Ce doit être la saison, qui incite les écrivains à abandonner définitivement l'écriture, quelle qu'elle soit. Après le romancier américain Philip Roth, c'est au tour du Hongrois Imre Kertész, survivant des camps de concentration, d'annoncer qu'il n'écrira plus. Lauréat du prix Nobel de littérature en 2002, il considère avoir fait tout ce qu'il devait.