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Tirailleurs

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Histoire internationale

Tirailleurs

" Tirailleurs ", un mot qui s'écrit à jamais en majuscules... Les 100 portraits regroupés dans ce livre forment une mosaïque de destins croisés et constituent un monument de papier, véritable monument de mémoire. Il n'a d'autre ambition que de lever le voile sur une petite part du formidable patrimoine humain de cette armée d'Afrique, trop souvent abonnée aux oubliés de l'Histoire... Tournant ces pages, ce qui frappe c'est que les Tirailleurs rassemblent sous une même identité des princes, des maréchaux de France comme " des sans grade ", des anonymes, à qui ce modeste ouvrage rend hommage. Tous ont construit depuis 1841 et jusqu'à nos jours la légende des Turcos.

11/2020

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Sciences historiques

Histoire des tirailleurs

A l’heure du Cinquantième Anniversaire des Indépendances, il nous a semblé tout à fait légitime de mettre à l’honneur les Tirailleurs dont l’histoire est si peu connue en France. Cet ouvrage didactique retrace l’histoire et les faits d’armes des Tirailleurs tout au long du XXe siècle jusqu’aux commémorations actuelles. L’apport de cette troupe fut essentiel lors des deux conflits mondiaux et nombres d’anciens Tirailleurs ont joué un rôle important dans ces états nouvellement indépendants. Le Conseil Constitutionnel a demandé à l’état français de mettre fin au gel des pensions des anciens combattants africains. Le 14 juillet 2010, seront honorés sur les Champs Elysées, les troupes africaines et les derniers Tirailleurs survivants.

08/2010

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Première guerre mondiale

Les tirailleurs senegalais

Depuis leur création par décret de Napoléon III, les tirailleurs sénégalais – qui ne sont pas nécessairement sénégalais, le terme leur a été donné du fait que le 1er régiment de tirailleurs a été créé au Sénégal – ont été de toutes les guerres coloniales menées par la France et des conflits mondiaux comme la Grande Guerre. Au cours de cette dernière, les tirailleurs sénégalais ont été confrontés à un déracinement total, aux rigueurs de l'hiver, à la promiscuité... Plus de 160 000 tirailleurs africains et malgaches ont été recrutés au cours de la Grande Guerre. Près de 134 000 d'entre eux sont intervenus sur les différents fronts de France comme à Verdun, dans la Somme (1916), au Chemin des Dames (1917) et aux Dardanelles (1915). A partir de 1915, nombreux sont les tirailleurs sénégalais qui ont transité dans les camps du sud-est de la France, à l'occasion des périodes dites " d'hivernage " mais également dans d'autres régions de la France comme le Sud-Ouest. Jusqu'en 1920, 30 000 tirailleurs ont séjourné à Menton pour y être soignés. Plus d'un millier y sont inhumés aujourd'hui dans les quatre carrés militaires d'un des cimetières de la ville, le Trabuquet.

05/2022

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Réalistes, contemporains

Une histoire de tirailleurs

Yacouba Ndaw est un jeune paysan sénégalais choisi par son oncle pour aller se battre sous la bannière des tirailleurs. Un destin forcé qu'il n'hésitera pas à empoigner avec courage, malgré l'horreur des combats et le racisme dont il va durement souffrir sur le front. Un voyage historique et engagé par le biais de la fiction et du documentaire pour rendre hommage aux tirailleurs sénégalais.

01/2023

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BD tout public

Histoire des tirailleurs sénégalais

Alors que l'Europe s'embrase sous la violence de la Première Guerre mondiale, la France décide de faire appel à ses colonies africaines pour contribuer à l'effort de guerre. Le jeune paysan sénégalais Yacouba Ndaw se retrouve bien vite, tout comme de nombreux autres Africains, enrôlé de force et projeté en première ligne des terrifiants assauts. Dans une existence glaciale rythmée par les chutes d'obus, Yacouba va également affronter les affres du racisme des autres soldats et de ses supérieurs.

10/2018

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Histoire internationale

Des tirailleurs sénégalais se racontent

Cet ouvrage du Pr Abdoul Sow est un saisissant plaidoyer pour la reconnaissance du rôle joué par les tirailleurs sénégalais lors des deux grandes guerres (1914-1918 et 1939-1945) et lors des guerres coloniales d'Indochine (1946-1954), de Madagascar (1947) et d'Algérie (1954-1962). L'auteur y dénonce l'ingratitude de la France vis-à-vis de ceux-là qui l'ont secourue alors qu'elle était à genoux devant le régime nazi allemand.

