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Pour en finir avec "la civilisation". Un mythe barbare

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Philosophie

Pour en finir avec "la civilisation". Un mythe barbare

La "civilisation" est sans doute l'arme de destruction massive la plus importante jamais conçue et déployée. Et si ce qu'on appelle la "civilisation" était en fait une forme de barbarie ? Voilà l'idée que François de Bernard développe dans cet ouvrage. La "civilisation" sert selon lui à justifier depuis deux millénaires et demi tous les massacres, vols et destructions perpétrés par les dominants.

09/2016

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Histoire internationale

Frontières d'Afrique. Pour en finir avec un mythe

Frontières d'Afrique Pour en finir avec un mythe Le principe d'intangibilité des frontières a été adopté par les chefs d'Etat africains en 1964, au moment des indépendances. Depuis, les Etats se sont appropriés cet héritage d'une période coloniale. Il est donc temps d'en finir avec le mythe de cicatrices coloniales, tracés artificiels qui seraient responsables des conflits actuels et du mal-développement. Les frontières d'Afrique sont bel et bien devenues des frontières africaines. Et quoique parfois encore imprécises ou sources d'insécurité, elles fonctionnent néanmoins comme une ressource et comme autant d'interfaces utilisées par les réseaux marchands, acteurs d'une mondialisation par le bas.

08/2020

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Histoire de la chimie et de la

Pour en finir avec le mythe d'Albert Einstein

Avec sa personnalité hors norme, son franc-parler et son allure quelque peu extravagante pour l'époque, Einstein façonna tout au long de sa vie l'image qui est devenue peu à peu celle du génie iconoclaste, excentrique, pacifiste, athée et engagé. En le présentant comme un simple vérificateur de brevets découvrant, seul, les deux plus grandes théories du XXe siècle et comme un pacifiste fermement opposé à la guerre, les innombrables biographies qui lui ont été consacrées ont ainsi fait naître le " mythe d'Albert Einstein " . Pour l'entretenir, certains n'ont pas hésité à gommer tous les aspects méconnus et peu reluisants du personnage, en renvoyant à un public toujours plus avide d'extraordinaire et de sensationnel l'image policée du savant idéalisé tirant la langue aux photographes. Cet ouvrage souhaite en finir avec le mythe en analysant, à partir d'archives et de documents désormais accessibles, un certain nombre d'idées reçues le concernant. Au fil des chapitres, le lecteur découvrira toute l'ambiguïté du personnage à la fois moderne et conservateur, libéral et autoritaire, radical et opportuniste, Don Juan humaniste, pacifiste en temps de paix mais pas en temps de guerre, n'hésitant pas à renoncer à ses propres convictions au profit de ses intérêts personnels. Ce portrait sans concession présente Einstein tel qu'il fut réellement et non tel qu'on aurait voulu qu'il soit.

03/2023

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Actualité et médias

Pour en finir avec la droite

A quoi sert une droite qui ne croit plus à la nation, qui n'est pas capable de promouvoir la liberté d'entreprendre et que la peur de paraître "ringarde" conduit à renier ses valeurs l'une après l'autre ? Intimidée par le "politiquement correct" , engluée dans le piège du Front national, inapte à assurer l'héritage gaulliste, pauvres en hommes, faibles en idées, chétive en volonté : l'état de la droite justifie-t-il l'acharnement thérapeutique des Diafoirus d'appareil ? Ou faut-il que cette droite périsse pour que se reconstitue une famille politique qui offre une alternative au pays ?

10/1998

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Actualité et médias

Pour en finir avec la liberté

Une des plumes du Figaro Magazine et de Valeurs actuelles, Jean-Luc Jeener est un des pamphlétaires les plus brillants de sa génération. Il s'insurge ici contre la dérive de nos sociétés qui cherchent à prévenir tout risque, à aseptiser la vie pour la prolonger indéfiniment et à dicter aux citoyens leur conduite par une série d'interdits et d'obligations. La crise sanitaire est un révélateur profond de nos dérives : déresponsabilisation des politiques qui s'abritent derrière les experts, démission de l'Eglise qui accepte une eucharistie cathodique, inaudibilité de toute voix discordante et résurgence de la délation de son prochain, qui serait oublieux du confinement, de son masque, de se faire tester... En fait, le virus ne fait que rendre plus saillante une évolution inquiétante plus profonde illustrée par de nombreuses dérives dont nous donnerons ici deux exemples. D'une part les lois mémorielles édictent une pensée officielle au lieu de permettre à la vérité de sortir vainqueur du débat et poussent les sceptiques vers le complotisme. D'autre part le principe de précaution est érigé en impératif absolu, muselant nombre d'initiatives de recherches et d'innovations. Dans un cas comme dans l'autre, c'est l'essence même de la démocratie, ancrée dans le débat et le respect de l'initiative de chacun, qui est menacée.

