La sentence est presque tombée pour l’écrivain italien Erri De Luca : le procureur de Turin, dans son plaidoyer, a réclamé une peine de prison de 8 mois pour son engagement contre la ligne de train à grande vitesse. « Ses paroles ont un poids déterminant sur le mouvement NO TAV », a-t-il expliqué, non sans avoir abondamment puisé, dans la littérature... de quoi confondre l’accusé.