Poésie
InsoliteCNL – Sandra Lillo est l'une des grandes révélations de la poésie contemporaine, Valérie Rouzeau affirme qu'elle est "devenue addict à la lecture quotidienne" d'un de ses poèmes. Une poésie à la fois du quotidien et universelle, ancrée dans notre société et notre époque, une écriture qui surgit de l'inattendu. La voix de Sandra Lillo, simple et profonde, mêle quotidien, rêve, intimité et amour de la littérature.
On est rapidement saisi par la fraîcheur et la gravité mêlées des mots. Par une "forte douceur" qui subtilement dit l'amour et le désespoir, la pauvreté et la jubilation. Une écriture dépourvue de prétention mais débordante de fulgurances, sobre et efficace, à la fois engagée socialement et dépouillée sur les petits riens du quotidien qui font la vie. A travers la poésie, Sandra Lillo aborde le quotidien et convoque ses souvenirs, elle parle des vivants et des morts, de la famille et de la solitude, du courage pour dire les choses et survivre au jour le jour.
Les bonbons pleurent est en quelque sorte un journal intime où les anecdotes personnelles deviennent très vite universelles.
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Un premier roman magistral qui raconte la dérive de l'histoire d'amour entre Erika et Vincent au Rwanda, 25 ans après le génocide des Tutsis. Kigali, 2018. Depuis sa rupture avec Vincent, Erika vit sur un fil. Elle décide alors de se faire hara-kiri par l'écriture, d'adresser à sa soeur des lettres pour " exorciser de son corps " un amour-dévastation qui l'habite encore. Elle raconte son histoire, mais également celles des êtres fragiles auxquels elle est attachée, qui eux aussi tentent de vivre. Avec James, frère second hand, Manzi, le séduisant karatéka, Mzee Idelphonse, Maman Colonel, Tonton Damas, les coeurs débordants comme la mousse des bières décapsulées au bar L'Église, ils reconstruisent une nouvelle famille qui illumine ce roman. Du pays aux mille collines florissantes, où après le génocide des Tutsis chacun a été forcé de tourner la page, Dominique Celis montre que derrière la rhétorique officielle d'unité nationale chacun a " incarcéré ses peines à perpète ". Des blessures sans cesse ravivées lorsque l'on peut croiser les bourreaux du passé au détour d'une station-service ou sur la rive calme du lac Kivu. . . Les deux amants sont hantés par le souvenir de leurs disparus des massacres de 1994 : ses tantes pour Erika, toute sa famille pour Vincent. Dans une langue vive et inventive, à la scansion fiévreuse, Erika partage la singulière histoire d'un amour qui tente de résister à cette fatalité tragique. Même lorsque Vincent se sépare d'elle, la passion charnelle qui les domine ne faiblit pas, et c'est une femme vibrante de regrets, encore taraudée par le désir, qui rédige ces lettres, puisque sur sa peau " rien ne veut s'effacer ".