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Alexis Wetzel

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Sous les nuages, les blés d'or - Journal d’un survivant II

Un point de départ à ce second journal : la crise de la quarantaine et plus encore cette impression d'appartenir à une génération (70-80) qui a été biberonnée aux lendemains qui déchantent. Trente ans plus tard, les enfants de la crise sont devenus parents. Qui sommes-nous ? Que pensons-nous de la vie, du bonheur ? Qu'avons-nous fait de nos rêves ? D'où je vous parle ? Au fil de chroniques variées mais agencées sans hasard, j'espère susciter l'envie d'une seconde vie, libre et heureuse, à la recherche moins du temps perdu que du sens des choses.

12/2019

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Critique littéraire

Ces lumières qui dansent sur les eaux du port - Journal d’un survivant

J'ai passé quinze ans de ma vie à parcourir le monde. Avouons-le : je correspondais, jusque-là, au cliché du jeune cadre dynamique ! Jusque là ? Oui jusqu'à ce soir de février 2015 où l'on m'annonça le cocktail détonant de deux maladies graves et incurables. Moi qui pensais que vivre c'était agir, me voilà alors violemment contraint de ne plus rien faire ou de ne plus fuir. L'écriture a toujours été une passion alors j'ai repris le stylo et ré ouvert mes Moleskines. J'ai eu envie de partager mes carnets de voyages et d'embarquer le lecteur dans l'empressement de ma vie d'avant, puis dans le tourbillon intérieur de ma vie d'après.

06/2018

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Littérature française

Renaissance

Renaissance

Êtes-vous heureux ? Qui sont vos guides ? Et, surtout, que pèse ce bonheur lorsque l’adversité vient jouer les trouble-fêtes ?

Voilà le fil rouge du troisième tome « Renaissance » que vient d’achever Alexis Wetzel.

Pour notre plus grand plaisir, le globe-trotter nous emmène au bout du monde et continue de décortiquer le cœur des hommes. On le suit dans le désert namibien, au Sénégal, auprès des lépreux de Kolda ou sous les ors de la présidence du Nicaragua. 

Chaque voyage et chaque rencontre amorcent un enseignement puissant, une leçon de vie.

L’auteur brosse d’abord le portrait de ses mentors déchus (Carlos Ghosn ou le Père Marie Dominique Philippe) avec un humour sans pareil et une acuité saisissante.

C’est aussi l’occasion de passer en revue un monde en crise, ses nouveaux prophètes   ainsi que notre rapport biaisé à la réalité, donc au bonheur.

Mais la critique est aisée ! Et maintenant que notre château de cartes est à terre que faudrait-il faire ?

Débutant un second chapitre, justement, par la célèbre antienne de Bécaud, Alexis Wetzel nous donne les clefs d’une seconde vie, libre et heureuse ; à la recherche moins du temps perdu que du sens des choses. Il suggère une renaissance à soi, assumant à la fois notre fragilité humaine et une liberté ultime : celle d’aimer et de croire.

C’est un livre qui fait du bien et qui tombe à pic dans ces temps de crise ! 

 


« Ce livre est un manuel de bonheur ! Il y a eu comme un déclic en moi. À lire et à relire à l’infini… » Alice F.

« J’ai ri, beaucoup aimé ; mon plus beau compliment, c’est qu’à 68 ans, cette lecture va, je l’espère, changer ma façon de voir la vie et de la vivre ! » Roselyne L.N

***

Alexis Wetzel est né en 1975 à Mulhouse. Marié et papa de deux enfants, il vit en Allemagne depuis une dizaine d’années.

Diplômé des Mines de Nancy, il a fait sa carrière dans l'industrie automobile et a voyagé dans le monde entier.

Alexis est aussi le co-fondateur de l'association caritative Amatis-France. Depuis plus de vingt ans, il multiplie les projets de développement en Afrique et en Asie.

 


En 2015, on lui diagnostique un cancer ; il décide alors de publier ses carnets de voyages et de tenir son journal de bord. « C’est un travail d’entrailles » avouera-t-il dans son premier Tome coup de poing : « Les Lumières qui dansent sur les eaux du port » (paru aux EDN en 2018). Il est également l’auteur de « Sous les nuages, les blés d’or » (paru en 2019).