07/2018

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Littérature française

Mon père, ce tirailleur nigérien

Cette oeuvre rend hommage au père de l'auteure, à d'autres tirailleurs nigériens et à ces valeureux combattants noirs qui sont allés faire la guerre aux Allemands et livrer un combat extrêmement difficile et violent. Ce livre est aussi une volonté de rappeler aux jeunes générations que des hommes d'Afrique noire et particulièrement des Nigériens sont venus combattre aux côtés de l'Armée française. Nombreux sont ceux qui se sont illustrés lors des deux guerres. Ce travail de recherche et de mémoire se veut un outil de réflexion sur les tirailleurs et les guerres. Il pourra servir de support d'information, de formation et de sensibilisation auprès d'autres générations. Il s'agit de rassembler et de créer du lien entre les peuples, car d'une manière ou d'une autre nous étions tous engagés dans les mêmes combats pour la démocratie et la liberté.

05/2019

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Histoire de France

Abdallah, tirailleur tunisien en 14-18

Véritable hommage à tous ceux qui ont traversé la Méditerranée pour venir mourir dans une guerre qui n'était pas la leur. Travail collectif d'élèves d'un lycée français de Tunis et de leur professeur. En cours de labellisation à la Mission du Centenaire 14/18.

10/2014

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Histoire de France

Eugène Escoffier. L'ardéchois tirailleur sénégalais

Au coeur de la guerre 1914-1918. Véritable carnet de guerre d'un jeune volontaire engagé, cet ouvrage témoigne aussi d'une réalité méconnue : au nombre des tirailleurs sénégalais appartenant aux troupes coloniales figuraient aussi des métropolitains ! Le 15 juillet 1918, à 24 ans, Eugène Escoffier est "tué à l'ennemi d'un éclat d'obus à la gorge". Cent ans après, Didier Veller revient sur les pas de ce grand-oncle qui, dès 1912, le bac en poche, décide de sortir des sentiers battus en s'expatriant au Nigéria. Lorsque l'Europe entre en guerre le 3 août 1914, Eugène Escoffier traverse la frontière et arrive à Porto-Novo, où il est déclaré "bon pour le service armé" et inscrit sur la liste des volontaires engagés, sous le numéro 3. Parmi les tout premiers ! Lettres, poèmes, documents d'archives permettent de suivre le jeune soldat au coeur de la guerre 1914-1918.

07/2018

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Histoire internationale

Tirailleurs Sénégalais, frères d'armes, frères de sang

Lors des conquêtes coloniales, la France a recruté des soldats dans les populations soumises ; une ordonnance royale du 7 décembre 1841 consacre l'existence des "troupes indigènes" et les organise en les dotant d'un statut comme pour les autres corps d'armée. Bien souvent ces troupes ont été désignées sous l'appellation "tirailleurs sénégalais" , abstraction faite de la diversité de leurs origines. Les tirailleurs sont longtemps restés dans les marges de l'histoire et de la littérature, leur engagement dans plusieurs conflits du XXème siècle et leur souffrance à l'issue de ces derniers, après le retour sur le sol natal, sont mal connus ; leur mémoire commence juste à re-émerger, dans le cinéma, les romans, les expositions et hommages diverses. Léopold Sédar Senghor qui fut un tirailleur sénégalais (Seconde guerre mondiale) et qui avait connu leur destin tant au front qu'à l'arrière, est un des premiers à avoir laissé de très belles pages à la mémoire des tirailleurs sénégalais, notamment dans son recueil de poèmes Hosties noires, d'où est tiré le titre de cet ouvrage qui est aussi une forme d'hommage qui lui est rendu. Les textes de cette publication se situent donc au carrefour de l'histoire et de la littérature, auxquelles s'ajoutent des approches juridiques et artistiques, avec la présentation d'un ensemble de photographies, redonnant un visage à ces soldats de l'ombre. Les diverses communications présentées dans ce volume contribuent à l'écriture d'une histoire dépassionnée en ne faisant abstraction d'aucun des débats et tensions encore en vigueur (affaire de Thiaroye), histoire partagée du fait de la présence d'universitaires français et sénégalais, tous oeuvrant pour s'approcher au plus près de la vérité.

