Nouvelles du large. Vingt ans

À partir de la rentrée prochaine, Educadhoc intègrera les manuels scolaires de deux nouvelles maisons partenaires : les éditions Maison des Langues et Dunod. Une décision qui s’inscrit plus largement dans la volonté d’ouverture de l’application éducative de Hachette Livre — initialement réservée aux éditeurs du groupe — amorcée en mai dernier. 

Pour ce jeudi, Sequencity balaye toutes les BD de l’instant, à découvrir, ou redécouvrir, sur tablette et ordinateur. Un choix consistant, qui réunit ce que le monde des bulles a de plus sympa pour patienter jusqu’au week-end. Et comme toujours, il vous suffit de cliquer sur les couvertures pour feuilleter librement l’intégralité de chaque BD, et en lire gratuitement les premières pages.

Bas les masques au pays de Spiderman. On imagine parfois qu'il existerait un fan-type de comics, une sorte d'archétype du « nerd », adolescent mâle et boutonneux dont la chambre serait encombrée d'artefacts en plastiques issus d'univers de l'imaginaire. Mais en regardant de plus près la démographie des fans Facebook des éditeurs, comme le suggère Graphic Policy, il apparaît que les lectorats des maisons spécialisées dans le roman graphique sont non seulement diversifiés, mais aussi propres à chaque publication. 

Ceux qui n'en mènent pas large de Jean-Pierre Martinet

Avec la parution le 19 octobre prochain du 18ème tome des aventures de Largo Winch (Jean Van Hamme et Philippe Francq, 48 pages, 12,95), les éditions Dupuis ont décidé de passer par My Major Company afin de proposer un ensemble de petits plus aux fans de la série.

Elle découvre peu à peu la zone ouest de cette ville où elle a atterri après avoir fui sa jeunesse de l’autre côté du Mur

Amazon ne fait plus de marges sur les ventes de ces produits, et connaît depuis fin octobre une chute de la valeur de ses actions, plus de 20 % en 4 mois, une chute non sans liens avec le lancement du Kindle Fire (notre actualitté). 

BONNES FEUILLES - « Exécution de Goumilev, longue agonie spirituelle, tortures physiques insupportables, mort de Blok, privations cruelles et mort dans des souffrances inhumaines de Khlebnikov, suicides prémédités de Essenine et de Maïakovski. 

Installé depuis cet été sur la place de Godewaersvelde, dans les Monts de Flandres, le café-librairie Calibou & Co invite tous les publics à se rassasier aussi bien de livres que de boissons. 

Ce 12 octobre, Augustin Trapenard propose d’embarquer, destination : ailleurs. Sur France 5, retrouvez une nouvelle émission de La Grande Librairie, à 21h, à la découverte d’autres horizons.

Un Sony Reader avec un écran plus large : VIP confirme

Georges Maman n'a plus de l'homme que l'apparence : au plus profond de lui, il est déjà devenu animal. D'ailleurs, il mange comme un chien des boîtes de nourriture canine.

Né à Malte et vivant aujourd'hui aux États-Unis, le chef de file du reportage graphique, Joe Sacco était hier au théâtre des Mathurins pour présenter son nouveau travail La grande guerre. Et celui-ci a de quoi impressionner : long de 7 mètres et large de 22 centimètres, il relate sur 24 pages, sans dialogue ni texte, la première journée de la bataille de la Somme, côté anglais… le jour le plus meurtrier. 

Exposition de planches inédites de Largo Winch

La société de production cinématographique montréalaise Go Films a annoncé, ce 10 février, le début du tournage et la distribution de l'adaptation en film du roman Le plongeur, du québécois Stéphane Larue, publié en 2016 aux Éditions Le Quartanier, et Prix Senghor l'année suivante. Le film sera réalisé par Francis Leclerc et mettra en vedette l'acteur Henri Picard dans le rôle principal.

La période appelle les feuilletons, les recyclages en tous genres pour faire les séries de l'été, serrées entre les ventres plats que l'on obtiendra à coup sûr, cette année. Chez ActuaLitté, un peu en mal d'informations, on a décidé de vous proposer une nouvelle fournée de chroniques un peu décalées, et outrageusement dramatiques. Embarquez, c'est vendredi ou l'avis sauvage.

