Si, en tant que ministre de l'Education nationale, vous voulez absolument paraître moderne et réformateur, le mot magique, c'est le « numérique », voire « l'informatique ». Benoît Hamon semble avoir là trouvé un filon pour assurer sa postérité dans un ministère qui voit défiler plus de réformes que de ministres, le tout sans véritables incidences sur le terrain.