05/2019

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BD tout public

Le tirailleur. Suivi du Voyage chez Abdesslem

"En 2008 et 2009, à Dreux, j'ai photographié la vie quotidienne d'une résidence sociale Adoma, ex-Sonacotra. J'y ai rencontré Abdesslem, un ancien tirailleur marocain. Il avait alors plus de quatre-vingts ans. Ce reportage terminé, j'ai voulu le revoir. Finalement, nous avons passé des heures ensemble, souvent le matin, autour d'un café clair et très sucré. Je lui demandais de me raconter sa vie. Pêle-mêle, c'est la dernière guerre, la campagne d'Italie, l'Indochine, l'injustice d'une vieillesse miséreuse. Il cherchait dans sa mémoire. Parfois tout venait d'un coup, avec une étonnante précision. Parfois, aussi, il y avait des blancs... Je ne pouvais pas imaginer que l'histoire d'Abdesslem tombe dans l'oubli".

05/2014

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Histoire de France

Souvenirs de guerre d'un "tirailleur sénégalais"

Tandis qu'après la débâcle de la "drôle de guerre", en juin 1940, tonne de Londres l'appel historique du général de Gaulle, l'élève-médecin de Dakar, Joseph Issoufou Conombo, est incorporé comme "Tirailleur Sénégalais" dans l'armée coloniale française, sous les ordres des fidèles du maréchal Pétain. Ainsi, il est mêlé directement et sans le vouloir à l'Histoire de France et jeté à l'avant-scène de l'Histoire du monde. ..."Les colonisés libèrent les colonisateurs" !! Expérience singulière s'il en fut ! Mais l'homme noir dominé est à même de comprendre l'homme blanc envahi. Il fait honneur à sa race par sa bravoure, sa loyauté et son dévouement qu'il met au service de la défense des valeurs fondamentales de l'homme. "De l'A.O.F. aux bords du Rhin", en passant par l'Afrique du Nord puis la Corse, le débarquement de Provence, les batailles de la boucle du Doubs, d'Alsace, la campagne "Rhin-Danube", c'est à Tübingen en Allemagne que se terminera pour notre tirailleur la grande épopée. De retour à la vie civile en 1945, il garde au fond de son coeur cette devise de la France : liberté-égalité-fraternité. La résistante Claude Gerard, saluant l'auteur de ce récit autobiographique, écrit en décembre 1988 : "(...) il y a beaucoup à faire encore pour que l'histoire accorde aux tirailleurs africains la place à laquelle ils ont droit."

01/1989

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Histoire de France

Les tirailleurs comoriens de la Première Guerre mondiale (1914-1918)

Ce livre est un hommage à tous les tirailleurs comoriens engagés lors de la Première guerre mondiale au sein des troupes coloniales françaises, le plus souvent oubliés par les historiens car intégrés aux régiments malgaches et somalis. Il est le fruit d'une Action Pédagogique Pilote mise en place au sein de l'Ecole Henri Matisse à Moroni (Union des Comores), menée par les élèves de CM2 et de 3e encadrés par leurs enseignants. Grâce à des enquêtes auprès des descendants de ces soldats, de nombreux témoignages oraux et des documents rares ont été retrouvés. Les archives du ministère de la Défense ont permis également d'établir la liste des Comoriens "Morts pour la France" au cours de ce conflit. Ce travail de mémoire et de sauvegarde a été reconnu par la Mission du Centenaire.

04/2019

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Policiers

Qui a tué mémé cerise ? La Cantinière des Tirailleurs Sénégalais

Le meurtre de Mémé Cerise, la cantinière du 141ème régiment de Tirailleurs sénégalais stationné à Lectoure (Gers), va mobiliser l'activité des gendarmes pendant plusieurs jours de cette année 1918. Le meurtrier est-il un homme ou une femme ? Est-ce l'un de ces Tirailleurs sénégalais accueillis dans la commune ou bien l'un des Lectourois ? Hario Masarotti est né à Sempesserre (Gers) en 1935. Dans sa jeunesse, il vit dans plusieurs petits villages de Lomagne et fait ses études secondaires dans l'ancien collège et lycée Maréchal Lannes de Lectoure (Gers). Il suit une formation d'instituteur à l'école normale d'Alger puis exerce le métier d'instituteur d'abord en Algérie puis en Ile-de-France. Parti à la retraite en 1992 et de retour à Lectoure, il a assuré de 2000 à 2015 la fonction de correspondant local de la Dépêche du Midi. Il a écrit plusieurs ouvrages : des poèmes, des contes, des nouvelles, des romans, des morceaux de musique dont la description peut être consultée sur le site : www.hjmasarotti.fr

