David Chauvel, Alex Kosakowski, Lou

Le fondateur de 8D world, Rick Goodman, à l'origine du très célèbre jeu de batailles, Age of Empire, a lancé un programme qui change de son domaine traditionnel en lançant Wiz World Online : un logiciel en ligne permettant aux enfants chinois d'apprendre l'anglais.

Pour le directeur et cofondateur de la société, Alex Wang, l'idée de ce programme tire son origine de son expérience de jeune chinois arrivant aux États-Unis il y a 21 ans de cela. Celui-ci s'est aperçu que malgré des années de cours d'anglais, les jeunes chinois étaient incapables d'avoir une conversation courante. « Des centaines de millions de personnes connaissent le même problème à l'échelle mondiale, en particulier en Asie », explique-t-il. « Les gens l'étude des langues, mais ne peuvent pas parler, ne peut pas communiquer ».

Avec Wiz World Online, il espère résoudre ce problème. L'enfant choisit un avatar et un univers, Château imaginaire ou supermarché américain. Pour relever les défis et avancer dans ce jeu de rôle, il est obligé d'utiliser l'anglais. En cas de difficultés, l'enfant emmène son personnage à la bibliothèque de la sorcière prendre des leçons.

Apprendre l'anglais comme dans un jeu

La société vise aujourd'hui le public des 7 à 12 ans en Chine. Cependant, elle n'exclut pas une expansion mondiale.

Pour Alex Finkelstein, partenaire financier du projet, le gouvernement chinois est « notre meilleur partenaire de distribution ». Wiz World Online est en effet désormais utilisé dans les écoles publiques et le gouvernement devrait lancer en juillet une compétition d'anglais intitulée « Coupe du monde Wiz ».

Wiz Wolrd Online est pour l'instant en accès gratuit, mais envisage à partir de septembre de faire payer un abonnement de 120 à 150 dollars. Une source de revenus qui pourrait être complétée par des ventes aux annonceurs. D'après Alex Finkelstein, les produits éducatifs en ligne « sont des produits qui non seulement apprennent des choses aux gens, mais deviennent de très très grosses entreprises rentables ».

 : J’en avais beaucoup entendu parler lors de sa sortie, ma maman avait voulu me le prêter mais à l'époque je n'avais pas vraiment de temps pour la lecture. Et puis il est revenu sur le devant de la scène avec la sortie de son nouveau Roman : Les Souvenirs. Alors j’ai décidé de me lancer dans La délicatesse. D’autant qu’il sort au cinéma le 21 décembre.

Résumé : Nathalie a rencontré François d’une façon étrange puisqu’il l’a abordé dans la rue. Il est entré dans sa vie, ils se sont aimés, se sont mariés et on vécu une vit tranquille. Tout ça jusqu’à la mort soudaine de Francois.
Nathalie va devoir s’habituer, reprendre une vie « normale », recommencer à travailler et puis recommencé à aimer.

Mon avis : Ce roman est court et se lit en quelques heures. C’est un livre qui raconte une tranche de vie et dans lequel on se reconnait facilement. Les moments d’émotion alternent avec l’humour de l’écrivain. C’est un roman du quel on ressort frais, heureux. Cependant, je comprends que certains n’apprécient pas forcément le style et surtout que les Grands Prix (Renaudot ou Fémina ou Goncourt) car ce n'est pas une histoire très profonde et le style n'est peut être pas à la hauteur de ce qu'attendent ces jurys. Mais moi je m'en fiche du style et j'aime bien les histoires d'amour ! Alors je comprends aussi qu’il ait eu un grand succès et qu’il ait été récompensé par 10 prix des lecteurs. Parce que comme je vous le disais on en ressort heureux, un peu comme Ensemble c’est tout d’Anna Gavalda.

Le roman est structuré étrangement puisque entre chaque « chapitre », on a un petit intermède. Parfois musical avec les paroles de la chanson que Nathalie est en train d’écouter, la recette du plat du jour, le sujet du dernier dossier sur lequel Nathalie travaille, une définition ou encore une pensée d’un philosophe polonais.

Il y a également beaucoup de drôlerie (j’aurais pas pensé que ce mot existait vraiment) dans les notes de bas de page.

Un petit extrait qui m’a fait beaucoup rire et qui montre bien le style du texte et l’humour de David Foenkinos: « Markus était repassé chez lui et tournait en rond devant son armoire. Comment s’habiller quand on dine avec Nathalie ? Il voulait se mettre sur son 31. Ce nombre même était trop petit pour elle. Il aurait voulu se mettre au moins sur son 47, ou sur son 112 ou alors son 387. »

Comme je vous le disais, il sort au cinéma le 21 décembre et je pense qu'il peut faire un très beau film. J'irai le voir mais j'espère que je ne serai pas déçue parce que j'ai plein d'images en tête des personnages. Enfin ça devrait aller puisque c'est Foenkinos lui même qui a écrit l'adaptation cinématographique.

