Aujourd’hui, un roman de Fortuné de Boisgobey (1821-1891), Le crime de l’omnibus (1881) ; une curiosité assurément, mais dont la lecture reste un plaisir... peut-être parce que, comme le nom de son auteur, elle évoque un temps suranné. Avec ce texte, c’est tout un monde qui ressuscite, une ambiance qui annonce les enquêtes de Gaston Leroux ou de Maurice Leblanc. Plongeons-nous donc, ensemble dans le Paris de la fin du dix-neuvième siècle.
Par Hervé Bel