01/2021

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Sociologie

Pour en finir avec la culture

A lire avant que la culture ne devienne vraiment un gros mot Le pamphlétaire bien connu, chroniqueur au Figaro et à Valeurs actuelles, Jean-Luc Jeener s'insurge contre la disparition de nos références culturelles et, plus encore, contre le glissement progressif vers une déligitimisation de la culture, soi-disant marque de privilège mais en fait seule réelle garantie d'émancipation.

01/2022

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Economie

La Société translucide. Pour en finir avec le mythe de l'Etat bienveillant

L'Etat est de retour sur le devant de la scène économique. Il aide les entreprises défaillantes, investit dans les secteurs jugés stratégiques, dit son mot sur la nomination des grands patrons, définit de nouvelles règles. Beau programme, sauf qu'en matière fiscale, bancaire ou industrielle, il y a un gouffre entre les effets d'annonce et la réalité. Il ne suffit hélas pas d'invoquer l'intérêt général pour le promouvoir. Il n'y a pas de pilote bienveillant aux commandes de l'appareil d'Etat mais des hommes inévitablement dotés d'intérêts particuliers, guettant les prochaines élections, ou tout simplement soucieux d'optimiser leurs carrières. Oublions donc la mythique neutralité d'un Etat aux mains propres et efficaces ! Fixons-nous plutôt des objectifs concrets, modestes et aux résultats contrôlables : livrer une information fiable et détaillée aux citoyens exigeants que nous sommes devenus, prêter une oreille attentive à nos critiques légitimes. Pour échapper à la tyrannie du court-terme et à la multiplication des réformes avortées, Augustin Landier et David Thesmar donnent le mode d'emploi d'une société translucide, autrement dit assez adulte pour sauver, dans la décennie qui s'ouvre, le modèle français.

05/2010

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Sociologie

La civilisation du cocon. Pour en finir avec la tentation du repli sur soi

Sommes-nous condamnés à vivre dans des cocons et à déserter la réalité ? Apologie de la vie domestique, fuite dans des mondes imaginaires, explosion du marché du bien-être, bulles de filtres et pensée magique : chaque jour, nous déployons un véritable arsenal de protections physiques et psychiques pour mettre à distance un monde qui nous oppresse. Bienvenue dans la civilisation du cocon ! Une nouvelle société de l'entre-soi, sous perfusion de confort, en passe de nous transformer, petit à petit, en êtres hypersensibles et ne supportant plus le moindre frottement avec la réalité. Comment sommes-nous passés d'un idéal de la vie "intense" à celui d'un quotidien "subi" que nous préférons fuir, à l'abri derrière nos forteresses de coussins ? Et surtout, ces cocons, aussi séduisants qu'aliénants, sont-ils en train de remplacer un safe space commun qui semble aujourd'hui nous échapper : notre planète et celles et ceux qui l'habitent avec nous ? Ce livre invite à prendre conscience de ce repli généralisé et à éclater ces bulles de confort où l'on commence à suffoquer.

03/2021

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Philosophie

Pour en finir avec Dieu

Richard Dawkins, professeur à Oxford et spécialiste mondialement connu de l'évolution, analyse dans ce livre l'" hypothèse Dieu " avec les mêmes outils rationnels et le même scepticisme que n'importe quelle autre. II s'attache donc à faire la démonstration de la " probabilité extrêmement faible de son existence ". Comprendre le monde du vivant, apprécier son extrême richesse expliquée avec une " élégance irrésistible " par la sélection naturelle de Darwin, voilà qui, montre Dawkins, devrait permettre d'abandonner toutes les formes de superstition, à commencer par le créationnisme.

