Depuis mai 2012, la planète entière sait que le nouveau roman de Stephen King, Joyland, ne sera commercialisé qu'en version papier. Si les justifications du romancier n'ont pas vraiment évolué, on sait simplement que King aime les librairies, et qu'il croit, par ce biais, leur donner un coup de main. Mais contraindre les lecteurs à ne disposer aujourd'hui que d'un seul point de vente, est-ce bien malin ?