Le droit des établissements et services sociaux et médico-sociaux

Formation Optimiser sa communication sur les réseaux sociaux

Depuis ce week-end, les utilisateurs des outils d'alertes Google reçoivent avec plus de plaisir - visuel - les messages d'informations. Un nouveau design, mais surtout quelques nouvelles fonctionnalités donnent à l'outil une approche réseaux sociaux et communauté plus importante. 

Pas faute d’essayer, chez Google, on ne se démotive jamais : en dépit de ce que Google +, le réseau social, ne donne rien du tout, la firme californienne s’engage dans une autre voie. Spaces, le dernier service en date, est « un outil pour le partage en petits groupes », annonce le blog officiel. Et pour illustrer ses liens avec le livre autant qu’avec la technologie, c’est avec le modèle du club de lecture que Google détaille son offre.

Revendiquant 12 millions de titres en vente, PriceMinister (filiale du Japonais Rakuten) a mis en place une opération à destination des blogueurs. Sembable à une solution Masse critique de Babelio, il s’agit de recueillir les avis des blogueurs sur les nouveautés de la rentrée. Les Matchs de la rentrée littéraire se déroulent ainsi du 14 septembre au 1er février prochain.

Les réseaux sociaux profitent d'un engouement permanent des utilisateurs, qui depuis leurs appareils mobiles, se ruent sur les sites et autres applications. Selon les dernières données, près de 875 millions d'utilisateurs passeraient mensuellement par leur mobile, soit une croissance de 45 %. Aucune raison, donc, pour que les réseaux sociaux spécialisés ne soient pas concernés. 

Depuis quelques années déjà, une tendance prend de l’importance sur les médias sociaux. En marketing, on l’appelle l’Employee Advocacy. Pour reprendre une définition classique de cette tendance, il s’agit du mécanisme par lequel une entreprise ou une marque mobilise ses salariés pour devenir ses ambassadeurs non seulement dans leur vie professionnelle, mais également parfois dans leur vie de tous les jours et notamment sur les médias sociaux. 

Suite à l’annonce des nominations aux Oscars 2020, dévoilées ce 13 janvier, de nombreuses voix se sont élevées pour signaler le manque de diversité vis-à-vis des artistes femmes. Une situation de moins en moins acceptable dans un contexte post #MeToo, qui accuse encore d’un certain retard de la part de l’industrie du cinéma et de ses représentants. Stephen King ferait-il lui aussi partie de cet ancien monde ?

Quand on voit le succès de Pottermore (notre actualitté), des semaines avant son ouverture officielle et celui du tout récent Horrible Histories lancé il y a deux semaines, on peut envisager un bel avenir pour les réseaux sociaux ludiques.

On l'évoque depuis au moins deux ans, et on l'évoquera encore pour la même période : la lecture sociale est l'avenir de la lecture numérique, de l'avis de nombreux experts. Addr est une application pour iPad qui s'empare de ce nouvel usage de l'ebook, tout en le déconnectant. De la lecture sociale sans réseaux sociaux, en fait.

Les canaux marketing numériques se développent progressivement avec pour cible les libraires. En Australie, le groupe Hachette propose un nouveau système de partage où sont mis en libre téléchargement différents contenus promotionnels. Et à chacun de s’en servir sans restriction.

Les réseaux sociaux prennent de plus en plus d'importance pour les marques, quelles qu'elles soient. Et les maisons d'éditions et éditeurs en tout genre n'échappent pas au phénomène. La question est de savoir ce qu'elles peuvent espérer tirer comme avantages d'une promotion via les réseaux sociaux. En d'autres termes, le retour sur investissement est-il à la hauteur des efforts fournis ? Petit tour d'horizon en compagnie de Nick Atkinson.

Hamlet s’interrogeait sur le sens de l’existence humaine, à une époque où l’on n’envisageait pas que des machines répondraient un jour. L’accès du grand public à des modèles de langage – ou intelligence artificielle – questionne à de multiples niveaux. Quelles implications aura cette intégration dans notre quotidien ? Vivien García propose en premier lieu… de prendre de la hauteur.

Le jour est finalement venu : vous avez décidé d'ouvrir une page Facebook, Twitter ou encore YouTube pour votre librairie, ou bien de reprendre en main celle que vous laissiez doucement péricliter... Pour améliorer votre portée, obtenir plus de retweets, engranger les likes plus rapidement qu'un YouTubeur, suivez ces quelques conseils, façon tutoriel...