02/2009

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Vivre en couple

Révolution amoureuse. Pour en finir avec le mythe de l'amour romantique

Et si on arrêtait de souffrir par amour ? Les femmes du monde entier souffrent par amour, en rêvant d'un modèle d'homme qui n'existe pas, d'un partenaire idéal qui viendrait les sauver. Ce mythe de l'amour romantique, que la société nous présente comme le seul possible, bien aidée par la religion et l'industrie du divertissement, est toxique. Individuellement et collectivement. Alors, le seul moyen de se désintoxiquer, c'est de faire la révolution ! Comment ? En interrogeant nos façons de s'aimer, pour nous libérer des normes, de l'éducation et des représentations qui enferment nos émotions ; en imaginant d'autres relations amoureuses et affectives dans un monde différent, et en osant les faire advenir. En 23 courts chapitres précis et percutants, Coral Herrera Gómez nous donne des pistes très concrètes pour changer nos pratiques individuelles et collectives, afin de faire changer le monde. Car l'amour est un puissant outil de transformation : quand il dépasse les frontières du couple pour gagner le collectif, il est un moteur pour construire une société où l'exploitation, la violence et les hiérarchies n'ont pas droit de cité.

11/2021

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Beaux arts

Pour en finir avec la nature morte

Ce livre revisite de fond en comble le genre de la nature morte comme lieu idéal du dialogue entre le vivant et le non-vivant, entre nous et les choses, entre présent et passé. Il invite à repenser l'histoire et la géographie de la représentation des choses : il remonte à la Préhistoire et ouvre des frontières sur d'autres contrées que l'Europe et les Etats-Unis. Il établit des correspondances entre les arts contemporains et les arts anciens en montrant de quelle manière les choses représentées par les artistes sont un bon observatoire des sensibilités. Cet essai est aussi une histoire de la tension entre l'abondance et son contraire, entre l'être et l'avoir depuis que l'on accumule des vivres, des outils, des armes, des proies, des vêtements, des parures, des choses désirables. Il est fondé sur l'observation des oeuvres d'art des peintres, sculpteurs, photographes et cinéastes (anonymes, Piraïkos, Mu Qi, Aertsen, Spoerri, Gupta, Tati, Tarkovski...) et sur la pensée des savants (Philostrate, Marx, Weber, Sterling, Barthes, Latour, Appadurai...) - et est traversé par l'esprit des poètes et des écrivains (Montaigne, Deubel, Baudelaire, Hugo, Michaux, Ponge, Perec...).

11/2020

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Actualité et médias

Pour en finir avec la France éternelle

" Il y a des gens qui vous parlent de la langue française et se targuent de ne pas savoir prononcer un nom qui commence par K. Cette vision rétrograde de la France et de la culture me ferait rire si je n'étais chatouilleux du blaze. La Nation, je ne connais que ça, je suis né dans ce coin-là, en fils d'une histoire française, celle d'une famille d'immigrés juifs. La nationalité n'est pas une affaire de mottes de terre, et, moins encore... la littérature ! Côté langue, on me pardonnera de préférer Queneau et Perec, Hugo et Aragon, aux éternels écrivains de terroir, qui vous vendent de la nostalgie à la façon des charcutiers industriels. Tout comme d'autres, en politique, n'ont de cesse d'évoquer les splendeurs du patriotisme républicain et de sa bonne vieille école, en oubliant, au passage, ce que les charniers doivent aux certitudes tricolores. Mais pourquoi chante-t-on toujours cette France figée et conservatrice, quand notre littérature est peuplée de héros espagnols et de bagnards en rupture de ban, quand les plus beaux vers contemporains s'accrochent aux yeux d'une juive russe - Elsa ? A force de pleurer notre fameuse exception française, on ne sait plus ce qui, en ce pays, pourrait être, vraiment, exceptionnel. " G.K.

02/2001

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Histoire de France

Pour en finir avec la repentance coloniale

Après celle de la guerre d'Algérie, une nouvelle génération d'anticolonialistes s'est levée, qui mène combat pour dénoncer le péché capital que nous devons tous expier: notre passé colonial, à nous Français. Battons notre coulpe, car la liste de nos crimes est longue ! Nous avons pressuré les colonies pour nourrir notre prospérité, les laissant exsangues à l'heure de leur indépendance; nous avons fait venir les "indigènes" au lendemain des deux guerres mondiales pour reconstruire la France, quitte à les sommer de s'en aller quand nous n'avions plus besoin d'eux; surtout, nous avons bâti cet empire colonial dans le sang et les larmes, puisque la colonisation a été rien moins qu'une entreprise de génocide : Jules Ferry, c'était, déjà, Hitler !. Contrevérités, billevesées, bricolage... voilà en quoi consiste le réquisitoire des Repentants, que l'auteur de ce livre a entrepris de démonter, à l'aide des bons vieux outils de l'historien - les sources, les chiffres, le contexte. Pas pour se faire le chantre de la colonisation, mais pour en finir avec la repentance, avant qu'elle transforme notre Histoire en un album bien commode à feuilleter, où s'affrontent les gentils et les méchants

