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Lorsqu'il fut de retour enfin

Extraits

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Littérature française

Lorsqu'il fut de retour enfin

Reprise de l'Odyssée d'Ulysse, du point de vue de la femme qui attend, Lorsqu'il fut de retour enfin est un livre subtil où l'autre tient dans notre quotidien une place qui nous échappe toujours.

03/2017

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Correspondance

Il faut enfin que je te dise...

"J'arrive à la fin de ma lettre et crois-moi, je vais profiter de ce qui m'attend et en savourer chaque minute, chaque seconde, et vous laisser, toi, tes démons et ta conscience, si tu en as une [... ]. Mon corps n'est pas à ta disposition". Manon Sainte-Rose-Franchine "Aujourd'hui je peux écrire cette honte et l'enterrer parce qu'un mot - harcèlement - est venu m'en décharger. J'ai commencé cette lettre en affirmant qu'il est bon parfois de ne pas oser. Mais quand il s'agit de la honte de soi, alors là, il faut y aller. Il faut se jeter sur les mots". Arnaud Cathrine Ecrire une lettre que l'on n'a jamais osé ou pu écrire auparavant. Une lettre comme un espace de liberté, l'occasion d'exprimer ce qui s'est d'abord inscrit à l'intérieur de soi. Expérimenter le pouvoir libérateur des mots, ce que ceux-ci ouvrent comme possibles. Plus de 100 heures d'ateliers d'écriture menés auprès de 100 jeunes. Un recueil épistolaire qui mêle voix adultes et voix adolescentes, 35 lettres sensibles et parfois bouleversantes.

03/2024

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Littérature française

Enfin, il était là...

"Je me réfugie dans tes yeux... Tout mon Amour. . ". Histoire de vie un peu particulière d'une maman solo, écorchée, à la recherche de l'épanouissement personnel, et qui par tous les signes de la vie, l'univers, se laisse porter par ses ressentis, jusqu'à la rencontre de cet homme...

09/2020

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Autres éditeurs (P à T)

Lorsqu'il pleut à l'intérieur

Une histoire pleine de poésie qui, à travers l'opposition du soleil et de la pluie, traite métaphoriquement du thème de la solitude. Heureusement, la solidarité est source d'espoir. Agou a un grand ami. Les deux semblent inséparables, pourtant un jour Agou se retrouve seul. De sa tristesse naît un nuage qui le suit partout et le couvre de pluie. Il pleut à chaque instant du jour et de la nuit : c'est ce qui arrive lorsqu'il pleut sur ton coeur. Et quand il ne pleut que pour toi, il est facile d'oublier le soleil...

01/2023

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Poches Littérature internation

Il est de retour

Berlin, 2011. Soixante-six ans après sa disparition, Hitler se réveille dans un terrain vague de Berlin. Et il n'est pas content : comment, plus personne ne fait le salut nazi ? L'Allemagne ne rayonne plus sur l'Europe ? Depuis quand tous ces Turcs ont-ils pignon sur rue ? Et, surtout, c'est une FEMME qui dirige le pays ? Il est temps d'agir. Le Führer est de retour et va remettre le pays dans le droit chemin. Et pour cela, il lui faut une tribune. Ca tombe bien, une équipe de télé, par l'odeur du bon client alléchée, est toute prête à lui en fournir une. La machine médiatique s'emballe, et bientôt le pays ne parle plus que de ça. Pensez-vous, cet homme ne dit pas que des âneries ! En voilà un au moins qui ne mâche pas ses mots. Et ça fait du bien, en ces temps de crise... Hitler est ravi, qui n'en demandait pas tant. Il le sent, le pays est prêt. Reste à porter l'estocade qui lui permettra d'achever enfin ce qu'il avait commencé...

10/2015

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Sociologie

Durkheim fut-il durkheimien ?

