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Marc Montoussé, Dominique Chamblay

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Dossier

Nouveautés, actualités : les livres et romans de Dominique Barbéris

Dominique Barbéris est une écrivaine française née à Paris. Elle est surtout connue pour ses romans qui explorent souvent les subtilités des sentiments, les souvenirs et la mélancolie. Barbéris a une prédilection pour dépeindre les nuances de la vie quotidienne et les émotions intérieures de ses personnages.

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Livres, actualités : tout sur Marc Levy

Né le 16 octobre 1961 à Boulogne-Billancourt, Marc Levy connait plusieurs carrières avant de se mettre à l'écriture : le succès de son premier roman, Et si c'était vrai, en 2000, l'incite à se consacrer exclusivement à son activité d'auteur. Bien lui en a pris : à un rythme qui devient rapidement annuel, Marc Levy publie un roman qui devient presque automatiquement un ouvrage classé dans la liste des meilleures ventes.

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Roman, nouveautés : les livres de Marc Voltenauer

Né en 1973 à Genève, Marc Voltenauer se destinait à être pasteur. Après des études de théologie, il réoriente sa carrière vers la banque puis l’industrie pharmaceutique et écrit son premier roman, Le Dragon du Muveran qui a obtenu le Prix SPG au Salon du livre de Genève. 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marc Levy

À 18 ans, Marc Levy s’engage dans la Croix Rouge et il y passe 6 ans. Puis, après avoir créé une société spécialisée dans les images de synthèses en France et aux États-Unis, il dirige un cabinet d'architecture. 

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Dossier

Le Prix Renaudot

Créé en 1926 par des journalistes et des critiques littéraires qui s'ennuyaient en attendant les choix des jurés du Prix Goncourt, le Prix Renaudot s'est depuis fait une place de choix au sein des prix littéraires de la rentrée. Il emprunte son nom à Théophraste Renaudot (1586-1653), journaliste et médecin français, connu comme le créateur de la presse et de la publicité françaises...

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Andrée Chedid

Née le 20 mars 1920 au Caire, en Égypte, sous le nom Andrée Saab, Andrée Chedid y mène ses études, apprenant le français et l'anglais, et utilisant de manière ponctuelle l'arabe. Avec son mari Louis Selim Chedid, qu'elle épouse en 1942, elle part au Liban l'année suivante, où elle publie son premier recueil poétique, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake.

Extraits

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Economie

100 fiches pour comprendre les sciences économiques. 8e édition

Cet ouvrage présente en 100 fiches synthétiques les notions de base des sciences économiques et des mécanismes économiques. Organisée en 10 parties, cette nouvelle édition mise à jour et augmentée fournit l'ensemble des clés et des repères pour comprendre les grands champs de la discipline. Deux index (termes majeurs et auteurs) permettent une consultation rapide et efficace sur un point précis. Un ouvrage de référence pour réussir examens et concours.

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Littérature française

Madame de chamblay. Tome I

C'est une singulière histoire que celle que je vais vous raconter - ou plutôt que celle que l'on va vous raconter, cher lecteur. Elle est écrite par un homme qui n'a jamais rien écrit que cette histoire. C'est une page détachée de sa vie, ou, pour mieux dire, c'est sa vie tout entière La vie de l'homme se mesure, non point par le nombre d'années pendant lesquelles il a existé, mais par les minutes pendant lesquelles son coeur a battu. Tel vieillard, mort à quatre-vingts ans, n'a vécu parfois en réalité qu'un an, qu'un mois, qu'un jour. Vivre, c'est être heureux ou souffrir. Faites passer devant le moribond couché sur son lit d'agonie tous les jours qu'il a traversés, il ne reconnaîtra que ceux qui viendront à lui le rire sur les lèvres ou les larmes dans les yeux. Les autres passeront ternes, voilés, insaisissables ; il ne pourra pas même dire si ces jours font partie de sa vie ou de celle d'un autre ; ces jours, il les aura usés, mais il ne les aura pas vécus.

11/2023

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Littérature française

Madame de chamblay. Tome II

" A partir de ce moment, M. de Montigny revint tous les jours. " Je ne vous dirai pas que j'en vins à aimer M. de Montigny ; si je l'eusse aimé, certes les événements qu'il me reste à vous raconter ne seraient point arrivés ; mais, à travers une certaine crainte respectueuse que m'inspirait l'universalité de ses connaissances, je reconnus vaguement qu'avec un pareil homme, une femme pouvait être parfaitement heureuse. " Supposez-moi vingt ans et une certaine expérience du monde, au lieu de mes quinze ans et de mon inexpérience de tout, et j'eusse regardé comme un bonheur cette union, que je n'envisageai jamais sans une certaine crainte.

