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Gerald Messadié

Dossiers

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Dossier

Le Commissaire Maigret, figure historique de la littérature policière

Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran. 

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Andrzej Sapkowski

Né le 21 juin 1948 en Pologne, Andrzej Sapkowski imagine le personnage du sorceleur dans une nouvelle, publié en 1986 dans la revue Fantastyka. Geralt de Riv, sorceleur mutant, utilise potion et signes pour venir à bout des monstres, créatures difformes comme humains, qu'il croise sur sa route ou qu'il est payé pour chasser. Après plusieurs recueils de nouvelles et romans, la série du Sorceleur est devenue une référence du genre fantasy.

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Dossier

Street art, fresques, tags : des livres au détour des rues

Porté par des figures désormais internationales, comme Banksy, et bien d’autres, le Street Art, ou Art Urbain ne date pas d’hier. 

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Dossier

En route pour l'aventure : des livres pour voyager et s'évader

Sur terre et sur les mers, à la découverte d’horizons inconnus, voici une liste de livres qui vous embarquent vers des destinations folles. Ce sont des récits de voyage, des essais, des textes empreints de poésie, ou des biographies d’aventuriers, comme autant de panoramas de la splendeur de notre planète.

Extraits

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Religion

Histoire générale de l'antisémitisme

Religieux, économique ou biologique... Antique, médiéval ou moderne... Vulgaire, haineux ou pseudo-scientifique... Depuis deux mille cinq cents ans, l'antisémitisme fait rage, prenant divers masques, âge après âge. Des dizaines d'ouvrages aussi délirants qu'insoutenables ont été écrits pour le promouvoir. Des dizaines d'autres, et à raison, ont été publiés pour le dénoncer et le contrer. Mais à la veille du troisième millénaire, la question la plus abyssale et la plus douloureuse de l'humanité reste entière : pourquoi l'antisémitisme ? Il fallait Gerald Messadié, avec son érudition et sa hauteur de vues, avec sa sensibilité et son savoir encyclopédique, pour entreprendre une telle enquête, sans égale, qui interroge les grandes civilisations dans leur rejet secret et commun de leurs sources et de l'altérité. De la Grèce et de Rome à l'Europe des totalitarismes, en passant par le Moyen Age, se dévoilent ainsi les trois antisémitismes majeurs qui hantent la conscience contemporaine et qui se trouvent ici décryptés dans leurs singularités. Contre toutes les lectures partielles ou partiales, loin des explications réductrices et loin aussi des simples recensions, voici la première histoire raisonnée de l'antisémitisme vigoureusement référencée, aisée d'accès et qui en constitue, dans le même temps, le meilleur antidote.

11/1999

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Religion

Histoire générale du Diable

Quand donc est né le Diable ? Et où ? Car l'Ennemi suprême de Dieu que nous connaissons n'a pas existé de tout temps, ni en tout lieu. Ni les Hindous, ni les Chinois, ni les Egyptiens, ni les Grecs, ni les Romains, ni bien d'autres encore, tous pourtant religieux, n'ont conçu de Grand Ennemi infernal. On le croit défini par la Bible. Il n'en est rien car, dans le premier livre de l'Ancien Testament qui fait mention de lui, le Livre de Job, il est représenté, bien après la Création, siégeant dans le Conseil céleste, auprès des anges, et s'entretenant avec Dieu en termes amicaux. La vaste histoire généalogique du Malin, que voici, traverse les siècles, les continents et les cultures. Gérald Messadié y démontre que le Diable, en tant qu'ennemi du Dieu suprême, fut d'abord une invention politique, destinée à renforcer le pouvoir du clergé iranien du VIe siècle avant notre ère. Et que, par la suite, et notamment sous l'Inquisition, la lutte contre Satan fut surtout un fonds de commerce, destinée à enrichir les clergés par la confiscation des biens des " possédés " et autres " suppôts de Satan ". Le Diable est encore de nos jours un personnage politique : il sert d'emblème ait refus de toutes les autorités, du travail et de l'amour : c'est le dieu du nihilisme. De Sade à Baudelaire et aux provocateurs contemporains, le culte du Mal a néanmoins imprégné la culture. Aux Etats-Unis, par exemple, les sectes satanistes mobilisent la police, en raison des atroces sacrifices humains qu'elles prêchent et pratiquent. Foisonnant de références et d'analyses scientifiques, parfois parsemées de souvenirs personnels, l'Histoire générale du Diable dénonce l'artifice du sophisme inventé par Baudelaire : " La plus grande ruse du Diable est de nous faire croire qu'il n'existe pas. " Bien au contraire, cette croyance est la cause des fanatismes et des aveuglements qui divisent et ensanglantent encore la Terre.