J'ai lu ce livre en numérique pour le Club des lecteurs numériques

Dédicaces - Samedi 21 septembre 2013 à 16h30 - A la librairie

 L’équipe Millepages Jeunesse et les éditions Casterman ont le plaisir de vous inviter à rencontrer lors d’une séance de dédicace autour de ses albums.

Flammes sur fond noir, ronde de squelettes, fête de sorcières. De la rencontre de , l’un des plus célèbres artistes espagnols contemporains, avec le dernier survivant du Nouveau Roman est né un superbe ouvrage qui vient de paraître aux Éditions de la Différence.

À partir d’un carnet de Miquel Barceló, sorte de danse de la mort, Michel Butor a conçu une série de poèmes intitulée Une nuit sur le mont Chauve. Ce titre fait écho au poème symphonique écrit par Modeste Moussorgski, lui-même inspiré par une nouvelle de Nicolas Gogol, Nuit de la Saint-Jean sur lemont Chauve, qui met en scène le sabbat des sorcières. Les poèmes de Butor résonnent de ces différentes réminiscences et s’intercalent entre les 72 compositions du plasticien espagnol.

« Une oeuvre croisée intitulée Une Nuit sur le mont chauve
qui se déroule comme unesuite de 72 poèmes
accompagnée d'unsomptueux carnet de gouaches. »

Sabrina Silamo, Arts Magazine, septembre 2012

Toutes les informations concernant cet ouvrage sont disponibles sur le site Internet des Éditions de la Différence.

À paraître également au mois d'octobre aux Éditions de la Différence, Conversation sur le temps, un entretien entre Michel Butor et Carlo Ossola sur la notion de temporalité dans l'oeuvre de l'écrivain (en librairie le 4 octobre 2012).

Envie d'en savoir plus sur Michel Butor ? C'est ici !

David Bowie a également pris l’habitude de venir sur scène accompagner des pointures actuelles. Ainsi on aura pu l’apercevoir aux côté d’Arcade Fire en 2006, ou encore auprès d’Alicia Keys. Agé de 62 ans, David Bowie sait toujours faire parler de lui. Retrouvez sur le site de nos confrères du Monde, un panorama de ses dernières sorties remarquables, sur scène ou en CD.

David Lynch revient sur le devant de la scène pour nous présenter son autobiographie, Mon histoire vraie. Le livre, divisé en une multiplicité de chapitres brefs, offre une plongée fascinante dans les méandres de l'esprit du réalisateur de Mulholland Drive.

Ses pensées se retrouvent dans cet ouvrage de façon plutôt désordonnée. N’allez pas y chercher une chronologie fidèle des étapes importantes de sa vie. On est davantage dans l’impressionnisme. L’humour propre au réalisateur s’y retrouve cependant au détour des phrases qui composent le livre.

Sur la première page figure une dédicace à Maharishi Mahesh Yogi, son maître spirituel indien, décédé il y a trois mois, fondateur de la méditation transcendentale (le mouvement a été répertorié comme secte en France par le rapport parlementaire de 1995). David Lynch est devenu l'un des plus fervents adeptes de cette technique, qu'il a découverte en 1973.

Les bénéfices du livre seront reversés à son association visant à financer des programmes d'initiation à la méditation en milieu scolaire. Sa vision du monde demeure farouchement optimiste et ce n'est pas pour rien si son récit s'achève par le mot « paix ».

Les fans de cinéma pourront glaner à la lecture de ce livre quelques anecdotes sur les productions de l’auteur.

Mon histoire vraie, de David Lynch, éditions Sonatine, 120 pages, 19 euros.

Le célèbre cinéaste américain se raconte dans Mon histoire vraie (19 € aux éditions Sonatine), une autobiographie guidée par sa découverte de la méditation transcendantale en 1973. David n'est pas seulement ce peintre, cinéaste, designer, guitariste qui ouvre des portes sur des mondes inconnus.

Depuis 1973, le réalisateur de Sailor et Lula, Mulholland Drive, Inland Empire, pratique la méditation transcendantale. Expérience qu'il analyse aujourd'hui dans un livre, Mon histoire vraie. Vers la fin de son livre, David Lynch plaide pour « un enseignement fondé sur la conscience et la paix dans le monde ». C'est le but de la Fondation qu'il a créée en 2005 : ses droits d'auteur serviront à développer la méditation en milieu scolaire.

Vous pouvez retrouver l’intégralité de l’interview de David Lynch sur le site du journal Le Figaro.