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Bethany Webster

Extraits

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Réussite personnelle

Etre une mère pour soi-même. Devenir une femme libre et puissante

Psychologie transgénérationelle et féminisme : comment transmettre la puissance de mère en fille ? Grandir dans une culture patriarcale, surtout quand on est une femme, c'est être soumis à une somme de tabous et de règles étouffants, de croyances délétères et souvent inconscientes, ancrées dans nos comportements. Cette blessure culturelle se manifeste bien souvent à travers des injustices, des rejets et des conflits familiaux douloureux. Ces symptômes, que Bethany Webster qualifie de " blessure maternelle ", tant qu'ils ne sont pas identifiés et traités, sont reconduits silencieusement, transmis de génération en génération. Sévissant dans toutes nos relations, la blessure, issue du mépris des valeurs du féminin, s'enracine principalement dans les relations entre les mères et les filles, qui en sont toutes deux les premières victimes. Avec une efficacité et une sincérité rares, Bethany Webster nous éclaire à partir de ses recherches et de sa propre histoire, et nous invite concrètement à nous engager sur un chemin de guérison et d'autonomie, pour rétablir cet équilibre entre les énergies du féminin et du masculin. Guérir la blessure maternelle, c'est retrouver la puissance et la liberté, et contribuer à créer un monde meilleur, à l'échelle individuelle, culturelle et planétaire.

01/2023

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Littérature étrangère

Granny webster

Caroline Blackwood affirmait que la majorité de ses écrits n’étaient pas particulièrement autobiographiques, à l’exception de Granny Webster, dans lequel elle s’inspire de sa famille. Ce livre, publié en 1977, a été sélectionné pour le prestigieux Booker Prize. La jeune narratrice orpheline de père s’installe chez son arrière-grand-mère, l’avare et glaciale Granny Webster, dans une grande demeure sombre de la banlieue de Brighton, à Hove. Son regard impitoyable d’adolescente révèle la folie noire qui se dissimule derrière les décors des grandes demeures de l’aristocratie. Le personnage de Granny Webster est inspiré par l’arrière-grand-mère de Caroline Blackwood, une héritière écossaise pingre nommée Woodhouse. Le portrait qu’en dresse l’auteur est à la fois drôle et effrayant. La seule chose qui intéresse Granny Webster, c’est son coeur. Elle ménage ce dernier autant qu’elle le peut, jusqu’à l’absurde. De fait, la vieille dame évite toute émotion, toute parole inutile et toute nourriture qui pourrait être appétissante. Granny Webster n’a jamais tenté de nouer des liens avec d’autres personnes, préférant vivre seule dans sa demeure glaciale. Granny Webster a été le premier livre de Caroline Blackwood dans lequel elle condamna l’égoïsme absolu d’une matriarche riche et mesquine, d’une sorcière diabolique qui observe sans bouger la ruine de son enfant. Car, la narratrice s’interroge sur sa grand-mère, la fille de Granny Webster, que son arrière-grand-mère n’évoque jamais. C’est Tommy Redcliffe, un ami de la famille, qui dévoile à la jeune fille l’histoire de sa grand-mère. On apprend que, une fois mariée, cette femme frêle était incapable de tenir la maison, qu’elle passait ses journées cachée dans sa chambre, et ses nuits à errer aux abords de la demeure familiale de Dunmartin Hall. Elle ne semblait même plus reconnaître les membres de sa famille. Puis, elle donna libre cours à sa passion pour les fées sans se soucier de personne et se mit à apprendre leur langage. La folie de la grand-mère allant grandissante, la maisonnée tomba dans la décadence. Granny Webster finit par agir, uniquement pour ne pas salir le nom de la famille, et se déplaça pour faire interner sa fille, laissant son beau-fils nourrir une tristesse sans égale. D’autres personnages, tout aussi truculents et affligeants, complètent cette galerie de portraits. Tante Lavinia est un personnage inoubliable. Blackwood s’est inspirée de sa propre tante, Veronica Blackwood. Lavinia est une « jolie-laide » qui raconte des histoires scandaleuses, qui vit au-dessus de ses moyens et est connue pour ses nombreux mariages. Piégée dans l’inexorable vie de plaisirs de la haute société délurée de Londres, elle tente de se suicider dans sa baignoire de marbre. Cette scène devient comique sous la plume de Blackwood, de même que le devient la tentative de viol par le psychiatre à l’hôpital où on emmène Lavinia après qu’elle se soit taillé les veines. Le livre se clôt sur les funérailles de Granny Webster. Les seules pleureuses qui y assistent sont la narratrice (qui revient à Hove pour la première fois depuis quinze ans) et l’ancienne domestique borgne de son arrière-grand-mère, Richards. Le coup de grâce, à la fois comique et horrible, vient lorsqu’un flocon de cendre, tout ce qui reste de la vieille dame , s’engouffre dans l’oeil valide de sa servante dévouée.

