Recherche

Jennifer Padjemi

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

sociologie du genre

Selfie. Comment le capitalisme contrôle nos corps

Après la vague des mouvements de libération du corps des femmes sous l'étendard du " Body positive " , il est temps de faire le bilan ! La lutte contre la grossophobie, le validisme, le colorisme, et tous les procédés dangereux conseillés par la médecine, la culture populaire et les industries du régime et de la cosmétique, a permis de mettre en avant des physiques pluriels, bien loin de l'injonction à la maigreur des années 2000. Mais la pression qui pèse sur le corps des femmes est-elle réellement remise en cause ? Sur les réseaux sociaux comme dans les magazines ou les publicités, on observe la glorification de deux types de femmes " accomplies " , deux modèles de corps qui paraissent s'opposer. La fit girl, blanche, CSP+, se doit d'être naturelle et dynamique. Elle prend soin d'elle à coup de détox, de " jeune intermittent " et pratique le sport comme une religion. Le second modèle cible les femmes racisées et de milieux populaires. Elles sont enjointes à assumer un physique " racialisé " et sexualisé : de grosses fesses, une grosse poitrine, mais tout aussi invitées à se rapprocher de la blanchité à coups de décoloration de la peau, d'affinage du nez et perruques lisses. A qui profite donc toute cette positivité toxique ? A l'industrie de la beauté bien sûr, et les marques de cosmétiques, ou de chirurgie esthétique rivalisent d'ingéniosité pour nous pousser à correspondre toujours plus à ces nouveaux idéaux. Pendant que les inégalités sexistes et les discriminations persistent, ce corps continue de détourner les femmes de leur libération en leur faisant croire qu'elles ne sont plus passives mais actives, plus victimes mais en pleine possession de leurs droits. Jennifer Padjemi mène une enquête engagée pour montrer comment le capitalisme moderne a récupéré tous les mouvements qui oeuvrent pour la libération des corps des femmes et nous enjoint à lutter contre ces nouvelles injonctions. Un essai percutant et libérateur !

03/2023

ActuaLitté

sociologie du genre

Féminismes et Pop culture

Le féminisme se porte-t-il sur un t-shirt ? Kim Kardashian est-elle un objet sexuel ou une femme puissante ? La série Grey's anatomy peut-elle changer la vie des femmes ? Dans un essai à la première personne documenté, passionné et engagé, Jennifer Padjemi, journaliste spécialiste questions de société, explore l'alliance, pour le meilleur et pour le pire, du féminisme et de la pop culture. En reprenant le fil des mouvements féministes modernes, de l'émergence d'un féminisme intersectionnel au mouvement "body positive" en passant par Me too et en se basant sur son expérience de femme noire, elle décortique le rapport que nous entretenons avec les objets culturels les plus populaires. Biberonnée aux clips vidéo, chansons grand public et maintenant aux séries TV, notre consommation de divertissement façonne, accompagne, et parfois challenge notre vision du monde. En utilisant la pop culture comme un miroir de notre société mondialisée, l'auteure questionne à travers elle le féminisme, le genre, la sexualité, l'intersectionnalité. Jennifer Padjemi interroge les liens d'interdépendance entre consommation de masse et idéologie progressiste, et jette un regard joyeux et lucide sur nos divertissements, sans concession au patriarcat. Un livre à mettre entre toutes les mains !

03/2021

ActuaLitté

Science-fiction

Jennifer Morgue

Après Le Bureau des atrocités, voici une nouvelle aventure de Bob Howard, employé de La Laverie, une agence de renseignements ultrasecrète. Elle tente de sauver notre monde des entités terrifiantes surgies d'autres dimensions. Cette fois, Howard doit récupérer une arme redoutable dont s'est emparé un milliardaire américain qui l'a trouvée dans un sous-marin soviétique échoué au fond du Pacifique. Et il lui faut résister aux charmes de Ramona Random, son équivalent américaine à la beauté fatale. Sans négliger une authentique sirène venue d'un autre monde. Charles Stross s'était inspiré de H.P. Lovecraft dans Le Bureau des atrocités. Il rend ici hommage à James Bond et à Ian Fleming.

09/2009

ActuaLitté

Littérature étrangère

Jennifer Gouvernement

Bienvenue au paradis ! Un monde dominé par les world companies américaines, un monde où le libéralisme règne en maître : plus d'impôts, plus de barrières douanières, plus de services publics gratuits, plus de délits d'initié mais des " transactions pointues ". Un monde où votre nom de famille est celui de l'entreprise qui vous emploie. En bref, un monde parfait. Hack Nike, chargé de distribuer les baskets ornées de la célèbre virgule, est flatté quand il est repéré par les kings du marketing, John et John Nike, qui viennent d'inventer une technique de promotion révolutionnaire : tuer une dizaine d'adolescents pour créer l'événement autour du dernier modèle. C'est stipulé dans le contrat de travail que s'est empressé de signer Hack... sans l'avoir lu. Paniqué, ce dernier court voir la Police, qui accepte de se charger du boulot au tarif habituel. Mais l'affaire se complique quand la Police a l'idée de sous-traiter l'affaire à la NRA, le très conservateur lobby des armes à feu, qui arrondit ses fins de mois en mettant à la disposition du plus offrant son service " action ". Jennifer Gouvernement, agent très spécial dont le visage est tatoué d'un code-barres, est le chien de garde du consommateur. Réussira-t-elle à stopper l'irrésistible ascension de John Nike dans sa quête du pouvoir absolu ? Avec ce roman d'anticipation sociale décoiffant, Max Barry s'inscrit dans la lignée d'Aldous Huxley, George Orwell, Bret Easton Ellis et Douglas Coupland.

08/2004

ActuaLitté

Fantastique

Jennifer aux enfers

"?Ce fut une vision digne des rives des Enfers telles qu´Homère et Virgile les décrivent dans leurs épopées. Par dizaines et dizaines, c´était un défilé désordonné d´affligeants personnages en camisoles ou robes de chambre sales. Ni hommes ni femmes, avec leurs crânes rasés et parsemés de sang noir, leurs corps tatoués comme marqués au fer rouge, ils-elles crachaient et bavaient, l´oeil hagard ou révulsé. Ainsi la brillante latiniste et modeste helléniste s´était-elle imaginé les Malheureux, ceux qui errent cent ans au bord du Styx pour n´avoir pas en bouche l´obole pour le nocher Charon. Marmonnant borborygmes ou bribes d´onomatopées, les damnés de la Terre allaient et venaient chacun de leur côté dans l´espace gigantesque du lieu clos caché au coeur de la clinique. Fascinée et troublée par ce bétail d´êtres sans cerveaux châtrés de toute conscience ou réflexe, Jennifer sentit une brusque torpeur. Elle commença à défaillir. Une légère claque la remit sur pied.?"

03/2024

ActuaLitté

12 ans et +

L'affaire Jennifer Jones

Jennifer Jones avait 10 ans quand elle a tué l'une de ses camarades de classe, volontairement, à coups de batte de base-ball. Elle a maintenant 20 ans, elle sort de prison. Les services sociaux la prennent en charge sous une nouvelle identité pour la protéger. Tout lui est possible, en principe : travailler, voyager, aimer. Mais comment faire face à la vie ? Comment mentir en permanence ? Comment échapper aux journalistes qui la traquent ? Comment survivre à une telle horreur ?

04/2017

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté