Le divin marquis doit rire sous cape, de profundis, de se savoir toujours aussi provocateur deux siècles après sa mort. Les Cent vingt journées de Sodome, première grande oeuvre romanesque et « catalogue de perversions », dont se régalait Paulhan, est désormais interdit en Corée du Sud. Au motif, sublime, d'« obscénité extrême », ainsi que l'a déclaré un fonctionnaire de Séoul, ce mercredi.