« Durkheim fut-il durkheimien ? » La question, que pose Raymond Boudon en conclusion du colloque organisé par l’Académie des Sciences morales et politiques à l’occasion du 150e anniversaire de la naissance de Durkheim, a de quoi surprendre. Il s’en explique ainsi : « Je me suis souvent demandé quels principes régissaient l’interprétation des textes. À première vue, le cas des textes scientifiques paraît plus simple que celui des textes littéraires. Mais, à tout prendre, je n’en suis pas si sûr et je me sens parfois déconcerté par l’assurance avec laquelle les commentateurs donnent à croire que leurs interprétations présentent la pensée de tel auteur telle qu’elle est supposant par là qu’il est aussi facile de décrire une pensée qu’une chaise ou une pipe. » Si Durkheim et Max Weber, les deux fondateurs de la sociologie, n’ont jamais connu une audience comparable à celle de Marx ou Freud, c’est sans doute que leurs pensées étaient moins aisément susceptibles d’être caricaturées, même si elles le furent. Ainsi on peut s’interroger pour savoir si Durkheim se serait reconnu dans les assertions de certains de ses lecteurs qui assignent à sa pensée un strict « causalisme ». Les deux pères de la sociologie moderne offrent des outils bien plus subtils pour l’analyse des sociétés et des relations entre l’individu et la société. Mais comme c’est le cas de beaucoup de pionniers, ils ont exprimé leurs intuitions novatrices d’une façon qui passe parfois pour incertaine aux yeux du lecteur moderne. C’est donc à une (re)lecture attentive de l’œuvre de Durkheim – ou mieux, des œuvres de Durkheim – que Raymond Boudon a invité 12 universitaires français et étrangers afin de tenter de retrouver la vigueur, la justesse et le caractère novateur de sa pensée. Ont participé à ce volume : Jean Baechler (Académie des Sciences morales et politiques), Pierre Birnbaum (Université Paris I Panthéon-Sorbonne), Raymond Boudon (Académie des Sciences morales et politiques), Massimo Borlandi (Université de Turin), François Chazel (Université Paris-Sorbonne, Paris IV), Mohammed Cherkaoui (CNRS, Université Paris-Sorbonne, Paris IV), Hans Joas (Université de Freiburg-im-Brisgau, Université de Chicago), Steven Lukes (New York University), Philippe Raynaud (Paris II Panthéon-Assas, EHESS), Bertrand Saint-Sernin (Académie des Sciences morales et politiques), François Terré (Académie des Sciences morales et politiques).

09/2011

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Poésie

Il fut un temps

« J'ai connu une vie ailleurs, J'étais écrivain, Je traçais des légendes et je te voyais du fin fond de mon millénaire. L'éternité nous tendait les bras... Comme une béatitude, Comme une conception. Et quand notre éternité sera épuisée comme une meurtrissure, Nous continuerons une autre vie. Nos enfants s'amuseront dans le jardin ineffable du temps qui s'écoule. » Deux figures féminines ont marqué l'auteur : Siegrid, l'être chéri, et sa mère aujourd'hui décédée. Se dresse alors au fil de ce recueil un double hommage déclinant l'amour sous toutes ses formes. Du deuil à la déclaration, de la tendresse au désir, José Russotto nous conte les étoiles et leurs poussières, les explosions et leurs soupirs.

12/2015

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Littérature française

J'ai enfin osé ! Il faut du temps pour s'atteindre

Lentement est apparue et bientôt s'est affirmée une autre femme, s'autorisant à laisser enfin émerger au grand jour ce qui l'a étouffée durant des décennies jusqu'à la conduire à deux reprises dans l'enfer du cancer. Ana Palatsi n'a jamais renoncé. N'écoutant que son instinct, elle s'est battue, elle a affronté et terrassé la maladie. Et surtout, avec une profonde authenticité, elle a peu à peu transcendé son existence. Une femme d'une grande sensibilité, blessée par un passé trop lourd, mue par un courage indéfectible au service d'une longue quête pour revenir aux sources troublantes, longtemps occultées, de sa propre histoire.

12/2021

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Poches Littérature internation

Il fut un blanc navire

Un orphelin s'invente des histoires. Il rêve d'un père parti sur la mer qui reviendrait le chercher, lui, l'enfant élevé à la dure dans les montagnes du Kirghizstan. Il rêve avec une paire de jumelles et contemple, très loin sur le lac, un navire blanc à la majestueuse lenteur. C'est un repère et un espoir, une sorte de légende comme il en circule tant entre les vallées et les cols peuplés de chevaux, de loups et de mârals. L'enfant patiente, regarde voler les aigles et évoluer les hommes. Il apprend. Un jour viendra.

