On le sait, ou on l'ignore, reste que Scott Fitzgerald s'est fait tronquer la liberté d'expression, dans le recueil de récits Taps at Reveille, paru en 1935. Ces brèves histoires ont été censurées, et pour la première fois, depuis quelques dizaines d'années, les textes authentiques seront proposés au public. Et ce, grâce à Harold Ober, l'agent littéraire du romancier, qui avait profité d'une version des textes, avant leur amputation…