05/2011

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Poches Littérature internation

Nora Webster

Irlande, fin des années 1960. Nora, qui élève seule ses quatre enfants depuis la mort de son mari, tente de refaire sa vie sous l'oeil critique des habitants de la petite ville où elle vit depuis toujours. Opiniâtre et indocile, elle s'affranchit peu à peu des cancans et s'autorise de menues libertés : prendre des cours de chant, s'acheter une chaîne stéréo… La profondeur des émotions que soulève en elle la musique s'accorde au réveil de sa sensibilité et de sa personnalité.

08/2017

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Littérature érotique et sentim

Lord Bettany

1827, Angleterre - Lord Bettany, riche héritier au tempérament fier et arrogant, a la chance de connaître le bonheur pour le perdre quelques mois plus tard. Malgré son veuvage et un nouveau-né sur les bras prénommé Gabriel, il reste inconditionnellement fermé au monde extérieur et, surtout, à toute attention féminine. Cependant, en grandissant, Gabriel a plus la tête sur les épaules qu'un adulte et une aisance du contact que son père n'aura jamais. Aussi, lorsque cet enfant accompagne ce dernier et sa grand-mère maternelle en voyage de plaisance à Bath, il n'a aucun mal à se lier d'amitié avec la belle Daphne rencontrée devant les Thermes. Mais si l'enfant imagine celle-ci pouvoir faire le bonheur de son père tout en se faisant une place dans son coeur telle la mère qu'il n'a jamais connue, lord Bettany est loin d'avoir le même jugement que sa descendance...

02/2019

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Aventure

Webster & Jones. Agents du 102

1956, quelque part au-dessus de la forêt amazonienne. Un petit avion de reconnaissance survole l'épaisse végétation et semble avoir trouvé ce qu'il était venu chercher quand, soudainement, le voilà abattu... A son bord, deux inspecteurs américains prenaient des clichés d'une importance capitale. Trois mois plus tard, après des recherches infructueuses, les Etats-Unis dépêchent sur place un commando plutôt étonnant pour enquêter sur cette étrange disparition. Le capitaine Wallace Webster, qui préfère "casser du bolchévique" à l'art subtil de la stratégie militaire, et Betty Jones, agente de liaison du département de la défense, se voient obligés de collaborer. Tandis qu'il crapahute au coeur de cette jungle hostile, le duo découvre la carcasse de l'avion et les cadavres des agents de reconnaissance. Et à deux pas de là... une base secrète abandonnée qui a visiblement servi au lancement d'engins spatiaux avant d'être la cible d'une attaque ennemie. Soudain, un robot géant et absolument futuriste, frappé d'une immense croix gammée, prend Webster et Jones en chasse. Il ne fait aucun doute : les nazis n'ont pas encore dit leur dernier mot et sont partis... à la conquête de l'espace !

09/2023

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Autres collections (9 à 12 ans

La Bête et Bethany Tome 1

La beauté a un prix. Ebenezer Tweezer est bien placé pour le savoir. Son secret ? Il héberge depuis 511 ans une bête aux incroyables pouvoirs magiques dans son hôtel particulier. En échange de mets toujours plus rares et délicats, la bête lui fournit de l'argent, des objets de valeurs et le précieux élixir qui permet à Ebenezer de rester jeune et fringant. Ses oeuvres d'art lui tiennent lieu de compagnons, et bon an mal an, il s'accommode des caprices culinaires de son hôte, toujours plus grosse et exigeante, et de cette vie solitaire, puisqu'elle est opulente. Mais, un jour, la bête lui réclame un met inédit : pour son prochain repas, elle veut dévorer un enfant. Même si Ebenezer a autant d'empathie pour l'humanité que pour une boîte de raviolis, il trouve la pilule un peu dure à avaler. Il refuse tout d'abord, mais la bête se braque : elle ne lui fournira plus une goutte d'élixir avant d'avoir senti craquer sous ses dents les os tendres d'un petit humain grassouillet. Ebenezer, vieillissant à vue d'oeil, part donc à la recherche de l'enfant le plus déplaisant possible, histoire de trouver un compromis avec sa conscience morale embryonnaire. C'est à l'orphelinat local qu'il trouve son bonheur : Bethany, une petite fille insolente, butée, en un mot détestable. Il ne reste plus à Ebenezer qu'à la faire grossir un peu, avant de l'offrir en pâture à la bête. Mais le plan d'Ebenezer comporte deux failles : Bethany est très maline, et ils ont tous les deux le coeur moins sec que prévu. . .

09/2022

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