05/2012

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Physique, chimie

Méca. Le livre qu'il vous faut pour (enfin) comprendre la mécanique

Cette introduction à la mécanique a pour objectif de permettre aux étudiants entrant dans l'enseignement supérieur de renforcer et d'approfondir leur compréhension globale des principes des bases de la mécanique Newtonienne, abordée succinctement dans le cycle secondaire. De très nombreux quiz et exercices rythment le cours pour un apprentissage progressif et une évaluation continue des connaissances. Les concepts présentés sont mis en relation avec des expériences de la vie courante afin de faciliter l'interprétation physique des phénomènes. Les représentations physiques des objets mathématiques introduits permettent une meilleure compréhension. Des QCM supplémentaires sont disponibles sur la plateforme my-adele. fr.

05/2019

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Actualité et médias

Il faut qu'il parte

"Je n'aime pas les communistes parce qu'ils sont communistes ; je n'aime pas les socialistes parce qu'ils ne sont pas socialistes ; et je n'aime pas les miens parce qu'ils aiment trop l'argent". Charles de Gaulle C'est un nouveau discours de la servitude volontaire. Mais pas un Contre'un comme celui qu'écrivit La Boétie : le tableau d'une époque et un réquisitoire contre une bourgeoisie française aussi bête et borgne qu'en 1830 et en 1851. Que se passe-t-il dans ce cher et vieux pays pour qu'on accuse les pauvres d'être coupables de leur sort, pour que le travail, ce mal nécessaire, soit tenu pour une valeur, pour que le serpent de Mai 68 se morde la queue et que la culture soit rangée au rayon des biens de consommation ? Un homme à la tête de l'Etat incarne aujourd'hui le nihilisme d'une hyperclasse sans attaches et sans territoire qui voudrait oublier que l'homme est un animal social et que le lien compte plus que le bien. Il ne sera pas nommé dans cet exercice de style dont la violence vise d'abord les idées : le poisson pourrit toujours par la tête. Il faut qu'il parte ne révélera aucun petit secret caché : il fera entendre le hurlement de bouledogue vivisectionné d'un écrivain non-conformiste.

04/2008

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Littérature francophone

Il faut revenir

" Entre deux rires profonds, l'homme parle un français minutieux et ancestral, et ses " r " roulent comme une vague dans le ventre de Lila. L'homme dit : " Ce pays, il faut renoncer à le comprendre. Il est trop riche. De cultures, de haines, d'amours, de malentendus. Trop traversé par les civilisations. Trop complexe, stratifié, mouvant, on ne peut l'appréhender dans la totalité de ses dissonances. Il n'existe donc pas. Il vit, uniquement. C'est peut-être déjà beaucoup. Peut-être déjà un miracle en soi, qu'il vive. (...) Non, ce pays n'existe pas et nous devons, pour y comprendre quelque chose, nous contenter de raconter les vies éparses qui le traversent, instruire un dossier, en quelque sorte, qui permettrait un jour d'en délimiter le périmètre humain, le seul qui vaille. " Portée par l'espérance, Lila rentre au Liban au début des années 2000, après des années d'exil. Elle aime, rêve et dérive, entre autres auprès du mystérieux Ibrahim, antiquaire et pygmalion approximatif. Devenue journaliste, elle tâtonne. De paysage en paysage. Entre un attentat et une manifestation. Entre la beauté époustouflante d'une terre millénaire et l'absurdité destructrice du quotidien. Dans ses périples immobiles, elle est rejointe par sa soeur aveugle, Rim, pythie urbaine en quête de sacré sur cette terre détruite. A deux, elles incarnent les paradoxes du désespoir autant que les désirs de se réinventer un chez-soi : le Liban n'est-il pas le pays de tous les (im)possibles, un territoire qui n'obéît à aucune règle ? Dans une langue chirurgicale, d'une douce poésie mêlée d'humour féroce, Hala Moughanie fait plus que jamais vivre une terre qui n'en finit pas d'être incomprise, mais qui stupéfie par sa capacité d'évocation.