Kaze fête ses 15 ans avec de nouvelles licences et du simulcast

Comme chaque année, avant de savourer sur les plages de sable fin, les monts enneigés ou les îles désertes, les journalistes de l’ACBD font le plein de bulles. Ce qui ne signifie certainement pas qu’ils encouragent à partir avec des bouteilles de champagne. Non : il s’agit de la liste des 20 titres estivalement recommandés pour passer ses vacances.

S’installer confortablement devant son écran, prendre une ou deux grandes respirations, et se lancer dans l’Œuvre, enfin : les mots bouillonnent, l’écriture s’empresse, les phrases se construisent mentalement... Tout est prêt. Mais voilà : le clavier n’est pas à la hauteur de la transe scripturale qui s’empare de vous. Pas de soucis, nous avons dégoté deux petites choses parfaites pour auteurs en manque de decorum.

Leonardo DiCaprio va renouer avec Regency Pictures (The Revenant) mais aussi le biopic et le film d'inspiration littéraire, avec The Crowded Room, un vieux projet du studio hollywoodien. Dans ce film l'acteur incarnera Billy Milligan, américain atteint de trouble dissociatif de l'identité, accusé à la fin des années 1970 de cambriolage et du viol de trois femmes. Son procès avait inspiré un livre sur lequel s'appuira la production.

L'Inéluctable compte à rebours des 20 albums les mieux notés par les libraires BD fugue et les sites de presse spécialisés en bandes dessinées se poursuit. Durant tout l'été, avec notre partenaire, le réseau BD Fugue, ActuaLitté présente  la liste des BD qui auront marqué ce premier trimestre 2013.

Le grand classique de la littérature française, Vingt mille lieues sous les mers, devrait revenir sur les écrans. Un gros budget, une aventure maritime, qui serait tournée en Australie - et voici le film le plus cher de l'histoire du pays. 

Holdup21 – Vingt femmes ont pris part à un braquage, aussi spectaculaire que littéraire : Hold-up 21 est un recueil de récits érotiques, que les photos d’Abigaïl Auperin réinterprètent superbement. Dans notre série de podcasts, nous avons convié deux d’entre elles : Aïna Rahery et Laure Giappiconi. Leurs histoires ? Celle d’une bibliothécaire à Alençon et une soirée télé entre amis…

Le Canada s'apprête à bousculer sa législation sur les droits voisins relatifs aux enregistrements, en élargissant de 50 à 70 ans l'entrée d'une œuvre dans le domaine public. Cette mesure, qui ne concerne pour l'heure que les œuvres musicales, n'a pourtant aucune raison de s'arrêter en si bon chemin au seul domaine de la musique. 

A l'issue du 26e Salon international du livre de Moscou, les chiffres de l'industrie locale susciteraient des réactions mitigées. Ainsi, selon la Rospechat, on dénombrerait quelques 59.000 titres publiés en Russie sur les six premiers mois de 2013, chiffre en augmentation par rapport à l'an passé, mais pour un total de 246 millions d'exemplaires tirés, soit moins qu'en 2012. L'événement annuel a néanmoins rassemblé ce week-end nombre d'éditeurs, écrivains et autres passionnés de lectures du pays comme de l'étranger. Avec la Hongrie en invité d'honneur, et l'accent mis sur la littérature jeunesse.

120 maisons d'édition germanophones avaient proposé au jury un total de 206 titres : il n'en reste plus que vingt, sélectionnés par les sept membres du jury du Prix du Livre Allemand 2020. Une seconde sélection sera annoncée le 15 septembre prochain. 

C'est Vendredi ou l'avis sauvage, et probablement la fin du voyage : 

L’artiste Vera Molnàr fait don à la bibliothèque de l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) de 272 estampes, 2 portfolios et 12 maquettes préparatoires. Ce don constitue un corpus exceptionnel, représentatif de l’ensemble de l’œuvre de l’artiste, unique dans les collections publiques françaises et étrangères.  

Même si Barack Obama a sifflé la fin de la récréation dans le camp démocrate, en apportant son plein soutien à Hillary Clinton, l’Amérique n’en a pas moins assez de la famille. Et pour la candidate la bataille est encore loin d’être achevée, raison pour laquelle dans le très institutionnel New York Times, elle confie... ses lectures du moment. 

Étudier l’Histoire demande une rigueur scientifique, il ne s’agit pas de raconter des histoires, mais d’établir des faits en se basant sur des sources fiables. Elles peuvent être issues de l’archéologie, des textes, des monuments, des enregistrements pour les faits les plus récents, de la science, etc. L’Histoire est cartésienne.