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Nastia

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Littérature étrangère

Nastia

Troïaka, un village russe comme un autre. Un enfant y passe ses vacances avec Nastia, sa nounou. Il y a la beauté de la nature de la Russie centrale, l'étang, les promenades, les jeux simples... Ici un cheval, là un chat ou un chien. Des isbas. Une ambiance très tchékhovienne, à ceci près que nous sommes en URSS dans les années 1960-1970. Nastia relève de trois genres littéraires, tout en restant inclassable. Il s'agit tout d'abord d'esquisses d'une vie rurale qui semble d'autant plus suspendue dans le temps qu'elle n'existe plus aujourd'hui : les villageois sont morts ou ont gagné les villes, les maisons sont en ruine. Le mode de vie paysan qui, jusqu'aux années Khrouchtchev, avait survécu par une sorte de miracle à toutes les guerres, révolutions et autres collectivisations, est moribond. Nastia est ensuite un livre de mémoire. Mémoire d'une enfance déjà lointaine. Mémoire d'un lieu englouti, telle une Atlantide, avec les êtres qui le peuplaient. Andreï Alexandrov a gardé le souvenir de chaque maison, de chaque personne, ressuscitées dans le texte et les pastels qui l'accompagnent. Enfin, Nastia est un portrait magnifique, comme on n'en trouve que dans la littérature russe classique : un portrait de nounou - une tradition depuis Pouchkine -, femme irremplaçable, à la beauté simple et pure.

03/2018

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Théâtre

Bastia an zéro vingt

Bastia, soir du 14 avril 2020. Intérieur nuit. Une femme, un homme, puis une jeune femme. Confinés. La femme aurait dû être à Rome. Très vieille promesse d'y retrouver quelqu'un. Mais le monde est à terre depuis un mois et la mer est un mur. On parle toute la nuit comme on remonte un fleuve. Plus grand-chose où s'appuyer au point du jour, sinon au vent qui se lève pour nous réveiller, peut-être, d'un sommeil qui nous a prévus longuement.

10/2022

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Littérature française

Un balcon à Bastia

Sandrine entre au café Mulfassano de Turin. Un homme la suit. Elle aime se promener dans les rues de cette ville : au cours d'une promenade dans la via Po, près de l'université, ses souvenirs affluent : c'est un voyage intérieur qui commence, à la découverte des hommes qu'elle a aimés, de l'Italie, de la Toscane qu'elle affectionne, mais aussi de Paris et de ses cafés, de Lyon. Un voyage qui l'entraîne aussi vers ses racines méditerranéennes, Bastia, Corscia, son village de Haute-Corse qui la vit naître et où elle voudrait mourir. Entre récit et essai, entre roman et réflexion philosophique, les chemins de Sandrine sont aussi les nôtres.

05/2010

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Histoire de France

Le Serment de Bastia

Charles Pasqua a brutalement disparu le 29 juin 2015. Les mois précédents, avec Jean-François Achilli, il s'était lancé dans le récit de sa vie, en remontant aux origines d'une famille pauvre et unie, de la Corse à Grasse, en passant par les maquis pendant la guerre et par quinze années chez Ricard. C'est la première fois qu'il acceptait de parler de ces chapitres intimes dans un livre. Mais ce récit explore aussi sa longue carrière politique, entre ombre et lumière, de l'engagement gaulliste à la litanie des affaires qui aura occupé la fin de sa vie publique. Les racines corses, Chirac, le SAC, Malik Oussekine... Autant de sujets sur lesquels on aimait le chatouiller, et à propos desquels il avait souvent botté en touche. L'homme d'Etat, enfin, se livre sur lui-même, sa vie au côté de son épouse, la disparition de son fils, ses regrets. Du Pasqua parlé dans le texte, parfois abrupt, souvent tendre. Charles Pasqua restera un monument de la vie politique française, qui a traversé un demi-siècle d'histoire, ne laissant jamais personne indifférent.

09/2016

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Littérature étrangère

Le roman d'une éducation. Nastia l'inadoptée

C'est en s'inspirant d'une expérience personnelle que Nina Gorlanova et son mari écrivent Le Roman d'une éducation. Nastia, l'enfant adoptée, effrontée et grossière, perpétuellement affamée et à la santé fragile rejoint une famille d'intellectuels déjantés et désargentés, déjà parents de quatre enfants. Elle se révèle talentueuse, tant pour les bêtises que pour s'en sortir par un bon mot. Mais c'est pour l'art et la peinture que la fillette montre de réelles aptitudes. Les Ivanov misent sur ce don pour faire d'elle une personne cultivée et épanouie. Un long combat s'engage, la famille ne recule devant aucun sacrifice. Mais peut-on vraiment échapper à sa condition, à son histoire familiale ? Véritable collage littéraire, ce roman choral, parfois publié sous le titre alternatif Une âme étrangère invite le lecteur, à travers une histoire particulière, à réfléchir sur les difficultés de l'adoption.

09/2018

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Corse

Pour l'amour de Bastia

Ce livre est pour Agnès Clancier un récit intime, où Bastia s'incarne en amie, en berceau, en mère ; et où s'entremêlent descriptions réalistes et fragments de récits oniriques, histoire d'une ville vécue dans de jeunes années et histoire familiale rêvée. Elle dresse ainsi un portrait surprenant d'une admirable cité qui est corse, mais aussi "baroque et italienne", source de "nostalgie et de lumière". La balade inspirée dans laquelle l'auteure nous entraîne amène le lecteur à découvrir celle que Ptolémée dénommait Mantina, avec ses émouvantes "glacières" remontant au XVIe siècle, et tous ses sites favoris : le jardin Romieu, le Vieux-Port, la plage de Ficajola...

06/2021

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