En 1876, le « geck », terme néerlandais, fait son apparition aux États-Unis, pour désigner un « sauvage de carnaval ». Ce dernier est, selon Le Robert, capable de se livrer « à des actes spectaculaires, comme mordre la tête d'un oiseau ». On parle aussi d'un exhibé voire d'un « idiot clownesque ». Ce n'est qu'au XXe siècle que geck deviendra geek, désignant une « personne passionnée par les techniques nouvelles, notamment ce qui a trait à l'informatique ».