Site internet de l’association : https://www.amatis-france.com/

Site internet de l’auteur : https://www.facebook.com/wetzelbook/

03/2022

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Littérature étrangère

Etzel Andergast

Héros de L'Affaire Maurizius, Etzel Andergast n'avait, dans ce roman, que seize ans. Adolescent, il défiait le monde des adultes en faisant triompher une vérité soigneusement étouffée : Maurizius, condamné par la justice et emprisonné depuis des années, n'était pas coupable. Voilà à présent - dans ce deuxième tome qui est en lui-même un roman pouvant se lire de façon indépendante - le jeune Etzel, quelques années plus tard. Au cours du récit, l'auteur dira: " C'est un autre Etzel qui se présente à nous, non plus l'ami fidèle à son ami, non plus le disciple fervent, non plus le pèlerin en quête de la justice, non plus le vagabond à l'impertinence désarmante, à l'esprit généreux jusqu'au sacrifice, c'est une autre image, un autre homme, et la route qu'il suit est aussi ténébreuse que peut l'être une route humaine. " En Joseph Kerkhoven, le médecin aux dons divinatoires, Etzel a trouvé un maître et un père. Entre ces deux personnages une lutte de vie et de mort s'engage. Une lutte d'amour aussi, car Marie, la femme de Kerkhoven, est partagée entre son mari et le jeune rebelle. Chacun ira au plus profond de sa passion. Nicole Casanova souligne dans sa préface qu'Etzel Andergast reflète " cette amertume allemande, cette mentalité d'enfant-soldat dont les exemples perdurent un peu partout dans le monde ". C'est l'une des clefs d'une fresque qui éclaire d'une même lumière la conscience et l'insconscient de l'individu.

09/2001

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Poches Littérature internation

Alexis Zorba

Poussé par le désir de se confronter au réel, le narrateur, jeune intellectuel inquiet et réservé, s'apprête à embarquer pour la Crète où il compte exploiter une mine de lignite. Il fait la rencontre sur le port du Pirée d'un homme qui lui propose ses services : Alexis Zorba, grande âme exubérante et chaleureuse qui aime boire, manger, danser, rire et faire l'amour. Avec lui, l'écrivain va découvrir la folie de vivre et redessiner sa ligne d'existence. Dans ce roman écrit entre 1941 et 1943, aux heures les plus sombres de l'histoire de la Grèce moderne, Nikos Kazantzaki dresse le bilan d'une existence placée sous le signe du conflit intérieur et de la quête philosophique. Loin de sa version folklorique popularisée par le film de Cacoyannis et l'interprétation d'Anthony Quinn, l'Alexis Zorba du roman apparaît surtout comme le prétexte à une lyrique interrogation sur les formes et le sens de la liberté.

11/2017

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Concours

Alexis Wright, "Carpentaria"

Traduit en plusieurs langues, étudié par de nombreux chercheurs, reconnu pour sa qualité exceptionnelle par le Miles Franklin Award en 2007, roman de résistance et de résilience aborigène, Carpentaria narre et questionne avec intelligence, profondeur, ironie, sensibilité et humour les innombrables tensions politiques et éthiques qui émeuvent les peuples autochtones d'Australie depuis l'invasion des colons britanniques. Poétique, burlesque et onirique, l'histoire épique écrite par l'autrice waanyi Alexis Wright est insufflée d'une voix narrative espiègle qui recrée et s'inspire de l'oralité aborigène autochtone et propulse le lecteur dans un voyage à travers le temps et l'espace, au nord de l'Australie, dans le golfe de Carpentarie, dans la petite ville fictionnelle de Desperance. Entre sécheresse, cyclones et inondations, guerre de la décharge, maire meurtrier, école assimilatrice et mine internationale, les clans rivaux des Midnight et des Phantom survivent et résistent auprès du serpent ancestral qui vit sous leurs pieds. La génération activiste autochtone représentée par Will Phantom et les mécaniciens du bush présidés par Mozzie Fishman ne veut cependant pas que survivre : elle refuse le statu quo et ne supporte plus que leurs terres ancestrales soient blessées et spoliées. Au cours du roman, Elias Smith, un allié blanc, est assassiné ; Will s'attire la foudre de la compagnie minière avoisinante et de son père à cause de son union avec Hope, du clan des Midnight ; le chaos règne jusqu'à ce qu'un feu soit déclenché... Carpentaria est le premier roman aborigène à figurer au tronc commun de littérature à l'agrégation d'anglais. L'esthétique de ce roman polyphonique magistral de 500 pages emporte, bouleverse et élève ; elle requiert aussi curiosité, humilité, patience et concentration. Comprendre son contenu politique nécessite une connaissance de l'histoire coloniale australienne. Cet ouvrage collectif de préparation au concours et de référence sur l'ceuvre contient les outils et références historiques, politiques, linguistiques, anthropologiques et littéraires indispensables à sa compréhension et son analyse. Il s'ouvre sur quelques mots d'Alexis Wright et un poème hommage de l'écrivaine tahitienne autochtone Chantal T. Spitz, puis comprend 17 chapitres de 20 contributeurs français et internationaux qui jettent un éclairage nouveau sur un chef-d'oeuvre du XXIe siècle.

09/2021

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