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Nathalène Reynolds

Extraits

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Inde

La vie quotidienne des cachemiris au temps de la militance - (1988-2019)

A la mi-août 2019, le gouvernement indien abrogea les vestiges d'une autonomie dont son Etat du Jammu-et-Cachemire continuait de jouir. Le Pakistan tenta en vain de saisir le Conseil de Sécurité, rappelant que celui-ci avait prescrit au début des années 1950 l'organisation d'un plébiscite qui autoriserait les populations de l'ancien Etat princier du Jammu-et-Cachemire à s'exprimer. Reste la confrontation indo-pakistanaise qui se saisit des aspirations indépendantistes de la Vallée du Cachemire. Nathalène Reynolds a séjourné de longues années en Inde et au Pakistan ; elle se penche sur un aspect primordial et pourtant inexploré du conflit du Cachemire, celui de la vie quotidienne de ses habitants et des paradoxes politiques, économiques et sociaux qui rythment la revendication à l'indépendance.

12/2021

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Littérature étrangère

Mrs Reynolds

Un nouvel ouvrage de Gertrude Stein, encore inédit en français, préfacé par Jacques Roubaud. Composé de 1940 à 1943, "Mrs Reynolds" est le dernier roman de Gertrude Stein. Plus narratif que ses ouvrages initiaux, il se déroule en pleine Seconde guerre mondiale, dans une petite ville de France en zone libre. On y suit cette femme sans prénom, vaquant à ses occupations de villageoise soumise aux desseins de la météorologie, de l'astrologie et de la prophétie. Entre autres voisins, deux personnages, Angel Harper et Joseph Lane : derrière ces patronymes, on reconnaît facilement Adolf Hitler et Joseph Staline. Ceux-ci sont présentés tantôt comme deux personnages sans relief particulier, pris par un quotidien proche de celui des villageois qu'ils côtoient , tantôt comme des personnalités à part, dont le destin futur de dictateur plane comme une ombre sur l'Histoire et le destin des nations. Si le roman n'a en soi aucune volonté d'affirmer un positionnement idéologique précis, il laisse en revanche parfaitement percevoir le climat de profonde inquiétude qui marque cette époque. L'histoire y est introduite sous la forme d'un présent continu, qui fait la trame des vies, et en donne la tonalité.

09/2018

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Littérature française

Orfenor Tome 1 : Natalène

Le jour où sa mère l'a abandonné dans la vaste maison de Blajan, Tristan s'est mis au piano et a joué six heures d'affilée. Il n'a plus jamais cessé. Tristan grandit avec sa musique à Blajan, sous l'aile de son grand-père, inflexible et extravagant chef de clan, avec ses cinq cousins, nichée turbulente semée là par la génération précédente. Parmi eux il y a Natalène. Elle a l'âme farouche et les yeux jaunes, elle est brune de peau et légère comme un oiseau. La même liberté, la même brûlure coulent dans leurs veines. Peu à peu la force qui les unit va devenir la plus secrète des histoires d'amour. Mais Natalène a un père bohémien qui chaque année l'arrache à Blajan et à Tristan sans jamais dire quand il la leur rendra. Et chaque automne la ramène à l'improviste. Obstinément muette sur cette autre vie, couverte de bleus, sale et provocante, chaque fois différente de celle qui était partie, donnant à leur amour des couleurs sombres, mystérieuses et ensorcelantes.

05/2004

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Littérature française

Les vies multiples de Jeremiah Reynolds

Etonnant et fulgurant destin que celui de Jeremiah Reynolds : après avoir probablement été le premier homme à poser le pied sur le continent antarctique en 1829 et avoir fait de cette expédition un récit qui influença Edgar Allan Poe pour ses Aventures d'Arthur Gordon Pym, il devint colonel pendant la guerre civile chilienne, chef militaire des armées mapuches, avocat à New York, effectua un demi-tour du monde, et écrivit un récit de chasse au cachalot blanc qui fut peut-être à la source d'un des romans les plus lus et les plus commentés de la littérature américaine et mondiale.

01/2016

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Essais biographiques

Mary Reynolds. Artiste surréaliste et amante de Marcel Duchamp

Jeune Américaine expatriée en France, Mary Louise Reynolds (1891-1950), entraînée dans le cercle des surréalistes, devient une artiste reconnue à la pointe de l'avant-garde et s'engage dans la Résistance en 1941. Veuve de guerre, la belle Mary débarque dans le Paris des années folles qui swingue au son du jazz et ferraille autour de Dada et du surréalisme. Du Dôme à Saint-Germain-des-Près, du Jockey à l'emblématique Boeuf sur le toit, Mary règne sur les nuits de la capitale et se lie avec Henri-Pierre Roché, Constantin Brancusi, Man Ray, Peggy Guggenheim, Jean Cocteau, André Breton et, surtout, le séduisant Marcel Duchamp dont elle s'éprend. Friande d'esthétisme, l'époque la conduit à la reliure d'art et ses réalisations, recherchées par une clientèle exigeante, rivalisent d'audace et d'humour. Alors que la France est à la merci des nazis, Mary entre dès mars 1941 dans la Résistance aux côtés de Gabrièle Picabia. Mais le réseau est donné : Mary échappe de peu à la Gestapo et, après une folle épopée, regagne clandestinement les Etats-Unis. Rentrée à Paris après-guerre, elle dirige une revue d'art, avant de s'éteindre, frappée par la maladie, veillée par Duchamp. Christine Oddo nous restitue dans un style alerte et limpide cette histoire d'amour et d'art.

09/2021

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Beaux arts

Reynold Arnould. Une poétique de l'industrie

Tubulures de l'industrie chimique et grands pylônes électriques, pales de turbines et torchères pétrolières... La grande industrie moderne respire une beauté particulière, inquiétante et fascinante. Peu de peintres pourtant s'en sont saisis. Aucun, en tous cas, autant que Reynold Arnould (1919-1980), qui a transfiguré cette industrie dans des toiles d'apparence abstraite à l'occasion d'une grande exposition au musée des Arts décoratifs en 1959. Artiste typique de la génération d'après-guerre, Reynold Arnould a dirigé les musées du Havre de 1952 à 1965 et inauguré en 1961 dans cette ville le premier musée de conception moderne en France. André Malraux l'appela en 1965 à la direction des Galeries nationales du Grand-Palais. Mais cette brillante carrière de conservateur ne doit pas occulter son oeuvre picturale, inlassablement poursuivie pendant cinquante ans, dont les toiles industrielles sont une composante majeure. La première partie de cet ouvrage décline le thème de l'industrie chez Reynold Arnould, depuis ses portraits d'automobiles de 1955 jusqu'à ses oeuvres murales des années 1960-1970. La seconde partie éclaire cette peinture par le récit de la jeunesse de cet artiste, de sa rencontre avec le peintre et écrivain mondain Jacques-Emile Blanche en 1934 à sa nomination au Havre en 1952. A travers ce cas singulier : jeune prodige, premier Prix de Rome à vingt ans, professeur de beauxarts dans une université du Texas de 1949 à 1952, c'est aussi un pan d'histoire sociale de la peinture du XXe siècle qui est ainsi mis à jour.

11/2019

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