03/2008

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Sociologie

Steaksisme. En finir avec le mythe de la végé et du viandard

Depuis quand la nourriture a-t-elle un genre ? Pourquoi y a-t-il si peu de femmes dans les kebabs ? Qui a décidé que les hommes n'aimaient pas le rosé ? Pourquoi le végétarisme est-il perçu comme un régime dévirilisant ? Les femmes jouissent-elles vraiment en mangeant un yaourt ? Rien n'échappe aux injonctions genrées, surtout pas la nourriture. En matière de bouffe, ces règles, tacites ou officielles, sont partout : de la Rome antique aux menus des restaurants, en passant par la publicité et les repas de famille. Elles façonnent le genre et renforcent les stéréotypes sexistes, avec des conséquences réelles sur la planète et la santé des femmes et des hommes qui les subissent. Après Faiminisme, Nora Bouazzouni s'attaque aux questions de genre sous l'angle de ce sexisme alimentaire toxique qui imprègne nos sociétés comme l'ail imprègne l'haleine. Entre goûts innés, constructions culturelles et pensée magique, Steaksisme met les pieds dans le plat pour en finir avec tous les préjugés.

04/2021

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Histoire et Philosophiesophie

Pour en finir avec le paranormal

Apparitions de fantômes et d'objets volants non identifiés, enlèvements par des extraterrestres, expériences de mort imminente... Ces phénomènes fascinants sont aujourd'hui qualifiés de "paranormaux". Michel Leurquin et Jean-Michel Abrassart sont passionnés depuis longtemps par l'étrange et se réclament de la zététique, une branche qui étudie les phénomènes paranormaux de manière scientifique. A la manière de Dana Scully dans "X-Files", ils expliquent ce qui est prétendument "inexplicable". Les auteurs nous présentent une vingtaine de faits paranormaux et l'état des recherches scientifiques sur ces sujets. Découvrez, entre autres,... comment Elsie et Frances, deux jeunes Anglaises, parvinrent à convaincre leur famille que des fées avaient élu domicile dans leur jardin et comment Arthur Conan Doyle lui-même fut impliqué dans la supercherie ; les liens étroits entre la fiction et la réalité qui transformèrent "Amityville", lieu de crime, en véritable lieu hanté et inhabitable ; la terrible Légende du Slender Man, qui "poussa" deux adolescentes à poignarder une de leur camarade et la laisser pour morte dans un bois ; la manière dont les détectives extralucides firent fortune au sortir de la guerre ; la façon dont les prédictions de Nostradamus furent interprétées et même inventées de toutes pièces !

08/2018

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Musique, danse

Pour en finir avec le "classique"

Comment pouvons-nous classer des musiques très différentes comme celles de Bach, Mozart ou Boulez dans la même catégorie ? Pourquoi utilisons-nous un terme à la fois si commun et si flou pour décrire cette musique ? Malgré le bouleversement des modes d'écoute lié aux nouvelles technologies, ce concept de musique "classique" reste figé. Comment envisager cette musique différemment ? Avec pédagogie et perspicacité, l'auteur de cet ouvrage décortique la notion de "musique classique" . Il la remet en question par une approche sémantique, historique, sociologique et esthétique. A travers des comparaisons avec d'autres genres de musique et d'autres arts, l'auteur s'interroge sur ce concept et propose de le dépasser.

06/2019

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Faits de société

Pour en finir avec les dealers

Aujourd'hui, en France, on tue pour quelques euros. Le marché du cannabis génère plusieurs milliards d'euros de chiffre d'affaires. L'argent facile dans un monde en crise, attire des jeunes prêts à tuer... Comment en sommes-nous arrivés à cette folie ?Après trente années d'abandon du politique dans les banlieues, Stéphane Gatignon, maire de Sevran, et Serge Supersac, ancien flic de terrain, donnent les raisons de ce chaos. Rester dans la logique actuelle, c'est s'acheminer vers une véritable guerre des gangs. Pour en finir avec les dealers, il faut sortir de la prohibition. La délinquance surmédiatisée, les enjeux de santé publique et d'économie, doivent inciter à agir avant qu'il ne soit trop tard.

