Bien entendu, c’est impossible – du moins en France. Les libraires doivent vendre les livres au prix décidé par l’éditeur, c’est la loi. En contrepartie, ils disposent d’une possibilité de remise de 5 % dont le client peut profiter. En période de disette et de marge riquiqui, pratiquer ces 5 %, c’est prendre un risque commercial. Pourtant, la restauration a trouvé un outil qui mériterait d’être repensé pour le livre.