Sans le savoir, la rédaction du New York Times comptait des poètes accidentels parmi ses journalistes. C'est ce que met en évidence un algorithme développé par l'architecte de logiciels Jacob Harris, permettant de retrouver les haïkus qui se sont glissés dans les colonnes du journal, et ce, de manière fortuite. Charge revient ensuite à une machine de restituer ces vers sous forme de Tumblr, à l'occasion du National Poetry Month.