04/2011

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Philosophie

Pour en finir avec l'irresponsabilité

L'irresponsabilité est au coeur de tous les débats et les vagues d'attentats meurtriers qui endeuillent l'Europe font surgir l'urgence de fonder une responsabilité authentique, susceptible de donner un sens à tous les verdicts et toutes les condamnations, faute de quoi il serait hypocrite de se plaindre du taux de récidive comme du sentiment grandissant d'impunité. Assumer les sources religieuses de la responsabilité, éclaircir les polémiques contemporaines sur l'amour et le mariage, sur l'écologie, l'éducation, comprendre les insuffisances idéologiques actuelles pour retrouver le sens du pardon, la noblesse perdue du respect et de la dignité, telles sont les pistes proposées par André Guigot, pour qui l'espoir renaîtra par l'esprit de responsabilité. Accessible par son style vivant, et exigeant sur le fond, cet essai engagé bouscule les préjugés et donne de quoi penser et résister. André Guigot est professeur à Nantes et essayiste. Il est l'auteur du très remarqué Pour en finir avec le "bonheur" , mais aussi de Qui pense quoi ? (Bayard), Sartre, liberté et histoire (Vrin) et du Petit dictionnaire de l'amour (Milan). Il anime de nombreux débats et conférences. Ses travaux portent sur la philosophie contemporaine, le renouveau du spiritualisme et les exigences d'une éthique propre à notre temps.

05/2016

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Histoire internationale

Pour en finir avec l'Allemagne

La victoire de Gerhard Schröder - suivie de la constitution d'un gouvernement " rouge-vert " (rose-vert serait plus exact) - est venue nous mettre brutalement sous le nez des réalités que nous cachait la massive et débonnaire silhouette de son prédécesseur Helmut Kohl. L'Allemagne n'est décidément pas ce pays " sûr de lui-même et dominateur " à quoi le résument nos inusables clichés, mais au contraire une nation qui doute d'elle-même et du monde, le mot est encore assez faible. Nous croyons que tout réussit aux Allemands. Qu'ils travaillent bien plus que nous. Qu'ils sont encore parfois hantés par de très suspectes nostalgies. Qu'ils ignorent la crise et ses peurs. Que leur amitié pour nous est, au mieux, condescendante. Et nous avons tout faux ! Il y a pour les Français un mystère allemand à plusieurs inconnues. Des inconnues qui tiennent il est vrai, bien souvent, à notre ignorance persistante à l'égard du plus grand voisin et principal partenaire de la France en Europe. C'est bien pourquoi il est grand temps d'en finir avec l'Allemagne. Celle, du moins, que nous jugeons mal, par excès ou par défaut, et qui est au cœur des fantasmes français bien plus que des réalités politiques, économiques et culturelles d'aujourd'hui. Et d'en refaire ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être : un (grand) pays comme les autres.

10/1998

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Littérature française

Pour en finir avec mon sofa

"Dans Sofa, je n'ai pas pu garder les vrais prénoms car si je l'avais fait il y aurait un seul prénom . Tous les personnages s'appelleraient Hélèna. Ce ne serait pas facile pour s'y reconnaître. La fille qui hérite des problèmes de sa mère c'est moi. La mère qui ne peut pas s'empêcher d'emmerder sa progéniture c'est moi aussi. Le petit ami qui adore jouer au ping-pong c'est encore moi. Le type qui collectionne des petits bidules en plastique c'est toujours moi et l'ami d'enfance qui raconte les vieilles histoires c'est moi, moi et moi. J'ai donc dû inventer des prénoms".

03/2018

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Théâtre

Pour en finir avec le théâtre ?

Le théâtre est un verbe qui devient chair, un comédien qui devient personnage, un moment habité par les spectateurs, une catharsis citoyenne, un apprentissage de la complexité et de la finesse. Or notre théâtre n'est aujourd'hui le plus souvent que spectacle désincarné et sans âme, tristes pitreries, one-man shows et autres ersatz de théâtre. Et ceux qui s'obstinent à faire du vrai théâtre sombrent parfois dans la course au spectaculaire, dans l'édifiant, dans l'aridité, oubliant que c'est l'humain qui doit être au coeur du théâtre. Depuis l'Antiquité, sans théâtre la Cité se meurt, la démocratie s'assèche, les pires instincts se déchaînent. Dans une France divisée, pourvu que les pouvoirs publics lui donnent les moyens d'exister, le théâtre peut contribuer à notre salut collectif.