07/2015

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Histoire internationale

Mamadou Racine Sy. Premier capitaine noir des Tirailleurs sénégalais (1838-1902)

Mamadou Racine est le premier capitaine noir de l'armée des Tirailleurs sénégalais qui a connu tous les honneurs qu'un Noir de son époque ne pouvait imaginer obtenir. Enrôlé très jeune, il s'est mis exclusivement au service de la France, option univoque qui l'amène à combattre tous ceux qui se sont opposés au projet français aussi bien au Sénégal qu'au Soudan. Intermédiaire incontournable de la conquête du Soudan, il a combattu les plus grands chefs noirs de cette région aux côtés des plus grands officiers de l'armée des Tirailleurs sénégalais, pionniers-bâtisseurs de l'empire colonial d'AOF. Ce livre permet, à travers les différentes perceptions des autorités coloniales comme de celles qu'il a combattues, de présenter le véritable visage de cet acteur de la conquête coloniale du Haut-Sénégal-Niger. Ce livre révèle que cet homme, qui aida le système colonial à s'installer, a su faire preuve auprès de ses frères de race des valeurs traditionnelles d'un chef coutumier. Nonobstant toute controverse autour de la dualité résistants-intermédiaires de la colonisation, cette étude permet de tirer plusieurs enseignements : la préservation des valeurs autochtones dans les relations interafricaines, l'élégance morale, le respect de la parole donnée et l'éthique humaniste.

08/2010

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Histoire internationale

Avec les tirailleurs sénégalais, 1917-1919 : lettres inédites du front d'Orient Vol 1Avec les tirailleurs sénégalais, 1917-1919 : lettres inédites du front d'Orient

Ces lettres d'amour et de guerre préentent le récit de la participation de l'adjudant Escholier à l'Armée d'Orient et à l'étonnante épopée qui l'amène, en 1918, des monts de Macédoine aux plaines de Hongrie. Elles montrent aussi qu'en dépit des combats , l'écrivain et critique d'art. Raymond Escholier s'adonne en même temps à la lecture, à l'écriture et à l'ethnologie. Mais ce qu'il y a de plus neuf, dans cette correspondance quotidienne mais toujours nouvelle, se situe dans les liens que le gradé blanc noue avec les tirailleurs noirs, liens où la condescendance s'efface vite devant l'admiration. Si bien que ce courrier, mine d'informations sur l'élaboration des romans de guerre Le Sel de la terre et Malmadou Fofana, pose un regard de plus en plus juste sur les soldats africains et les inscrit déjà dans notre mémoire collective.

07/2013

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Réalistes, contemporains

Plus près de toi Tome 2 . Edition spéciale en couleurs

La deuxième partie de ce diptyque retrace la destinée d'un tirailleur sénégalais dans un camp de prisonniers en Bretagne et conclut cette tragédie romantique sur une note d'espoir pour l'humanité. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la vie suit son cours dans ce camp breton où sont retenus prisonniers les tirailleurs sénégalais. Pour échapper à leurs conditions difficiles, certains, comme Addi, le soldat qui rêvait de devenir prêtre, ou encore Ibrahim, ont même trouvé du réconfort et de l'amour auprès des habitants chez qui ils sont réquisitionnés pour remplacer aux travaux des champs les hommes partis au combat. Ibrahim, lui, voudrait se marier avec Simone qui attend un bébé. Dans ce contexte, ont-ils des raisons d'espérer ?

