Edward Murrow

Le dramaturge américain, triple lauréat du prix Pulitzer, Edward Albee, vient de décéder, à son domicile de Mntauk, dans l’Etat de New York. L’auteur avait 88 ans, et laisse une œuvre inoubliable, Qui a peur de Virginia Woolf ?.

Edward Norton a réalisé un vieux rêve avec Brooklyn Affairs : adapter le roman Les Orphelins de Brooklyn (Motherless Brooklyn) de Jonathan Lethem. Encore mieux, il a réalisé lui-même le long-métrage et apparait à l'écran, aux côtés de Bruce Willis et Willem Dafoe.

Gêné aux entournures, le gouvernement américain décidait en septembre d’attaquer le livre d’Edward Snowden. Le lanceur d’alerte, ancien de la CIA, aurait trahi son devoir de réserve. En divulguant des informations classifiées, c’est la sécurité nationale du pays qui était menacée. Qu’on se rassure pour ce qui est de ses finances, les États-Unis ont trouvé une solution.

Un livre a-sensé d'Edward Lear : vous en marcherez sur la tête

Créé en 1999 dans une volonté de cultiver une oasis de paix au milieu du désert de la discorde, l'universitaire, théoricien littéraire et critique palestino-américain disparu en 2003, Edward Saïd, et le pianiste et chef d'orchestre Daniel Barenboïm, ont réuni de jeunes musiciens palestiniens, israéliens et de pays arabes, autour du répertoire classique. Ils nommèrent cette initiative, le West-Eastern Divan Orchestra. Par Amel Aït-Hamouda.

C'est finalement le poète franco-britannique Michael Edwards qui a été élu jeudi à l'Académie française pour le fauteuil de Jean Dutourd, disparu en 2011. Réunissant 16 voix en sa faveur, contre 5 allant pour l'historien Jean-Noël Jeanneney, celui qui est également professeur et traducteur avoue avoir écrit « autant de livres sur des Anglais que des Français », rapporte Le Figaro.

En début de semaine dernière, Edgard Wright et Marvel/Disney annonçaient d'un commun, quoiqu'étrange, accord que le réalisateur quittait le navire. La super production Ant-Man se ferait sans lui en raison « de divergences dans leurs visions du film ». Certes. Évidemment, les regards s'étaient alors tournés vers Adam McKay pour prendre le flambeau.

Événement ce jeudi, sous la Coupole, un Knight Bachelor d'outre-Manche anobli par la Reine rejoindra l'Académie française. L'écrivain et poète Sir Michael Edwards, élu le 21 février 2013 au fauteuil 31 à la suite de Jean Dutourd, devient ainsi le premier Immortel anglais. Si le Britannique a rédigé une grande partie de son oeuvre en langue française, nul doute qu'il saura porter l'épée de cérémonie. Non sans humour, l'élu se félicite, auprès de l'AFP : « Je suis très heureux de devenir académicien et mes compatriotes anglais sont très fiers. Un "British" a forcé les portes de l'Académie française ! C'est une sorte de victoire pour les Anglais ! »

Depuis 2006, le « Books at Berlinale » constitue le premier marché dédié à l'adaptation littéraire pour le cinéma. Sur les 120 romans proposés aux producteurs par des éditeurs de 25 pays, deux livres français ont été sélectionnés, Back Up de Paul Colize et Le Cas Eduard Einstein de Laurent Seksik. 

Edgard Poe aux enchères : son premier recueil pour 700.000 $ ?

Les amoureux d’Edgard Allan Poe (1809-1849) apprécieront à sa juste valeur cette petite vidéo mise en ligne sur Youtube dans le courant du mois de mars dernier. On y retrouve une lecture du célèbre poème narratif The Raven (Le Corbeau) de l’écrivain américain auteur, entre autres, du Double Assassinat dans la rue Morgue.

Ce 8 juin débute le Marché de la poésie dans le Quartier latin. A cette occasion, les éditions La Différence proposent, avec ActuaLitté, de retrouver quotidiennement deux poèmes. Pour cette deuxième journée étape, nous publions le texte d'Eduard Mörike, tiré de Chant de Weyla et autres poèmes. Le choix, la traduction de l’allemand et la présentation sont de Jean-Yves Masson. L’ouvrage est en édition bilingue, dans la collection Orphée.

