle traverse et retraverse, chaque fois avec un peu plus d'émotion... Orange sanguine est écrit dans la simplicité de la voix. Il s'agit, là, d'une haute mais intime poésie, discrète, murmurée presque... Laure Morali sait dire les petites et les grandes choses de l'existence, avec retenue et précision ! L'auteure a imaginé ce recueil comme une partition composée d'une alternance de courts poèmes dans l'esprit du haïku japonais et de " longs poèmes narratifs épousant la route ". En exergue des huits parties structurant le recueil, un haïku de Issa, Kerouac, Michaux, Sôseki, Shiki ou Bashô " ouvrent le chemin et nous fait entrer ` dans une saison ". Le recueil est suivi d'une conversation inédite entre l'auteure et l'éditeur.

03/2015

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Policiers

L'orange sanguine

Le capitaine s'approcha du corps qui gisait sur le côté. Il s'agissait d'un homme d'une trentaine d'années, très blanc, à l'apparence presque albinos. Visiblement, sa tête avait heurté le coin d'un bureau. Au-dessus de celui-ci se trouvait une mezzanine qui semblait desservir des locaux au premier étage du bâtiment. Une de ses jambes était repliée d'une étrange manière sous sa hanche. Du sang avait coulé de sa bouche et de ses oreilles. Une coupe de fruits exotiques, sans doute posée sur le bord du bureau, avait basculé. Une orange se trouvait tout contre sa joue dans une flaque de sang séché. Qui a tué Landry Hammerer, directeur FRTcom à La Réunion, craint et haï par beaucoup ? Sa femme ? Un collaborateur ? Un de ses patrons, tous exaspérés par cet être maléfique ? Le capitaine Jean-Pierre Vidal, coureur de fond et adepte du Grand Raid réunionnais, mène l'enquête. Une investigation à la mesure de cette course : longue, difficile et à l'issue incertaine.

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Romans policiers

L'orange sanguine

Le capitaine s'approcha du corps qui gisait sur le côté. Il s'agissait d'un homme d'une trentaine d'années, à l'apparence presque albinos. Visiblement, sa tête avait heurté le coin d'un bureau. Au-dessus de celui-ci se trouvait une mezzanine qui semblait desservir des locaux au premier étage du bâtiment. Une de ses jambes était repliée d'une étrange manière sous sa hanche. Du sang avait coulé de sa bouche et de ses oreilles. Une coupe de fruits exotiques, sans doute posée sur le bord du bureau, avait basculé. Une orange se trouvait tout contre sa joue dans une flaque de sang séché. Qui a tué Landry Hammerer, directeur FRTcom à La Réunion, craint et haï par beaucoup ? Sa femme ? Un collaborateur ? Un de ses patrons, tous exaspérés par cet être maléfique ? Le capitaine Jean-Pierre Vidal, coureur de fond et adepte du Grand Raid réunionnais, mène l'enquête. Une investigation à la mesure de cette course : longue, difficile et à l'issue incertaine.

03/2024

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Littérature étrangère

Oranges sanguines

Élevé dans une ferme en Afrique du Sud, Gecko a une enfance plutôt heureuse entre Beauty la nounou zouloue et Lucky Strike le cuisinier, une mère infirmière aux idées libérales et un père héroïsé qui chasse le zèbre et le springbok. Puis viennent la confrontation à la réalité de la ségrégation, l'éveil sexuel et l'apprentissage politique tragi-comique au lycée du Cap, alors que pointe un inquiétant nuage à l'horizon : la conscription pour l'armée sud-africaine. Oranges sanguines évoque, dans une prose âpre et sensuelle, le désir et la peur de grandir d'un adolescent blanc en Afrique du Sud dans le monde violent des dernières années de l'apartheid. Dans ce prolongement autofictionnel du très remarqué Karoo Boy, le narrateur cherche à dégager les images fondatrices qui l'ont conduit à aimer plus que tout autre ce pays qu'il fut pourtant condamné à fuir en tant que déserteur.

08/2008

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Littérature française

Sanguine

Dans la solitude d'un village de Corse, alors que l'heure de la retraite a sonné et que la vie, nonchalante, se partage entre activités intellectuelles, remise en ordre du passé et organisation du quotidien, l'amour constitue un point de fuite inespéré. La femme qui l'a suscité incarne une dernière chance de bonheur dans l'existence du narrateur. Elle est son "beau souci" et sait se faire désirer. Nathalie a une âme d'artiste. Lui, d'esthète. Elle veut vivre intensément, de tous ses pores, quitte à tromper son mari. Lui, lucide plus que désabusé, veut désormais profiter du simple et du beau... et l'ambiguïté de leur relation lui pèse. Sanguine, elle l'est. Désirante et obstinée. Sans doute un peu volage. Lui, le cérébral, sait bien que le destin des amours clandestines est de finir un jour... Cinq ans déjà ont passé depuis leur première rencontre. Rien ne poudroie plus au loin, il l'a compris. Mais l'amour... ?

03/2015

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Littérature française

Ville sanguine

Le narrateur, critique d'art et journaliste, se rend à Bordeaux afin de se documenter sur l'exil de Goya dans la capitale girondine. Pendant son séjour, il noue une relation ambiguë avec la très distinguée Hélène Dubourg, commissaire adjointe de la future exposition Goya, hommage que rend la ville au peintre espagnol qui y mourut en 1828. Ce retour dans la ville de son enfance coïncide avec la fugue inexplicable de son amie Natacha, qui, en le quittant sur les quais de la gare Montparnasse, lui a lâché ces mots énigmatiques : Il ne faut jamais s'arrêter. Hasard du calendrier, Bordeaux est alors le théâtre du dernier grand procès du siècle, celui de Maurice Papon, accusé de crimes contre l'humanité. Les rumeurs et les remous que provoque cet événement amènent le narrateur à revivre la passion impossible et tragique qu'il partagea ici même, adolescent, avec Jenny, la très jeune compagne de son père. Les visions des désastres de la guerre qui avaient hanté Goya jusqu'à la fin de sa vie sont de nouveau d'actualité : en témoignent les récits insoutenables des survivants des camps. Entre ces deux faits apparemment fortuits - l'exposition Goya et le procès Papon -, le narrateur voit s'exprimer la pérennité de la violence et de la haine dans le monde. Cherchant à assumer enfin son passé, il croira avoir trouvé en l'insaisissable Linda, une photographe très mode originaire des îles Sous-le-Vent, ce quelque chose de plus fort que le désespoir, une toute neuve et inexplicable émergence de l'amour.

03/2003

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