05/2021

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BD tout public

La colonne Tome 1 : Un esprit blanc

Après s’être illustrés quelques années plus tôt, par les campagnes en pays Mossi (actuel Burkina Faso), le capitaine Boulet et le lieutenant Lemoine végètent à Paris, partageant leur temps entre débauche, nostalgie et conférences. Dans un contexte de concurrence européenne sur les régions à coloniser (notamment l’Angleterre et l’Allemagne), l’état français compte sur eux pour parachever la conquête de l’empire français d’Afrique. Les deux hommes sont envoyés en mission stratégique au Tchad, l'objectif étant d'atteindre le Tchad par l’ouest et le fleuve Niger et d’opérer la jonction de leur colonne sur le lac Tchad avec deux autres missions. Ils forment une colonne de 50 tirailleurs sénégalais, 200 tirailleurs auxiliaires et 700 porteurs. La colonne se met en route en janvier 1899. Le capitaine Boulet et son adjoint Lemoine sont bien décidés à parer au plus pressé quitte à se servir sur place auprès des populations locales afin de nourrir leur colonne et augmenter le nombre de leurs porteurs. Ainsi, la violence et les massacres se succèdent au fur et à mesure que leur mission avance. Inspiré de faits réels (la mission Voulet-Chanoine), cette histoire peu connue est racontée sur un ton tragicomique par un tirailleur survivant qui dialogue avec l’"esprit" de la colonne…

08/2013

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Histoire de France

La longue marche des tirailleurs sénégalais. De la Grande Guerre aux indépendances

Les tirailleurs dits "sénégalais" sont montés au front, aux cotés des poilus de métropole. Ils sont près de 200 000 à combattre, 30 000 a mourir sur les champs de bataille de la Grande Guerre. Durant ce premier XXe siècle, leur expérience du front, le contact brutal avec des puissances fragilisées par la guerre, ont profondément modifié leur rapport à la métropole. De retour en Afrique, ces tirailleurs joueront un rôle majeur dans les courants anticoloniaux. Ils seront encore près de 150 000 mobilisés durant la Seconde Guerre mondiale. Leur histoire est largement oubliée, leurs engagements en Afrique même sont encore méconnus. Pierre Bouvier fait le récit de leur enrôlement parfois violent, de leur démobilisation, de leur retour sur leur sol natal et de leur rôle déterminant dans la marche vers les indépendances.

04/2018

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BD tout public

La patrouille du Caporal Samba. Le tirailleur et les cigognes

La patrouille du Caporal Samba va livrer son premier combat aérien piloté par le jeune et intrépide Lieutenant Georges-Marie Guyemer (1894-1917), héros légendaire de l'aviation française durant la première guerre mondiale.

05/2010

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Empire colonial

Les tirailleurs sénégalais. De l'indigène au soldat de 1857 à nos jours

La première histoire globale d'un corps d'armée mythique. Créé par décret impérial en juillet 1857, le premier bataillon de tirailleurs n'a de sénégalais que le nom : en effet, ce corps de militaires constitué au sein de l'empire colonial français regroupe en réalité toute la " force noire " - c'est-à-dire les soldats africains de couleur qui se battent pour la France. Si les études portant sur le rôle des tirailleurs sénégalais dans les deux conflits mondiaux sont légion, rares sont les ouvrages qui retracent toute leur histoire, de la création de ce corps au XIXe siècle à sa dissolution en 1960. S'intéressant aux trajectoires collectives comme aux destins individuels (le militant Lamine Senghor, le résistant Addi Bâ ou encore le Français libre Georges Koudoukou), Anthony Guyon propose ici la première synthèse globale sur le sujet. Il revient sur les moments de gloire de cette armée - comme la défense de Reims en 1918, la bataille de Bir Hakeim en 1942 ou l'opération Anvil en 1944 -, autant que sur les tragédies qui jalonnent également son parcours (citons notamment les terribles massacres commis par la Wehrmacht à leur encontre lors de la campagne de France). Loin des habituels clichés qui font que, aujourd'hui encore, l'iconographie dégradante incarnée par " Y'a bon Banania " demeure l'un des premiers éléments associés à l'identité des tirailleurs sénégalais, cet ouvrage à la fois complet et accessible illustre toute la complexité de leur position à mi-chemin entre les sociétés coloniales et l'autorité métropolitaine. A mettre entre toutes les mains.