09/2023

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Littérature française

Comme il faut

François mène la vie dont il a toujours rêvé. Du sport et une alimentation saine. Une profession intéressante et valorisante comme directeur d'école primaire. Une jolie maison dans un village près de Montpellier. Un chien jappant dans le jardin. Un mari dévoué et cadre supérieur. Puis, dans une semaine, la naissance de leur bébé aux Etats-Unis, grâce à une gestation pour autrui. Or, le jour du départ en avion, son époux Ahmed disparaît en laissant une note : "? Désolé, ça ne va pas le faire. Je t'aime. ? " Ces mots bouleversent au-delà de leur couple. Chacun se remet en question dans ses valeurs et se heurte à ses contradictions. Peu importe l'âge, l'orientation sexuelle ou la religion, quiconque se rapproche ou s'éloigne d'une vie "? comme il faut ? " en subit les conséquences. Après mon autobiographie Bonjiour Miéssieur, un prof en Inde, et mon roman Les Dettes de Je, un roman fustigeant certaines injonctions sociales imposées aux femmes, je m'intéresse à la gestation pour autrui. Dans Comme il faut, je vous présente un récit bienveillant, mais en aucun cas militant, qui se déroule à Castries, le village héraultais de mon enfance.

04/2023

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Littérature française

Ce qu'il faut

Corinne Lovera Vitali a composé ce livre sur près de vingt ans. Il semble pourtant avoir été écrit comme il se lit, dans une forme d'urgence. Pas celle de la précipitation mais celle de la nécessité intérieure, sous le flux tendu du va-et-vient dans le temps devenu "suspendu" le long de dix-neuf chapitres d'une écriture fluide comme la vie. Comme une photographie, ce livre nous saisit. Il nous dit ce qui a lieu et que peut-être nous ignorons, la disparition de sa famille, la mort de son enfant, une vie commune que l'auteur est "la seule à prolonger". Mais il exhume surtout tout ce qui nous relie, et nous relie aussi à ceux qui ne sont plus. Il nous accompagne là où certains livres, rares, peuvent nous obliger à nous enfoncer. Il nous fait rencontrer des êtres, qu'ils soient vivants ou morts, nous donnant ainsi l'occasion unique d'éprouver l'épaisseur du temps et la volupté de l'instant, l'éternel dans l'éphémère. Ce qu'il faut pourrait être une tombe, c'est un souffle. C'était il y a pas si longtemps aussi je ne peux pas dire Il était une fois, je ne peux pas dire C'est un conte mon chéri, je ne peux pas dire On dit que, je ne peux pas croire que ça a passé si vite que même moi maintenant je pourrais ne pas croire que ça a existé (...) comme quand on regarde une photographie des vieux quand ils étaient jeunes et que c'était leur vraie vie tandis qu'on n'existait pas soi.

10/2016

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Littérature française

Il faut tenter de vivre

Luce cherche ses origines dans le monde mouvant mais encore archaïque des années 50. En une quête qui la mène d'un village de la France profonde au Nord du Maroc, parviendra-t-elle à vaincre les difficultés matérielles, à dépasser les égoïsmes locaux pour dénouer de lourds secrets familiaux.

04/2017

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Littérature française

Il faut tenter de vivre

"Dans les temps qui avaient précédé notre rencontre, je m'étais représenté Sandrine Broussard d'une manière très subjective, sur la base de ce qu'on me racontait. A vrai dire, peu m'importait de savoir si j'étais près de la vérité ou non. Je faisais évoluer la jeune femme sur une orbite éloignée de Bonnie Parker, où elle gravitait comme un astre de faible brillance, et je l'imaginais de taille moyenne, blonde, mignonne, pareille à Faye Dunaway dans le film. Sandrine était la portion incongrue de mon univers, différente de tout, rétive aux classements." Lorsque le narrateur croise enfin Sandrine Broussard il est happé par ce personnage magnétique, son exact contraire. La jeune femme va lui raconter ses vies multiples et tumultueuses, faites d'arnaques et de clandestinité. Mais au plus profond d'elle-même, elle aspire à ne plus être une "passagère clandestine" et à retrouver une place dans ce monde. Pour "tenter de vivre", il faut abandonner plusieurs "moi" derrière soi. Le peut-on ? Et quel est le prix à payer pour sortir du tunnel ?