Les auteurs attendent toujours plus de leurs éditeurs, dans une période où la commercialisation d'un livre n'a jamais été aussi simple. L'autopublication rend le processus de vente plus accessible, mais nécessite cependant des compétences de marketing numérique. Et les écrivains sont en attente, de la part de leur éditeur, de conseil en la matière, autant que de soutien. 

BookBanUSA — On pensait la censure institutionnelle en Occident réduite à la part la plus excessive de la production livresque - négationnisme, appel au meurtre... –, les États-Unis nous prouvent le contraire ces dernières années, et la France également depuis qu’un ouvrage jeunesse a été interdit aux adolescents pour mauvaises mœurs... En parallèle, un autre phénomène ne faiblit pas : la pression morale des réseaux sociaux contre les œuvres d’art, dont l’un des rôles est d’être soit à l’avant-garde, soit un reflet du réel, quitte à déranger.

C'est un nouvel entrant sur la toile qui vient tout juste de voir le jour. Biglib.fr se présente avec une interface très simple, proposant un futur espace - qu'on leur souhaite vaste - pour l'échange de livres. Un réseau communautaire, de fait, avec l'intention d'apporter une dimension sociale de partage, avant tout.

Toujours bien disposée en ce qui concerne internet, la librairie Eyrolles en ligne vient de dévoiler au public soufflé une nouvelle version de son interface. Y'a que les livres qui changent pas...

Elles vont une nouvelle fois réaliser un carton, les cartes de voeux virtuelles, puisque 16 millions de Français ont déclaré qu'ils enverraient la leur à l'occasion des fêtes. Sauf que pour les expédier, le réseau social Facebook sera le grand chouchou de cette année.

Il est désormais clair que les réseaux sociaux participent pleinement de toute opération marketing organisée autour d'un produit en particulier ou d'une marque en général. Et le livre ne reste pas à l'écart de cette règle. Mais il s'agit aussi d'en faire un bon usage si l'on veut arriver, par ce moyen à doper les ventes d'un ouvrage.

Meltwater, un des leaders mondiaux de la veille en ligne et de la media intelligence, vient de mesurer l'impact de la disparition de l'accent circonflexe sur certains mots, sur les réseaux sociaux en France du mercredi 3 au dimanche 7 février 2016.

Avis aux amateurs d'écriture collaborative en ligne, une nouvelle application a été mise en orbite à cette fin. @AuthorBee, du nom de la firme fondée courant 2012 par l'entrepreneur numérique Stephen Bradley, la plateforme web spécifiquement intégrée à Twitter et prochainement disponible sur Facebook, permet aux individus et autres groupes communautaires de créer des histoires narratives à partir de leurs tweets et ceux de leurs followers.

Un public particulièrement réceptif

Avec l'ouverture du bac 2014 par l'épreuve de philosophie (voir notre actualitté), le ministère de l'Education nationale redouble de vigilance afin d'éviter toute fuite des sujets. Mais il faut bien avouer que les réseaux sociaux, qui développent des moyens de communication extrêmement rapides, font peser de lourdes menaces sur les secrets entourant les sujets.

THRILLER FRANÇAIS – Les romans de Franck Thilliez manquent rarement leur cible : avec plus de 5 millions d’exemplaires de ses ouvrages vendus, il compte parmi les auteurs majeurs du thriller français. La sortie prochaine de Luca nous fait basculer dans des univers où la terreur est constante.

Les maisons d’édition universitaires n’ont pas le même rapport aux clients que les autres : elles évoluent dans un contexte spécifique (celui de l’Université) et sont dépendantes d’une politique de communication globale plus normée et contrôlée. Les réseaux sociaux — ici les réseaux communautaires grands publics que nous utiliserons pour observer leur activité — ne connaissent pas forcément le développement que l’on peut voir ailleurs. 

Bien entendu, plusieurs écoles s’affrontent : celle de l’isolement complet dans un monastère tibétain de l’Ariège fait florès. Plus pragmatiques, ceux qui optent pour le mode avion de leur smartphone – au risque de manquer l’appel qu’il ne fallait pas rater. Et puis, celle qui choisit le retour aux sources, avec une antique Underwood pour taper de tout son soûl… Mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Les services ne manquent plus, pour la commercialisation de livres numériques, en dehors des sentiers battus de l'édition traditionnelle. Payhip est une firme britannique qui fait tout de même très fort en proposant aux auteurs qui utiliseront son service de conserver 100 % des droits d'auteurs perçus à partir des ventes. Perplexe ?

L'avancée du numérique et le développement des ebooks continuent de bouleverser le marché du livre, comme le lecteur attentif aura pu s'en apercevoir en lisant nos colonnes.

Facebook, MySpace, faux réseaux sociaux, vrais lieux de censure