06/2022

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Première guerre mondiale

Historia N° 913, janvier 2023 : La force noire. Les tirailleurs de 14-18

Ils furent plus de 180 000 en provenance d'Afrique occidentale et équatoriale française à venir renforcer les rangs de l'armée française en 1914-1918. Mais l'histoire des tirailleurs sénégalais reste méconnue. Quid de leur recrutement, de leur quotidien, de leurs hauts faits d'armes, de leurs relations avec les Poilus de métropole, de leur retour au pays ? C'est ce que nous vous proposons de découvrir dans notre dossier à l'occasion de la sortie, le 4 janvier, du film Tirailleurs, une fiction de Mathieu Vadepied, avec Omar Sy dans le rôle principal. Une coproduction franco-sénégalaise, symbole d'une volonté commune d'apaisement des mémoires sur un sujet complexe renvoyant au passé colonial de la France. D'où la nécessité de "dynamiter le malaise" , dixit Omar Sy, et de transmettre le souvenir de ces soldats des troupes coloniales. Car la Force noire - ainsi baptisée par le général Mangin en 1910 - est elle aussi tombée au champ d'honneur. Son histoire est la nôtre.

12/2022

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XXe siècle

Frères de l'ombre

1917. Fort de Douaumont. Dans une cellule sombre et humide, Issa, tirailleur sénégalais, attend la mort. Il fait partie de ceux que l'on a appelés "les fusillés pour l'exemple". 1939. Dakar. Ousmane s'enrôle à son tour. Il espère en même temps en savoir davantage sur la mort de son père, Issa. Mais il est immédiatement entraîné dans la tourmente de la guerre où il s'illustrera à plusieurs reprises. Détenu dans un fronstalag, il réussit à s'évader avec deux autres tirailleurs pour trouver refuge chez des paysans où une idylle va naître, avant qu'ils ne rejoignent la Résistance. Après la prise du Vercors par les Allemands, Ousmane doit à nouveau fuir. Sans oublier sa quête : pourquoi son père a-t-il été fusillé ? Ce n'est que plus tard qu'il apprendra la vérité, loin de la version officielle. 2007. Paris. Djibril parcourt la ville, d'hôpital en hôpital, à la recherche de son grand-père Ousmane, disparu. Une piste à laquelle il n'aurait jamais pensé va s'ouvrir. Et c'est tout un pan méconnu de l'histoire familiale qui va se dévoiler. Il aura alors à coeur de rétablir l'honneur de son arrière-grand-père comme de corriger les erreurs du passé. Avec ce nouveau roman, basé sur des faits historiques souvent ignorés, Nadia Hathroubi-Safsaf revient sur l'histoire des tirailleurs sénégalais à travers une épopée de près d'un siècle.

03/2021

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Histoire de France

Alfred Lanfranchi. Tirailleur algérien de Constantine au front de l'Aisne

Alfred Lanfranchi, élève au lycée de Constantine, est mobilisé en avril 1917 au sein du 3e régiment de tirailleurs algériens à Bône. Après plusieurs mois d'instruction en Algérie, il quitte sa terre natale en janvier 1918 pour Marseille puis la Seine-et-Marne. Le contraste est rude pour le jeune soldat arraché à la douceur de son foyer. De cantonnement en cantonnement Alfred livre un récit alerte, drôle, sensible de son histoire. A la fin du mois de septembre, il est envoyé au front dans l'Aisne. Il disparaît le 31 octobre 1918 prés de Landifay.

01/2018

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Histoire internationale

Le 4e RTM. Tome 1, Histoire d'un régiment de tirailleurs marocains [1920-1964

De 1914 à 1966, neuf régiments de tirailleurs marocains ont fait partie de l'armée française et se sont illustrés sur de nombreux théâtres d'opérations, en Afrique du Nord, en Europe et en Asie. A partir de recherches effectuées dans les archives du ministère du Service historique de la Défense et en s'appuyant sur de nombreux témoignages, l'auteur, qui servit longtemps au 4e RTM, relate avec précision les événements qui ont marqué l'existence de cette formation.

06/1989

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Histoire de France

Soldats de la République, Les Tirailleurs sénégalais dans la tourmente. France mai-juin 1940