08/2015

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Couple, famille

Il pleure, que dit-il ? Décoder enfin le langage caché des bébés

Décoder enfin le langage caché des bébésGrâce à ses capacités hors normes, oreille absolue, mémoire des sons, l'auteure a pu décrypter la signification des pleurs des nourrissons. C'est une révolution pour les parents qui comprennent tout à coup ce que leur bébé leur dit ! Priscilla Dunstan a confirmé sa première découverte par de nombreuses recherches menées autour du monde. Quelle que soit leur nationalité ou ethnie, les nouveau-nés humains s'expriment dans une langue universelle reposant sur des réflexes physiologiques. La classification Dunstan des pleurs des nourrissons permet d'écouter son bébé pour que, dès sa naissance, les parents sachent reconnaître les causes de ses pleurs. A-t-il faim, sommeil, froid, besoin de faire un rot, mal aux dents ou au ventre ? Répondre à ses besoins pour le calmer devient si facile ! Quand ils n'arrivent pas à trouver la cause des pleurs de leur bébé, les parents se sentent impuissants, coupables et découragés, la classification Dunstan change leur vie. Fini les tentatives infructueuses et l'approche essai-erreur. Les sons sont décryptés, la route directe vers la satisfaction du besoin du bébé est tracée. Dans plus de trente pays, des infirmières, des pédiatres et d'autres professionnels de la santé enseignent cette classification des sons. Un million de bébés en ont déjà bénéficié. Dans cet ouvrage, le lecteur découvrira dix mots, dont trois prononcés dès la naissance. Les sons à repérer dans les pleurs sont décrits puis l'auteure explique comment les bébés les produisent, avant de proposer diverses techniques d'apaisement. Après avoir écouté les pleurs des nourrissons avec Priscilla, j'ai repris le couloir de la maternité, mais alors que je n'y avais entendu que des pleurs auparavant, cette fois, j'entendais nèh, èh et aoh. C'était dingue ! Comme si quelqu'un m'avait débouché les oreilles, comme si je pouvais comprendre ce que ces bébés disaient ! STEVE.

10/2016

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Sciences politiques

Rwanda : enfin, la France s'agenouille - Lorsque Kagame la fait plier

Ca y est ! Nous venons de passer d'une attitude française d'hostilité assumée (F. Mitterrand et J. Chirac) à la reconnaissance de la faute (E. Macron) en passant par les faux semblants (N. Sarkozy) et l'indifférence (F. Hollande). Ainsi donc, pour "se faire pardonner" , la France est aujourd'hui prête à donner "quelque chose" au Rwanda. Kare kose se ! comme diraient les Rwandais. Ce qui devait arriver est en effet en train de se passer et, avec une "discrétion d'autruche" , la France se résout finalement à assumer sa part de culpabilité dans le drame rwandais. Finies donc les circonlocutions sarkoziennes, genre "erreur d'aveuglement" .

09/2018

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Thrillers

Ce qu'il faut de haine

La mort ne frappe pas toujours au hasard...

10/2023

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Littérature française

Ce qu'il faut de nuit

C'est l'histoire d'un père qui élève seul ses deux fils. Les années passent, et les enfants grandissent. Ils choisissent ce qui a de l'importance à leurs yeux, ceux qu'ils sont en train de devenir. Ils agissent comme des hommes. Et pourtant, ce ne sont encore que des gosses. C'est une histoire de famille et de convictions, de choix et de sentiments ébranlés, une plongée dans le coeur de trois hommes.

08/2020

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Poésie

Ce qu'il faut de désir

Plus l'horizon est mouvementé, plus il importe d'être intensément vivant du côté de ce qui tonifie, anime, exalte. Pour cela, rien ne s'impose avec plus d'acuité souveraine, et mystérieuse aussi, que la voie du désir puisque c'est elle qui gouverne nos destinées, même quand elle nous engage à naviguer à contre-courant. Sophie Nauleau suit, explore et ravive ce véritable fil rouge de la poésie qui, depuis la Fin'Amor des troubadours, ne cesse de hanter, d'embraser, d'électriser l'esprit des amants, le corps des libertins, l'âme des mystiques, avec toujours à portée de poèmes et de chants ce qu' farts de désir pour triompher des tourments et autres tumultes de l'existence.

