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Alfred Lebreton

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Littérature française

Chroniques de la vie saharienne

Après avoir raconté son aventure indochinoise dans le livre " Par soif d'idéal et goût de l'aventure ", l'auteur évoque cette fois, sous forme de courts récits, quelques épisodes de son séjour saharien, au sein de la " Compagnie Méhariste de la Tinghert ", stationnée à cette époque à IN SALAH. Tous ces récits, destinés à l'origine à une diffusion limitée dans des bulletins associatifs, n'ont pas été écrits à la même époque. Ce qui explique les dates variées mentionnées, ainsi que les divers endroits où ils ont été rédigés. Bien que signés sous des pseudonymes différents, ils sont tous du même auteur. Pour ces raisons, il est apparu préférable de les réunir dans un récit unique. Certains épisodes peuvent surprendre les lecteurs et, plus spécialement ceux qui n'ont pas eu la possibilité de parcourir les lieux évoqués et d'y vivre, dans les années 1959-1960. Tout ceci, pour justifier le sous-titre " Les surprises de la vie militaire ". Appelé du contingent lorsqu'il rejoint l'Armée, Alfred Lebreton opte, à la fin de son service obligatoire, pour une carrière militaire. Celle-ci se poursuivra pendant trente-huit années, ce qui lui offre la possibilité d'une intégration dans l'Armée d'active, après avoir effectué un séjour de formation complémentaire en INDOCHINE. Stages et concours nombreux, entraînant souvent des périodes de séparation familiale, lui permettront, par la suite, de progresser dans la hiérarchie militaire jusqu'au grade d'officier général en 2e Section.

09/2017

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Livres 3 ans et +

Alfred : T'es là, Alfred ?

Sonia s'inquiète. Son voisin Alfred n'est pas chez lui. Elle l'attend...Longtemps. Elle quitte sa maison pour le chercher, même si pour cela elle doit s'approcher du mur de la guerre. En chemin, elle croise plusieurs oiseaux, arrivant avec leur petite chaise. "Bonjour, vous avez vu Alfred" ? leur demande-t-elle. Mais elle ne comprend pas leurs réponses. Et d'où viennent-ils tous ?

01/2019

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Livres 3 ans et +

Alfred : T'es drôle, Alfred !

Un matin neigeux, Sonia arrive devant chez Alfred : "Tu viens avec moi chercher un sapin pour le décorer ? " "J'arrive ! je prends ma chaise" répond Alfred. "Pourquoi as-tu besoin de ta chaise ? " demande Sonia. Car cette chaise raconte des histoires, celle d'Alfred et des amis qui ont fui leurs pays. Pour certains, ils sont bizarres avec leurs chaises, mais si demain c'était nous ?

10/2020

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Critique littéraire

Alfred Jarry

Proche de Mallarmé, ami de Bormard et de toute la génération du Mercure de France où s'épanouit le symbolisme, Alfred Jarry (1873-1907) a sans doute été le principal inspirateur des avant-gardes du début du XXe siècle. Pour Marinetti et Apollinaire, l'auteur d'Ubu Roi était le principal inventeur du théâtre moderne. Poète et romancier, chroniqueur brillant, traducteur, il fut également un homme de théâtre complet: acteur, adaptateur, secrétaire du Théâtre de lOEuvre, metteur en scène, auteur d'opérettes et marionnettiste. Lors de son voyage à Pont-Aven en 1894, Jarry rencontra Gauguin, Seguin et les autres membres du groupe ; il entretint plus tard des rapports énigmatiques avec le jeune Picasso, intrigué et fasciné par sa personnalité. Critique d'art, dessinateur et graveur, il inventa aussi une nouvelle conception de la revue d'art. Appuyée sur de très nombreux témoignages souvent peu connus ou inédits, cette biographie montre que, loin d'être un solitaire, Jarry a été parfaitement intégré à la société littéraire et artistique de son temps. Soulevant le masque du Père Ubu derrière lequel il se dissimula toute sa vie, Patrick Besnier présente un Jarry familier, détendu plutôt qu'éructant le "Merdre" d'Ubu, vivant paisiblement dans ses logis du bord de Seine, féru de pêche et, de cyclisme.

10/2005

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Musique, danse

Alfred Cortot

?Instrumentiste virtuose, chef d'orchestre, chambriste, pédagogue aux méthodes et aux conceptions innovantes, musicographe, collectionneur, administrateur d'institutions, Alfred Cortot (1877-1962) brille aujourd'hui à travers ses enregistrements, ses écrits et ses "Editions de travail", mais également par le biais de l'Ecole normale de musique, qu'il a fondée en 1919. Interprète par excellence de Chopin, vaillant beethovénien, schumannien exalté, grand lisztien, wagnérien militant, cet héritier de l'âge romantique fut aussi le défenseur et le propagateur de la musique française de son temps à travers le monde. Pendant l'Occupation, il a exercé des fonctions administratives et politiques. Motivée par sa germanophilie culturelle, son adhésion à l'idéologie vichyste ne fait pas de doute, pas plus que son ambition politique de réformer les conditions de la vie musicale française. Persistant dans ses convictions collaborationnistes jusqu'en 1944, il se voit violemment reprocher son attitude à la Libération ; il s'éloigne de la France et continue sa carrière de pianiste, donnant encore quelque cent à cent cinquante concerts par an et parcourant inlassablement le monde. Portrait d'artiste scrutant avec finesse ce qui caractérise le jeu et l'héritage de Cortot dans son immense répertoire, cet ouvrage n'est ni un réquisitoire ni une tentative de réhabilitation. Adossée à d'incontestables documents, au carrefour de l'histoire culturelle et de la musicologie, cette nouvelle biographie entend dépasser les ambiguïtés de la mémoire d'Alfred Cortot. Elle présente sans concessions et dans tous ses aspects le génie protéiforme de l'un des plus illustres musiciens français de la première moitié du XXe siècle.

09/2018

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Religion

Prier 15 jours avec Christophe Lebreton. Moine, poète, martyr à Tibhirine

Christophe Lebreton (1950-1996) fut moine au monastère de Tibhirine, dans l'Atlas algérien. Poète, il définissait sa communauté comme "maison dans la Maison de l'islam, une petite chambre d'ami ouvrant sur l'intérieur qui nous unit". Sa mystique de l'amitié et de la rencontre est une quête infinie de l'Amour fraternel sans frontière. Dans la nuit du 26 au 27 mars 1996, il fut enlevé avec six autres de ses frères par un groupe armé, puis exécuté le 21 mai, à l'âge de 45 ans. Dès son arrivée en 1988, il écrit qu'à vue humaine "il n'y a pas d'avenir" pour sa communauté. Il mesure courageusement le risque encouru par sa présence "jusqu'à l'extrême" et choisit délibérément de continuer avec ses frères la vie de travail, de prière et d'hospitalité qui est "résolument et simplement le Corps de la Présence (du Christ), là en relation d'amour, vulnérable, exposé". Par solidarité avec ses voisins algériens condamnés à rester dans la tourmente, il approfondit le mystère de l'Incarnation pascale : "Une analyse par la croix a ceci d'unique qu'elle n'est pas un outil, une grille de lecture. Cette analyse nous vise, nous inclut, nous juge et nous sauve".

10/2018

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