S'il n'avait pas publié Dubaï, la rançon du succès (Amalthée, 440 pages, 23,33 €), Nabil Malek aurait certainement pu continuer à couler des jours heureux. Ce banquier genevois d'origine copte égyptienne n'en finit plus de recevoir des menaces de mort depuis qu'il a eu le malheur, dans son ouvrage, de découvrir la face peu glorieuse du micro-état au sein duquel il a travaillé de 1994 à 2008.