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Faustin Denoman

Extraits

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Littérature érotique et sentim

Grâce

Ils avaient pour eux la jeunesse et l'insouciance de la vie étudiante : Ambroise et Grâce auraient pu filer le parfait amour. Mais lorsque le père de l'adolescente, commandant de gendarmerie, découvre le pot aux roses, leur histoire vole en éclats. Malgré leur promesse, leurs chemins se séparent, Ambroise part pour la France, les années passent. Le silence enterre leur passé, jusqu'à la terrible nouvelle... Débutant au milieu des années 70 pour s'achever deux décennies plus tard, ce roman de Faustin Denoman est un périple éreintant pour ses personnages. Du bizutage des jeunes années aux déconvenues du monde adulte, l'auteur ne leur épargne rien des réalités de la vie. Mariant le conte sentimental à la chronique sociale, il signe un récit initiatique touchant, où derrière la romance impossible émerge une fable douce-amère sur l'engagement et la maturité.

03/2014

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Littérature érotique et sentim

Faustine

" Elle avait besoin de ces après-midi d'érotisme pour se sentir parfaitement bien dans sa peau. Vivre par procuration le plaisir des autres lui procurait une jouissance psychologique très intense et très rare. " Tous les jours de 13h00 à 17h30, Faustine dirige secrètement un " club " très chic installé dans un luxueux appartement parisien. Les femmes viennent y vivre une sexualité épanouie dans les bras expérimentés de quatre jeunes hommes, dévoués corps et imagination, sous l'œil voyeur de la maîtresse des lieux. Partagée entre ses après-midi sensuels et sa vie de jeune bourgeoise toute consacrée à son mari et à ses enfants, Faustine ne devine pas que de voluptueux et terribles bouleversements l'attendent lorsque la belle Noï devient cliente de son " club ".

01/2007

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Théâtre

Faustino

Faustino a trente ans : il aime Lucie, mais ne peut plus vivre avec elle. Il a du mal à comprendre qui il est, et à accepter ce qu'il est en train de devenir. Issu d'une cité, il en aime les codes, les musiques, les couleurs. Adolescent, il fait les quatre cents coups avec ses " potes " : Jaoued, la terreur de la cité, Mouss, son frère, et Bienvenue, le plus violent. Parallèlement, Faustino suit des études avec Raza, jeune Malgache très intelligent, qui se convertit à l'Islam. Faustino découvre les plaisirs sexuels dans une cave : dégoûté, il s'enfuit. Mais Faustino est un jeune passionné par la littérature, qui supporte mal ce monde de violence. A dix-huit ans, il entre en hypokhâgne ; il espère rencontrer des gens comme lui, mais est très vite déçu par les personnes qu'il rencontre, bornées et hypocrites. Seule Lucie, qui va partager sa vie, trouve grâce à ses yeux. Lorsqu'il veut revoir ses anciens amis, il se rend compte que quelque chose est cassé : ils ont changé, il a changé. Faustino devient professeur de français et se trouve confronté aux élèves dont il faisait partie. Une nouvelle fois, il ne se trouve pas à sa place : il s'est embourgeoisé. Lucie lui demande alors de devenir écrivain. Faustino écrit une nouvelle, qui laisse son amie sceptique. Faustino essaie alors d'écrire sur ses parents, ne cherchant plus à plaire, mais à écrire pour lui. Lucie et Faustino ne cessent de s'éloigner, de s'abîmer, et Faustino, rejoignant le personnage de son roman en construction, décidera de partir seul.

10/2010

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Théâtre

Faustine

Faustine est une relecture moderne du mythe de Faust. Cette fois, Faust est une femme. Cette pièce a été écrite de manière intuitiste, sans scénario préétabli. Ainsi s'expliquent notamment les nombreuses libertés prises avec le mythe. Les clins d'oeil au premier Faust de Goethe y sont néanmoins nombreux. Si l'intuitisme aime dépasser les frontières entre les siècles, il dépasse volontiers aussi les frontières entre les arts et ne s'interdit pas toute intertextualité. Aussi le dénouement, avare en dialogues, privilégiant l'image, s'avère-t-il proche du cinéma, et peut-il être considéré comme l'écho théâtralisé de la fin d'un film ...

12/2018

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Littérature française

Oeuvres complètes. Tome 10, La Faustin

La Faustin, troisième roman publié par Edmond de Goncourt après la mort de Jules, évoque le monde du théâtre qui avait toujours fasciné les deux frères. Ce roman de l'actrice peut être considéré comme un ouvrage de transition : d'une part, La Faustin est un roman d'aboutissement parce qu'il est la résultante d'un ensemble de tentatives de la part de l'auteur de représenter l'actrice et le monde du théâtre ; d'autre part, bien qu'il soit conçu selon la méthode naturaliste du document humain et de la vérité vécue, ce roman marque un nouveau point de départ puisque l'auteur y privilégie tout ce qui tient de l'impalpable et de l'irrationnel (désirs, hantises, rêves, cauchemars), des aspects que les naturalistes avaient toujours rejetés, au moins du point de vue théorique. L'oeuvre se trouverait en porte-à-faux entre la "première manière" des Goncourt, fondée sur les principes les plus orthodoxes de l'esthétique naturaliste (le document, le fait vrai, le morbide), et la "seconde manière" qui envisage d'explorer les aspects du réel les moins exploités de l'école naturaliste (l'élégance, le beau monde) tout en s'ouvrant aux nouvelles tendances qui, autour des années 1880, favorisent dans l'analyse de l'être humain le psychologique au détriment du physiologique.

02/2018

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Littérature étrangère

Les baisers de Faustina

Les baisers de Faustina. Quel est ce bizarre personnage qui gesticule sur la piazza del Popolo, qui parcourt Rome à toute allure ou s'enferme pour écrire, dessiner, discutailler à perte de vue avec des étrangers loufoques ? N'aurait-il pas quelque chose à cacher ? Ne serait-il pas là pour se livrer incognito à de sombres manœuvres ? Ce prétendu peintre allemand, qui se présente comme Filippo Miller, n'est autre que Goethe, qui passe quelques mois en Italie, entre 1786 et 1787. L'histoire littéraire nous dit que c'est là une période cruciale qui va changer sa vie, sa vision du monde, et d'où sortiront quelques-unes de ses plus grandes œuvres, auxquelles il travaille à Rome même. Mais on peut voir les choses sous un autre angle, et Hanns-Josef Ortheil fait de cette expérience un roman policier où, dans cette sorte de carnaval romain aux mille couleurs, se mêlent allègrement les portefaix, les espions, les sbires du pape, les éminences grises, les diplomates et les artisans de tout poil. Mais qui est donc ce Goethe ?

02/2001

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