03/2017

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Affirmation de soi

Pour en finir avec nos peurs

Cher Monsieur, De coeur et d'âme, je vous dis merci de nous offrir la possibilité de lire ce long texte de M. Eric Ancelet " pour en finir avec nos peurs... " Merci d'avoir sollicité Monsieur Ancelet de reprendre la plume tout récemment, merci à Monsieur Ancelet pour les informations si précieuses que j'ai découvertes et merci à vous de nous l'offrir gratuitement. Ce texte m'a profondément touchée, recadrant si clairement ce que notre société vit actuellement. Ma souveraineté s'est renforcée et mon appartenance à une très longue histoire aussi. Je vous remercie. Je vous souhaite de beaux moments de vie Amicalement Catherine Praplan. Récemment, j'ai lu le livre de M. Ancelet " Pour en finir avec Pasteur ", quel livre !! Et quel bel être pour nous transmettre tout cela.

05/2021

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Autres collections (9 à 12 ans

Pour en finir avec le Groc

Pour fuir son abruti de beau-père, Eole, onze ans, décide de passer le plus de temps possible hors de chez lui, avec son grand-père. A ses côtés, il découvre toute une bande de vieux, surprenants et rebelles, qui l'incitent à assumer son désir le plus secret : celui d'en finir avec le Croc. Le Croc ? Le gros con ! Ne plus se laisser faire, lutter pour gagner sa liberté, prendre son destin en main, voilà le grand défi d'Eole.

05/2021

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sociologie du genre

Pour en finir avec le féminisme

Comment un couple vit-il le féminisme ? Un homme et une femme de culture et de générations distinctes que la vie et la foi ont unis nous livrent le passionnant dialogue de leurs pensées. Deux textes croisés qui se répondent. Deux visions du monde qui achoppent l'une sur l'autre mais aussi bâtissent l'une avec l'autre. Tout en estimant que le combat du féminisme est un des plus beaux de notre siècle et que, comme un parcours à bicyclette, il ne saurait s'arrêter sans chuter, les auteurs s'inquiètent de certains de ses excès et de ses dérives. Défendant aussi bien la galanterie à la française que le droit de se faire importuner ou la complicité et la complémentarité entre les sexes, les auteurs militent pour un féminisme à la française, qui nous éviterait la montée de la méfiance et de l'enfermement, la judiciarisation des rapports sociaux et la permanente injonction faite aux femmes d'être des wonder women, mères parfaites et travailleuses accomplies. Le féminisme doit également inclure les hommes sans lesquels le combat pour l'égalité ne saurait être gagné. Egalité ne veut cependant pas dire identité et chercher à "dégenrer" la société est une ineptie. De même l'émancipation du patriarcat ne saurait se confondre avec un prosélitisme pour l'exclusion des hommes de la vie des femmes.

04/2024

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Sciences politiques

Le Ghetto scolaire. Pour en finir avec le séparatisme. Pour en finir avec le séparatisme

Depuis vingt ans, les enquêtes internationales se succèdent : notre système éducatif est de ceux où les parcours scolaires sont le plus fortement déterminés par le milieu social. La France a laissé se développer des établissements-ghettos où l'on ne se mélange plus, où l'on empêche les enfants d'apprendre les uns des autres et les uns avec les autres. Parce que la ségrégation est devenue le fléau de l'école, nous avons besoin d'une révolution de la mixité. Preuves à l'appui, fort des expériences réussies, ce livre démontre que cette révolution est possible, à peu de frais et avec des résultats tangibles. Il est urgent de réinventer l'école contre les séparatismes sociaux qui la détruisent.

