Le premier ministre grec, Antonis Samaras, est le destinataire d'une lettre ouverte, avec d'autres, réclamant qu'il apporte son plein et entier soutien au prix unique du livre en Grèce. Cette législation, introduite en 1997 prévoit que, durant deux années après leur publication, les ouvrages soient maintenus à un prix défini par l'éditeur. Or, le gouvernement subirait actuellement de fortes pressions, pour que la législation soit adoucie. Voire, pour certains, abolie.