La nuit de la 25ème heure Edward Hogan

En adaptant Tony and Susan d'Austin Wright, Tom Ford s'est attaqué à un sacré morceau de littérature pour Nocturnal Animals. Paru en 1993, le roman a vu ses droits d'adaptation achetés successivement par Universal, HBO et Warner Bros...

ROMAN ÉTRANGER – Edward Stanton est un brave garçon : chaque matin, il note méticuleusement l’heure de son réveil. Puis, il consulte le journal qui lui indique les températures de la veille. Les prédictions météorologiques ne valent pas grand-chose, de même que les suppositions : les faits sont préférables. Edward vit seul. Il est autiste, présentant un syndrome d’Asperger. Mais ça va. 

Elmore Leonard est une figure incontournable de l'écrit comme de l'audiovisuel. Son domaine : les westerns et les polars. Avec Djibouti (William Morrow, 26,99 $), l'auteur nous emmène en Afrique, au contact des pirates somaliens.

Mike Edwards, le PDG de Borders a accordé une interview exclusive à

Réalisées à l’encre par Edward Ardizzone en 1961, ces illustrations destinées à illustrer le roman de Mark Twain on été retrouvées par hasards chez Anthony Beal, un éditeur anglais.

On se souvient sans peine du soutien apporté aux éditeurs (et indirectement, du grand merci à Apple), que Scott Turrow, secrétaire général de la Guilde des Auteurs américains a apporté la semaine passée. Ce dernier, trop heureux de pouvoir tacler Amazon, ne s'en était pas privé. 

Le studio Open Road Films vient de dévoiler la première bande-annonce du biopic consacré au célèbre dénonciateur Edward Snowden, par Oliver Stone. Dans le rôle principal, on retrouve l’acteur Joseph Gordon-Levitt.

La nomination de Matthew Hancock au poste de ministre de la Culture britannique s’est accompagnée de froncements de sourcils. Impossible de faire pire que son prédecesseur, Edward Vaizey, baptisé le fossoyeur des bibliothèques ? Pas certain...

Le beau Robert, le seul, l’unique, est en manque de sensations romantiques fortes. Ainsi, l’acteur qui incarnait Edward Cullen, vampire végétarien ou presque, dans l’adaptation de Twilight, remettrait volontiers le couvert. Ah oui ?

Dans son dernier ouvrage, l’auteur et collectionneur Edward Brooke-Hitching a entrepris de recenser une série de curiosités éditoriales : des livres singuliers, propres à susciter l’étonnement, l’admiration, le dégout, mais certainement pas l’indifférence. 

Daylight Saving, d'Edward Hogan, publié chez Walker Books, est un livre fantastique qui parle des mésaventures d'un jeune homme qui se retrouve piégé dans le temps au moment du passage à l'heure d'été.

Les éditions José Corti viennent de mettre un pied timide dans l'eau numérique, avec la création de Biophilia, une nouvelle collection, au nom très évocateur. Il a été pris à Edward O. Wilson, premier auteur de cette collection. 

La Justice américaine a décidé plus que jamais de se pencher sur les possibles accords qui ont pu être passés entre cinq grands éditeurs étasuniens et Apple. Si tout le monde reste passablement coi devant cette situation, du côté des éditeurs, Scott Turrow, président de l'Authors Guild, a envoyé une lettre aux membres de l'association.

Dans un billet intéressant sur Publishing Perspectives, Edward Nawotka explique pourquoi il est peu probable de voir surgir des géants du lecteur de livre numérique immédiatement. Le marché est dominé par ceux qui peuvent offrir une offre contenu-contenant couplée.

Le romancier Edward Morgan Forster a laissé l'Angleterre perplexe durant bien des années : entre 1924 et la publication de La route des Indes et sa mort, survenue en 1970, plus rien n'avait été publié en matière de romans.

Lost Films et Studiocanal annoncent le retour en salles, le 16 décembre prochain, du film The Wicker Man, de Robin Hardy, sorti à l'origine en 1973. À la distribution du long-métrage, Edward Woodward, Christopher Lee, Diane Cliento et Britt Ekland, notamment.

Le fan-club du romancier Chuck Palahniuk, dont l'ouvrage Fight Club avait donné le démentiel film avec Edward Norton et Brad Pitt, vient de diffuser une nouvelle qui n'a pas manqué de susciter l'intérêt des uns et des autres.