03/1993

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Romans historiques

Cargo, la religion des humiliés du Pacifique

A la fin du XIXe siècle, un explorateur russe, Mikhouho-Maclay, débarque en Nouvelle-Guinée. Il offre aux Papous, fascinés, des métaux et autres objets occidentaux inconnus. Très vite, il est assimilé à un dieu et surnommé l'Homme-Lune. Son départ marquera le début du mythe, le début du pillage de la Nouvelle-Guinée par les Occidentaux et le début des cultes dits " Cargo ". Le terme anglais cargo, qui signifie cargaison, semblerait donc désigner ces biens matériels, ces produits que les Blancs importaient par mer et parterre et qui émerveillèrent longtemps les Mélanésiens: d'abord des réchauds à alcool, des armes à feu, des clous, ensuite des montres, des radios... Ignorant tout de la révolution industrielle, les Mélanésiens supposèrent que ces richesses avaient été produites par des puissances surnaturelles. Ces objets, magiques, étaient sans aucun doute fabriqués par les âmes des défunts à l'intention de leurs descendants mélanésiens, mais avaient été détournés par les Blancs... Entre danses rituelles, cultes effrénés et flambées de violence, les rapports que ces peuples entretenaient avec leurs divinités se trouvèrent bouleversés. Emergea alors une nouvelle religion, la religion la plus jeune du monde...

10/2005

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Romans historiques

Madame Socrate

Socrate, le plus célèbre des philosophes, n'avait pas peur de la mort mais il avait peur de sa femme, Xanthippe. Sans doute avait-il raison, car voilà qu'un meurtre est commis à Athènes et que, s'étant mis en tête d'en retrouver l'auteur, elle va compromettre toute la société athénienne. Et quelle société ! Rien de moins que celle de l'illustre siècle de Périclès. Alcibiade, le favori de Socrate, l'extravagant aventurier, est-il compromis dans ce meurtre ? Et pourquoi le grand Périclès a-t-il quitté sa femme pour les bras d'Aspasie, la maquerelle la plus célèbre de l'Antiquité ? À l'âge d'or de la démocratie et des arts, Athènes est pourtant truffée d'espions et bourdonne de scandales ; un dédale de corruption lardé de superstitions. Le vice et la folie soupent tous les soirs avec le génie, et quand Aspasie donne une fête, quels ne sont pas ses invités ! Sophocle, Phidias, Aristote, Anaxagore... Lorsque Xanthippe retrouve l'inspirateur du crime, c'est la main même de l'histoire qui s'abat sur lui et clôt le chapitre le plus célèbre de l'Antiquité. D'une plume insolente et inspirée mêlant la réalité et la fiction, Gerald Messadié arrache la Grèce aux plâtres compassés de l'histoire. Il en restitue le quotidien sans fards, mais avec des couleurs que nul n'imaginait.

10/2000

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Littérature française

Judas le bien-aimé

L'émotion suscitée par la découverte de l'Evangile de Judas, en 2005, n'a pas cédé à la pléthore de commentaires savants. Elle s'explique : comment est-il possible que l'apôtre, dont le nom fut, vingt siècles durant, synonyme de la plus infâme trahison, soit soudain transformé en héros et que même le Vatican en débatte ? Qui fut vraiment Judas ? Le traître, le lâche ? Ou le disciple Bien-aimé du Christ, le seul qui l'ait vraiment compris et aimé ? Pour répondre à ces questions, Gerald Messadié, dans ce passionnant roman biblique, s'appuie sur les textes : les Évangiles canoniques, les textes bibliques et les textes exégétiques modernes. Il démasque les zones d'ombre, les mensonges, les contradictions maintes fois reprises par exemple lors de la Cène, ou sur les dernières paroles du Christ. Il révèle pour la première fois la raison de l'hostilité réciproque du clergé de Jérusalem et de Jésus : les versets du Deutéronome qui déclarent sans ambiguïté que le Dieu de bonté, qui fut celui de Jésus, n'était pas le Dieu Créateur. Avec sa profonde érudition et son talent de romancier, Gerald Messadié s'attaque au dogme et met en lumière un personnage éminemment romanesque, dévoué à son Maître, voué aux gémonies mais crucial pour l'histoire du christianisme.

01/2007

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Romans historiques (poches)

25, rue Soliman Pacha

Le Caire, années 1950. Farouk est roi. Les jasmins et les magnolias embaument. Les prétendants donnent des fêtes au pied des pyramides pour séduire les jeunes filles. Une société élégante parle d'amour et de sujets futiles en français, en grec, en italien... Des immigrées distillent de l'eau de rose. Des révolutionnaires parlent, eux, de renverser le régime. Une bulle du XIXe siècle occidental en plein Islam, épargnée par la guerre. Et sans doute par la réalité. Sept personnages sont emportés à leur insu par les flots de l'Histoire. Soussou, ambitieuse à défaut d'être jolie, et sa sueur, Nadia, innocente et révoltée. Siegfried, Werther en quête d'amour et de destinée. Sybilla, épouse d'un diplomate, qui succombe dangereusement au vertige sensuel de l'Egypte. Loutfi, trotskiste ascétique, qui rêve de justice sociale. Ismaïl, apollon au cœur naïf, mais à la tête froide, qui trouvera son identité dans le groupe des officiers insurgés. Fatma et Entezami, mondaine vaine, riche et désabusée. Tout à coup l'incendie éclate : le 26 janvier 1952, Le Caire brûle. La royauté chavire. La bulle a crevé. Les privilégiés d'hier sont sommés de choisir entre l'Egypte de Nasser et l'Occident, c'est-à-dire l'exil, son pain dur et surtout la perte de l'identité. " Personne ne comprendra jamais ce que nous avons vécu... " Ce roman chatoyant, contrasté, nostalgique, d'un réalisme quasi photographique, est peut-être le plus immédiatement intime de Gerald Messadié, qui est né au Caire et a connu cette époque, ce monde.

10/2003

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