Encensé par Christophe Ono-dit-Bio, lors de son passage à Paris fin août 2015, Jonathan Franzen n’est pas l’écrivain américain internaute par excellence. En réalité, et ainsi qu’il l’a plusieurs fois démontré, la toile, le web et le nain Ternet, il s’en passerait volontiers. Chance : le web a de l’humour, lui.