11/2023

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Littérature française

Madame de chamblay. Tome 1

Cet ami se nommait et se nomme encore Max de Villiers. J'avais rencontré Max au milieu d'une partie de chasse, dans le parc de Compiègne, à l'époque où le duc d'Orléans commandait le camp. C'était en 1836 ; je faisais Caligula à Saint-Corneille. Max était un camarade de collège du duc d'Orléans, plus jeune que moi d'une dizaine d'années. C'était un homme du monde, de vingt-cinq à vingt-six ans, de bonne éducation, de façons excellentes, gentleman jusqu'au bout des ongles. - J'emprunte aux Anglais cette locution qui nous manque, pour exprimer ma pensée. Sans être riche, Max avait quelque fortune ; sans être beau, il était charmant ; sans être savant, il connaissait beaucoup de choses ; enfin, sans être peintre, il était artiste, dessinant avec une rapidité et un bonheur incroyables les traits d'une figure ou la silhouette d'un paysage. Il adorait les voyages : il connaissait l'Angleterre, l'Allemagne, l'Italie, la Grèce, Constantinople. Nous nous étions beaucoup plu ; pendant les cinq ou six chasses que nous fîmes avec le duc d'Orléans, nous nous plaçâmes à côté l'un de l'autre. Il en fut ainsi aux dîners : libres de nous asseoir à notre convenance, nous échangions un coup d'oeil, nous nous rappro- chions, et, pendant tout le repas, nos deux chaises se touchaient et nous bavardions à qui mieux mieux. Il était de cette rare espèce d'hommes qui ont de l'esprit sans s'en douter. Son voisinage m'allait donc à merveille : - à la chasse, parce qu'il était prudent ; - à table, parce qu'il était spirituel.

03/2023

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Littérature française

Madame de chamblay. Tome 2

Cet ami se nommait et se nomme encore Max de Villiers. J'avais rencontré Max au milieu d'une partie de chasse, dans le parc de Compiègne, à l'époque où le duc d'Orléans commandait le camp. C'était en 1836 ; je faisais Caligula à Saint-Corneille. Max était un camarade de collège du duc d'Orléans, plus jeune que moi d'une dizaine d'années. C'était un homme du monde, de vingt-cinq à vingt-six ans, de bonne éducation, de façons excellentes, gentleman jusqu'au bout des ongles. - J'emprunte aux Anglais cette locution qui nous manque, pour exprimer ma pensée. Sans être riche, Max avait quelque fortune ; sans être beau, il était charmant ; sans être savant, il connaissait beaucoup de choses ; enfin, sans être peintre, il était artiste, dessinant avec une rapidité et un bonheur incroyables les traits d'une figure ou la silhouette d'un paysage. Il adorait les voyages : il connaissait l'Angleterre, l'Allemagne, l'Italie, la Grèce, Constantinople. Nous nous étions beaucoup plu ; pendant les cinq ou six chasses que nous fîmes avec le duc d'Orléans, nous nous plaçâmes à côté l'un de l'autre. Il en fut ainsi aux dîners : libres de nous asseoir à notre convenance, nous échangions un coup d'oeil, nous nous rappro- chions, et, pendant tout le repas, nos deux chaises se touchaient et nous bavardions à qui mieux mieux. Il était de cette rare espèce d'hommes qui ont de l'esprit sans s'en douter. Son voisinage m'allait donc à merveille : - à la chasse, parce qu'il était prudent ; - à table, parce qu'il était spirituel.

03/2023

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Littérature française (poches)

Dominique

"Madeleine écoutait, haletante. J'étais assis derrière elle, aussi près que le permettait le dossier de son fauteuil, où je m'appuyais. Elle s'y renversait aussi de temps en temps, au point que ses cheveux me balayaient les lèvres. Elle ne pouvait pas faire un geste de mon côté que je ne sentisse aussitôt son souffle inégal, et je le respirais comme une ardeur de plus... Chaque respiration de sa poitrine, en se communiquant du siège à mon bras, m'imprimait à moi-même un mouvement convulsif tout pareil à celui de ma propre vie. C'était à croire que le même souffle nous animait à la fois d'une existence indivisible, et que le sang de Madeleine et non plus le mien circulait dans mon coeur entièrement dépossédé par l'amour".

11/2013

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