02/2021

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Littérature française

Il y eut un soir, Il y eut un matin

" Je te donne ma démission, puisque je ne puis plus célébrer deux offices à la suite, le coeur ne tiendra pas. (...) Je venais d'adhérer au club des cardiaques . " De la difficulté naît l'évolution, le dépassement de soi, et d'un handicap émerge une chance. Alain Jean Borie, en tant que chanoine, a pour mission d'aimer son peuple, de le guider dans la foi de l'Eglise. Quand la maladie le frappe, celle-ci donne encore davantage de sens à sa vocation. D'hymnes en prières, l'auteur édifie une homélie conférant courage et force à ceux qui l'écoutent. Au creux même de nos limites, il y a un appel à vivre.

07/2014

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Thrillers

Il y eut un soir, il y eut un matin

Il y eut un soir, il y eut un matin relate le parcours et l'engagement d'un avocat aux côtés de son client à travers les divers rebondissements d'une affaire criminelle. Un homme a perdu la vie, mais la culpabilité de son présumé meurtrier reste à prouver. Un soir sombre précipite cet individu dans l'obscurité, mais des années plus tard, un nouveau jour se lèvera pour lui...

06/2024

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Science-fiction

Il sera... Tome 8 : Le retour

Sur le conseil d'Abir Gandy, le représentant des Symbiosiens, Sandrila Robatiny et Bartol sont de retour dans le système solaire. Dans leur référentiel, le voyage jusqu'à Biose avait duré quarante jours seulement, mais à cause de la vitesse relativiste de Symbiose, leur absence aura duré trente-trois années. Durant ces décennies, bien des choses ont changé autour du Soleil. Abir a été très énigmatique : " Je sais que votre empire a changé de mains en même temps que les pouvoirs qu'il vous donnait, Sandrila. Pourtant, vous êtes encore la personne la plus à même de régler la crise majeure qui sévit dans le système solaire. Soyez sûre que votre influence sera déterminante sur la cause de tout cela. A vous de la découvrir, cette cause. "

10/2023

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Santé, diététique, beauté

Faut-il te pardonner ?

Je crois que j'ai commencé à m'interroger le jour où Elle a décidé de vivre sa vie. Sa vie de femme avec son mari. Ce jour-là, ils sont partis tous les deux. J'avais onze ans. Ils nous ont laissés seuls, ma soeur et moi. Il s'agissait de nos parents. Il parait que c'est comme cela que c?a s'appelle : des parents. Donc Elle, c'était ma mère. Cette mère rarement présente, durant les onze premières années de ma vie. Absente durant celles qui allaient suivre. A nouveau présente quelques années plus tard quand elle avait besoin, juste besoin, de son fils devenu adulte. Cette mère qui a toujours voulu être libre est devenue une femme emprisonnée, une femme recherchée, une femme en cavale. Ironie du sort... Elle, qui a toujours voulu vivre dans la lumière, dans les palaces. Elle, qui vivait dans sa propriété, telle une châtelaine de province. Elle, qui traversait les villes au volant de sa Cadillac. Elle, elle vit désormais recluse, cachée, traquée à l'autre bout du monde. " Comment se construire lorsqu'on est livré à soi-même ? Comment pardonner à sa mère de l'avoir abandonné par cupidité ? Entre mises au point, vérités familiales et récit initiatique, l'auteur partage sans fausse pudeur son parcours atypique : trahison, solitude, homosexualité, drogue, ... De l'excès à la sagesse, d'une vie débridée à sa conversion au judaïsme, en passant par la découverte de la Torah, le destin de Christophe Coquin est fait de montagnes russes aux virages insoupçonnés avec, en filigrane, une histoire d'amour de près de trente ans, parfois tumultueuse, mais plus forte que tout.