03/2024

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Economie

Mythes économiques. En finir avec les idées reçues en économie

Cet ouvrage entend dénoncer certains mythes économiques contemporains. Qu'ils soient associés à des idéologies, qu'ils soient le produit de raccourcis ou d'amalgames, qu'ils participent de la recherche de boucs émissaires, ils ne résistent pas à une confrontation avec les faits. L'histoire longue est mobilisée pour les déconstruire. Douze mythes sont pointés : "Le leadership économique de la Chine", "Le libéralisme des gouvernements américains", "La fin de la suprématie du dollar", "L'apparition récente d'une guerre des monnaies", "La mondialisation économique est irréversible !", "Economie de services et dynamisme de la croissance", "Trop d'impôt tue l'impôt", "L'indépendance des banques centrales est gravée dans le marbre !", "L'attachement des gouvernants à l'équilibre des finances publiques", "La France en faillite", "La loi de 1973 sur l'indépendance de la Banque de France à l'origine de la crise de la dette publique en France", "Contre le chômage on a tout essayé".

02/2017

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Actualité politique France

Contr'un. Pour en finir avec l'élection présidentielle

Parce qu'il est depuis longtemps un intellectuel engagé, et parce qu'il a été candidat à la dernière élection présidentielle, Gaspard Koenig occupe une position unique pour analyser notre système politique actuel. Son récit de campagne très concret, souvent drôle, ouvre sur une critique radicale de nos institutions, qui font primer les personnes sur les idées. Si de nombreux auteurs, comme Aron, Mitterrand ou Revel, ont déjà dénoncé le présidentialisme de la Ve République, Gaspard Koenig s'attaque cette fois à un véritable tabou en remettant en question l'élection du président au suffrage universel. Contre la conception gaulliste de la souveraineté, il propose une autre vision de la société, plus décentralisée, et imagine à quoi pourrait ressembler la démocratie de demain.

10/2022

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Développement durable-Ecologie

Un nouveau droit pour la Terre. Pour en finir avec l'écocide

PointsTerre – Peuples et sociétés sont dépossédés de leurs moyens d'existence à travers le monde par la destruction de leur environnement. Face à cet écocide, comment repenser les droits de l'homme ? L'écocide (fait de détruire la "maison Terre") n'est pas un crime de plus, s'ajoutant à toutes les autres atteintes aux droits humains. Il est désormais le crime premier, celui qui ruine les conditions mêmes d'habitabilité de la Terre. D'ores et déjà, les dérèglements en cours attisent injustices et tensions géopolitiques tandis que ceux qui saccagent la planète restent impunis. Aussi est-il urgent de revendiquer de nouvelles formes de responsabilité et de solidarité. Urgent de redéfinir un nouveau sens et de nouveaux cadres à l'action humaine au sein des limites planétaires. Le droit international doit se métamorphoser et s'universaliser autour d'une nouvelle valeur pivot, l'écosystème Terre, en reconnaissant un cinquième crime international, le "crime d'écocide".

10/2016

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Critique littéraire

Pour en finir avec la langue de Shakespeare

C'est une épidémie ! L'anglais est partout. La langue de ceux qui ont fait brûler Jeanne d'Arc, exilé Napoléon à Sainte-Hélène, emmerdé souverainement De Gaulle, a non seulement gagné la planète mais s'impose aujourd'hui résolument dans notre douce France. Beaucoup s'en félicitent au nom du pragmatisme et de l'efficacité. Comment en est-on arrivé là ? La langue, pourtant, ce n'est pas rien ! C'est l'âme d'un peuple, son essence, son identité, son ciment, ce qui lui donne sa personnalité, ce qui marque sa différence... L'anglais, ce n'est pas seulement une langue mais ce qu'elle véhicule comme références, système de valeurs et vision du monde qui entre en contradiction avec la construction très particulière qu'a été la France.

03/2014

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Psychologie, psychanalyse

Pour en finir avec la guerre des psys

La diversité des psys est devenue le prétexte d'une guerre de pouvoir et de conquête des marchés au nom d'intérêts corporatistes ou de convictions plus idéologiques que scientifiques. Plutôt que de débattre et voir ce qui les réunit, tous les coups sont bons, moins pour valoriser sa propre pratique ou ses résultats que pour dévaloriser l'autre, plus souvent par la voie de la calomnie que par l'analyse. Mais les psys feraient mieux de regarder ce qui se passe vraiment, et dont les réformes actuelles sont le signal. Dans leur ensemble, ils sont les derniers garants de l'autonomie du psychisme par rapport aux réalités sociales et biologiques. En face, domine la conception du monde des gestionnaires qui ont succédé aux politiques. C'est cette guerre de l'humanisme contre l'utilitarisme qu'ils devraient mener. Il y a urgence : cette guerre ne sert que ceux qui espèrent la disparition progressive des psys...

03/2010