Si recevoir des livres est devenu impossible dans les prisons britanniques, il semble être encore plus délicat de prendre connaissance de son courrier, pour le gouvernement du pays. En mars dernier, une coalition d'auteurs, avec quelques grands noms, envoyait une lettre à destination du ministère de la Justice, afin de le faire revenir sur la décision du Secrétaire d'État, l'interdiction de l'envoi de livres aux détenus.