06/2020

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Beaux arts

Il faut sérieusement douter

"Il faut sérieusement douter" réunit un ensemble de textes essentiels écrits par Daniel Buren entre 1967 et 2018. Prises de positions théoriques, lettres ouvertes ou propos sur l'art invitent à une traversée de l'oeuvre de l'artiste et proposent également son point de vue sur certains des événements qui ont marqué l'art de cette époque. Les entretiens, réécrits par Daniel Buren, lui donnent librement la parole et les photographies inédites qui accompagnent les textes montrent celles et ceux qui l'ont souvent accompagné. Expliquer, dénoncer, répondre, argumenter, commenter, décrire sont, pour Daniel Buren, des actes étroitement liés à son travail plastique et qui permettent de mieux comprendre comment cette oeuvre radicale et engagée s'enracine profondément dans son époque, dans ses problématiques et reste en dialogue permanent avec ceux qui la construisent.

05/2019

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Encyclopédies de poche

Renoir. "Il faut embellir"

" Pour moi, un tableau doit être une chose aimable, joyeuse et jolie ", déclarait Auguste Renoir. En plus de cinquante années de carrière et quelques milliers de tableaux, le peintre, qui estimait que la peinture est faite " pour décorer les murs ", a révélé la grâce de ses personnages dans la lumière impressionniste. D'abord méconnu et souvent refusé aux salons officiels, mais soutenu par un petit cercle d'amis et d'admirateurs, il connaît la consécration en entrant au Louvre de son vivant, sans jamais perdre son immense modestie. " Je crois que je commence à y comprendre quelque chose ", murmurait-il à sa garde-malade en lui rendant ses pinceaux peu avant sa mort. Anne Distel montre comment Renoir, par les touches de son éclatante palette, a su transfigurer la banalité.

09/2009

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Lecture 6-9 ans

Il faut tuer Sammy

Le soleil brûle toujours dans cette ferme loin du monde. Ed et Anna sont condamnés à supporter cette canicule. Ils ramassent et épluchent des patates. Pendant ce temps, le cousin dans son frigo joue du violoncelle et Sammy grogne dans son trou. Pour qui sont ces patates ? Pour Sammy. Mais aujourd'hui, Ed et Anna l'ont décidé, il faut en finir avec Sammy.

05/1997

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Littérature française

S'il faut partir

D'un côté, il y a Eugène. Il a quitté la mine pour le chemin de fer. Sans cela, il n'aurait jamais rencontré Eliette en gare d'Alès. De l'autre, il y a Giulia. Elle a quitté l'Italie pour rejoindre la France. Sans cela, elle n'aurait jamais rencontré Emile, du côté d'Humberville. Mais si l'on s'y prend bien, l'amour peut effacer les blessures héritées de l'histoire. Hélas, le 3 septembre 1939, lorsque la guerre est déclarée, tout bascule. D'un côté, le frère d'Eliette est déporté pour le service du travail obligatoire. De l'autre, Emile est prisonnier. Les épreuves viendront-elles éteindre chez ceux qui restent la soif de vivre ? Ou bien viendront-elles leur donner vigueur ? Dans cette fresque au couteau, Pierre Dharréville peint plus qu'une époque. Il ne se contente pas de montrer d'où nous venons dans l'espoir fébrile de mieux définir où nous allons. Il dépeint d'abord le drame et met en lumière ses défaites. Il rend justice à des vies, précaires, ébréchées, inabouties, mais qui valaient d'être vécues.

05/2018

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XVIIIe siècle

Puisqu il faut partir

Aux premiers temps de la Révolution française, en Lorraine, un artisan s'inquiète : il est d'origine allemande, un étranger. Cela fait longtemps qu'il est installé en France, mais dans le climat de délation qui s'installe, redoutant la guerre avec la Prusse et l'Autriche, il finit par repartir avec sa famille dans le grand-duché de Mayence, son pays natal. Un mauvais calcul ? La révolution le retrouvera jusqu'en terre allemande. Ce roman basé sur une histoire authentique mais librement interprétée, nous présente le destin du fils, Dominik Beck et des personnages qui gravitent autour de lui. On s'attache aux femmes, sorte de mères courages, comme sa mère, la Lorraine Margareta, la jeune patriote Françoise, son premier amour, ou Carolina, qui incarne le rêve de l'Amérique. Dominik saura-t-il s'adapter au village de son père, se faire accepter malgré son caractère colérique et vaincre les vicissitudes de la guerre ? Pourra-t-il même tirer profit de la conquête par Napoléon ? Cette saga familiale se termine, comme elle a commencé, par l'émigration.

11/2022