Juin 1940, un général à titre temporaire lançait à la radio de Londres cette phrase devenue célèbre : " La France a perdu une bataille, mais n'a pas perdu la guerre. " 45 jours de combats qui menèrent au chaos, durant lesquels plus de 92000 soldats français sacrifièrent leur vie. Qui se souvient de cette " Force Noire ", de ces soldats venus d'Afrique jetés dans la bataille et qui se battirent avec l'énergie du désespoir pour que vive la France. Les tirailleurs sénégalais ont été durant ces soixante-dix années qui nous séparent des faits, les grands oubliés de notre Histoire nationale. Ils étaient pourtant les soldats de la République, ils seront ceux de la France Libre avant d'être les exclus de la victoire. Qui se souvient aussi de ces soldats noirs massacrés par sections entières tandis qu'ils étaient prisonniers en divers points de notre territoire, victimes de préjugés raciaux, de la haine, ou de la folie des hommes ? Qui se souvient encore de leurs officiers abattus d'une balle dans la tête pour avoir tout simplement voulu protéger leurs hommes ou avoir commandé ces derniers ? Cet ouvrage a pour but d'éclairer ce pan de notre Histoire trop longtemps occulté.

11/2010

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Littérature française

Diaba l'ange tirailleur. Destin d'une femme africaine dans la Grande Guerre

Les graines d'arachide viennent d'être vendues aux négociants de Saint-Louis, les pièces de monnaie sonnent et circulent dans toutes les poches des habitants. Tout le village de Darou est en liesse, une séance de lutte s'organise ce lundi. C'est ce moment que choisit le commis colonial pour venir annoncer la Grande Guerre dans ce terroir paisible du Sénégal. Mbissane, le patriarche d'une grande lignée se doit de choisir parmi ses fils ceux qui partiront vers la Métropole. Diaba, l'aînée de la grande famille, se déguise en homme pour accompagner ses frères à la Guerre ; à la Mort. Feu, larmes , Diaba - l'Ange Tirailleur est un récit qui nous plonge dans l'histoire d'une famille africaine frappée par la lourde tragédie de la Première Guerre mondiale.

12/2018

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Littérature française

Monsieur Sénégal

" Il pensa que sa place n'était pas là-bas. Et que sa place n'était plus ici ". On les appelle les " tirailleurs sénégalais " et pourtant Amadou Lo, vingt ans, n'est ni l'un ni l'autre. Tirailleur, il ne l'est plus : c'est la fin de la première guerre mondiale et il est démobilisé. Et sénégalais, il ne l'a jamais été. Il rêve de retourner dans sa Guinée natale où, pense-t-il, l'attend sa famille. Seulement le médecin-major Robert Desvaux, qui lui a sauvé la vie, a d'autres projets pour lui : il souhaite faire de son aide de camp, si doux et docile, si secrètement attirant aussi, son chauffeur personnel dans la vie civile. Amadou se retrouve à Miray dans la campagne franc-comtoise où pratiquement personne n'a jamais vu de noir " en vrai "... et, après la guerre, un nouveau combat commence pour lui. Dans ce roman puissant et sensible, Antoine Rault explore les thèmes toujours actuels de l'identité, de l'intégration et de l'émancipation. Il invite le lecteur à se confronter sans complaisance, mais sans accusation facile à la réalité de notre histoire

08/2022

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Histoire de France

Nous n'avions jamais vu de Noirs. 300 tirailleurs africains en Centre Bretagne, Trévé, 1944-1945

Fin1940, environ80000prisonniers "indigènes" , venant des colonies et territoires extérieurs à la métropole, vivent dans les camps de la France occupée. Fin 1944, 300 tirailleurs sénégalais arrivent au camp de Trévé, dans les Côtes d'Armor, gardés par des F. F. I. Des témoins de l'époque livrent leurs souvenirs... Cet ouvrage rend hommage à ces hommes injustement traités et oubliés. Il évoque une Histoire qui se veut universelle.

04/2011

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Histoire internationale

Un hiver dans les Abruzzes. Le 8e régiment de tirailleurs marocains et le ... d'artillerie d'Afrique

Un hiver dans les Abruzzes. Le 8e régiment de tirailleurs marocains et le 3e groupe du 63e régiment d'artillerie d'Afrique (Italie, 1943-1944) Décembre 1943. La 2e division d'infanterie marocaine entre en ligne en Italie, sur le front des Abruzzes. Avec le corps expéditionnaire français commandé par le général Juin, ses régiments vont lutter pendant quatre mois, pour tenter d'ouvrir, par la montagne, la route de Rome. Donnant la parole aux combattants, mais aussi à ceux qui assuraient leur soutien, l'auteur rend hommage aux troupes d'Afrique du Nord qui payèrent le prix du sang pour que la France reprenne sa place aux côtés des Alliés.

06/1990